Maria
Valtorta |
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dossier Maria Valtorta Traduction automatique de cette fiche. Ils parlent de Maria Valtorta. Les Papes : |
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DIVERSES VOYANTES. |
SS. le Pape
Pie XII (1876-1958) Le 26 février 1948 le Pape Pie XII,
qui avait reçu le manuscrit de Maria Valtorta des mains de son confesseur le
P. Agostino Bea (futur Cardinal), accorde une audience spéciale au Père
Migliorini, confesseur de Maria Valtorta, à son confrère Berti
(un professeur de théologie dogmatique) et à leur supérieur, le Père Andrea
M. Cecchin, o.s.m.
(Servites de Marie). SS. le Pape
Paul VI (1897-1978) Le 17 janvier 1974, la Secrétairerie
du Pape (la plus haute instance du Vatican), transmets au P. Roschini (voir
ci-dessous) les félicitations du Saint-Père pour son ouvrage ouvertement
favorable à Maria Valtorta : Vous avez bien voulu faire parvenir au Souverain Pontife
un exemplaire de votre dernier ouvrage : "La Vierge Marie dans les
écrits de Maria Valtorta". Appréciant votre piété et votre zèle et le
précieux résultat, le Saint-Père vous remercie chaleureusement pour votre
nouveau témoignage de pieux hommage et exprime l'espoir que vos efforts
recueillent des fruits spirituels abondants. Précédemment, Mgr Pasquale Macchi, le secrétaire particulier du Pape avait confirmé,
en 1963, au cours d'un long entretien au P. Berti que l'œuvre de Maria
Valtorta n'était effectivement pas à l'Index (qui n'était pourtant pas aboli)
et avait mentionné que le Pape alors archevêque de Milan, avait lu l'un des
quatre tomes de l'œuvre de Maria Valtorta et avait donné l'œuvre complète au
grand séminaire. Entretien
confirmé sous serment par le P. Berti
et propos rapportés par lui. SS. le Pape
Jean-Paul II (1920-2005) Le Pape Jean-Paul II ne s'est pas
prononcé sur le cas de Maria Valtorta. Il a cependant canonisé le Padre
Pio qui en recommanda la lecture et béatifié Mère
Teresa, lectrice de cette œuvre qu’elle emmenait dans ses
déplacements. SS. le Pape
Benoît XVI On ne connaît officiellement que ses
positions sur Maria Valtorta en tant que Préfet de la Congrégation pour la
foi. Mgr Alfonso Carinci
(1862-1963). Il écrit,
le 17 janvier 1952 : À en juger d'après le bien que
l'on éprouve en lisant la vie de Jésus de Maria Valtorta, à mon humble avis,
cette œuvre, une foi publiée, pourrait porter beaucoup d'âmes au Seigneur: des pêcheurs à la conversion et des bons à une
vie plus fervente et plus active. Tandis que la presse immorale envahit le
monde et que les films corrompent les gens, il me vient tout à fait
spontanément le désir de remercier le Seigneur de nous avoir donné par
l'intermédiaire de cette femme qui a tant souffert, qui est clouée au lit,
une œuvre littérairement sublime, doctrinalement et spirituellement si élevée,
accessible et profonde, attirante à la lecture et capable d'être reproduite
dans des représentations cinématographiques et de théâtre sacré. J'ai
communiqué ma pensé qui est aussi celle de théologiens et d'exégètes de
grande valeur tel que le révérend Père Béa (il n'était
pas encore Cardinal à ce moment), tel
que Monseigneur Lattanzi, professeur de théologie
fondamentale au Latran, mais cela étant, je suis naturellement prêt à me
corriger dans le cas où le Saint Père jugerait autrement. Il a
confirmé par écrit les propos du Pape Pie XII en 1948, encourageant la
publication de l'œuvre de Maria Valtorta. Le Saint-Office n'ignorait pas ces
soutiens et l'avis du Pape, mais il est passé outre. L'Osservatore
Romano écrit en effet (6/01/1960) : "malgré les personnalités
illustres (dont l'incontestable bonne foi a été surprise) qui ont apporté
leur appui à la publication, le Saint-Office a cru nécessaire de la mettre
dans l'Index des Livres prohibés". Cardinal Édouard
Gagnon (1918-2007). Le Cardinal Édouard Gagnon a estimé
tout à fait conforme aux exigences du droit canonique "le genre d'imprimatur accordé par le Saint-Père en
1948 devant témoins[5]". En effet, c’est pour défaut d’imprimatur,
et pour ce motif seulement, que l’Œuvre de Maria Valtorta fut mise à l’Index. Cardinal Augustin
Bea (1881-1968) Le futur
Cardinal Bea, Père conciliaire, écrit en 1952 : J'ai lu plusieurs fascicules
de l'ouvrage écrit par Maria Valtorta, en m'attachant plus particulièrement
aux domaines exégétique, historique, archéologique et topographique. Pour ce
qui est de son exégèse, je n'ai pas trouvé d'erreurs importantes dans les
fascicules que j'ai examinés. En outre, j'ai été très impressionné par le
fait que ses descriptions archéologiques et topographiques sont faites avec
une exactitude remarquable. En ce qui concerne certains éléments exprimés
moins précisément, l'auteur, interrogé par moi par le biais d'un
intermédiaire, a donné des explications satisfaisantes. Ici et là, certaines
scènes m'ont semblé décrites de façon trop diffuse, même avec beaucoup de
couleurs vives. Mais de façon générale, la lecture de l'œuvre est non
seulement intéressante et agréable, mais vraiment édifiante. Et, pour les
personnes moins bien informées sur les mystères de la vie de Jésus,
instructive. À la
suite de Mgr Carinci, le Père Bea a témoigné par écrit de son soutien à
l'œuvre de Maria Valtorta : il était membre du Saint-Office. Il a été rejoint
par les témoignages de théologiens et biblistes, tels Mgr Ugo Lattanzi, doyen de la Faculté de théologie de Latran, le Père
Roschini (voir ci-dessous), ou le Père Corrado Berti,
professeur de dogmatique et de théologie sacramentelle. Cardinal Anthony Padiyara (1921-2000) En 1992,
la traduction de l’œuvre de Maria Valtorta en malayalam, une langue parlée dans le sud de l’Inde et
notamment au Kerala, a été saluée par différents évêques. L’Église du Kerala
est un lieu d’antique évangélisation : elle remonte à l’apôtre Thomas. Le Pape Pie XII, après les
avoir lues, a exprimé sa confiance dans ces visions. Même si l’Église ne les
a pas déclarées officiellement authentiques, les lecteurs peuvent les lire
avec grand bénéfice spirituel, et comprendre dans le détail ce que les
évangélistes ont écrit succinctement. Mgr Joseph Kureethara, évêque de Cochin, Kerala affirme sa conviction que Maria Valtorta a
réellement vu et entendu ce qu’elle rapporte. Il déclare que rien ne s’oppose
à la foi ou aux bonnes mœurs dans ces écrits (traduction anglaise au pied du fac-similé). Ces volumes traitent de la vie
et des activités de notre Seigneur Jésus-Christ dans les détails minutieux de
la vie quotidienne révélant la personnalité de Jésus et de notre Mère Sainte,
comme aucun autre livre ne l'a jamais fait. Mgr George Hamilton Pearce (1921-2015) Nommé,
en 1967, à la tête de l’archidiocèse
de Suva
nouvellement créé, est un Père conciliaire. Il écrit le 6 juin 1986 à
l’éditeur pour lui demander l’envoi d’exemplaires de l’œuvre récemment
traduite en anglais. Il veut la distribuer à quelques prêtres de sa
connaissance. Mgr Pearce avait découvert Maria Valtorta dans l’édition
française. Quand il écrit, il est retiré dans le diocèse de Providence aux
États-Unis. Mon premier contact avec l’œuvre de
Maria Valtorta fut en 1979 [...] Je la trouve (l’œuvre) remarquablement
inspirante. Il m’est impossible d’imaginer que quelqu’un puisse lire ce
travail monumental, avec un esprit ouvert, et ne pas en être convaincu que
l’auteur ne peut être autre que l’Esprit Saint de Dieu. Source : Pro e contro
Maria Valtorta, page 290 et valtorta.org. Mgr Roman Danylak
(1930-2012) Licencié de théologie, il est
titulaire d’un doctorat en droit canon obtenu à l’université pontificale du Latran. Comme expert, il participe
ultérieurement à la révision du droit canonique dans sa partie traitant des
Églises orientales. Il est basé à Toronto où il devient, à 62 ans,
Administrateur apostolique de l’Église gréco-catholique ukrainienne pour tout
l’est canadien. Mgr
Maurizio Raffa (1906-1957) En 1948,
il est nommé par Pie XII membre de la Conseil pontifical pour les communications sociales. Il était alors chargé d’affaires de la Sacrée
Congrégation du Concile, devenue par la suite la Congrégation pour le
clergé. Le 25 janvier 1952, au moment où il joint son attestation aux
autres «personnages illustres» qui soutiennent Maria
Valtorta, il est Directeur du centre romain de comparaison et de synthèse,
un organisme de recherche scientifique qu’il avait fondé en 1940 comme la
revue Reponsabilità del
Sapere en 1947. Il atteste que : pour écrire une seule partie de
l'œuvre (de Maria Valtorta), il faudrait être un Auteur (qui n’existe pas
aujourd’hui) tout à la fois grand poète, bibliste talentueux, théologien
confirmé, expert en archéologie et en topographie, et profond connaisseur de
la psychologie humaine[9]. Le 22
juin 2009, il est retenu au titre des justes
parmi les nations. La
cérémonie a lieu
en novembre à San
Giovanni Battista dei Genovesi de Rome qu’il fréquentait. Mère
Teresa (1910-1997) Selon ce que rapporte le Père Leo Maasburg, Directeur national des Œuvres Pontificales
Missionnaires en Autriche et confesseur de Mère
Teresa pendant 4 ans, Mère Teresa se déplaçait toujours
avec trois livres : La Bible, son Bréviaire et un troisième livre. À la
question du P. Leo, elle lui dit qu'il s'agissait d'un livre de Maria
Valtorta. À sa demande sur le contenu, elle lui dit simplement : "lisez-le". Pour ce qui est de l'attitude de Mère Teresa à propos de
Valtorta, je me souviens clairement de
sa réaction positive sans me rappeler plus de détails. Extrait de "Chrétiens
Magazine" n° 218 du 15/03/2009, page 5. Padre Pio
de Pietrelcina (1887-1968) À Elisa Lucchi,
une pénitente, qui lui demande, un an avant sa mort [donc en 1967], conseil
pour la lecture de "L'Évangile tel
qu'il m'a été révélé", Padre Pio répond : "Non seulement je vous permets de le lire, mais je vous le recommande"
Monsieur
le Directeur, Les parcours de Maria Valtorta et Padre
Pio étaient si proches qu'un livre a été consacré à leur proximité. Padre Pio
avait été aussi condamné par le Saint-Office (en 1933) et réprimandé par le
Cardinal Ottaviani, Préfet de cette Congrégation, en 1961. P. Gabriel
M. Roschini (1900-1977) Ce
philosophe, théologien, hagiographe, mariologue[10],
auteur de 130 ouvrages, écrit dans la préface de son livre "La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta" : Qui veut connaître
la Sainte Vierge en parfaite harmonie avec le Concile Vatican II, les Saintes
Écritures et la Tradition de l'Église, se doit de puiser à la mariologie
valtortienne […] car La
Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta est le plus important
de mes livres... la mariologie qui se dégage des écrits publiés et inédits de
Maria Valtorta a été pour moi une vraie découverte. Aucun
autre écrit marial, pas même la somme de tous ceux que j'ai lus et étudiés,
n'avait été en mesure de me donner sur Marie, chef-d'œuvre de Dieu, une idée
aussi claire, aussi vive, aussi complète, aussi lumineuse et aussi
fascinante, à la fois simple et sublime, que les écrits de Maria Valtorta. Dans cet ouvrage, il classe Maria Valtorta dans "les dix-huit
principales mystiques (mariales) des temps anciens et modernes" Mgr René
Laurentin (1917-2017) L’Abbé Laurentin, devenu prélat
de Benoît XVI en 2009, est l'auteur de 160 ouvrages notamment sur la
mariologie mais aussi les apparitions mariales dans le monde, domaine dans
lequel il s'est spécialisé. Il écrit au terme d’une étude comparative sur la
vie de Marie telle que révélée à huit mystiques : Maria Valtorta émerge et se recommande à bien des titres
[…] Sa vie de longue souffrance, vécue dans un abandon total à Dieu, témoigne
de sa sainteté. Elle ne s'éloigne en rien de l'Evangile, ne le contredit
nulle part, n'y ajoute pas des enseignements étrangers et reste conforme à
l'esprit de l'Evangile. Par ailleurs, elle est celle qui ajoute aux épisodes
racontés par l'évangile bien d'autres épisodes ignorés, même s'ils
s'inscrivent aisément en marge de l'évangile sans contradiction ni rupture.
Cela plaide aussi en sa faveur […] Elle a recueilli les plus larges
ralliements au sommet dont celui de Pie XII qui l'a protégé discrètement du
Saint-Office […] Reste que le récit de Maria Valtorta n'est pas un 5ème
évangile. Source : Chrétiens Magazine, n° n°218 du 15 mars 2009, numéro
spécial Maria Valtorta, page 7. P.
Gabriele Allegra (1907-1976) Béatifié le 29 septembre 2012 à
Acireale en Sicile, par le cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation
pour les causes des Saints, représentant le pape Benoît XVI. Produisant de bons fruits dans un nombre toujours
croissant de lecteurs, je pense que (L'évangile tel qu'il m'a été révélé) de
Maria Valtorta vient de l'esprit de Jésus. Mère Maria
Inès du Très Saint Sacrement (1904-1981). Béatifiée le 21 avril 2012 à N.D. de
Guadalupe à Mexico par le cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation
pour les causes des Saints, représentant le pape Benoît XVI. Don
Ottavio Michelini (1906-1979), Dictée de Jésus, 19 septembre
1975 : Ils n'ont pas cru aux âmes-victimes auxquelles J'ai
parlé. Dans leurs paroles J'ai mis le sceau de ma grâce;
ils ont résisté à tout. Don Michelini,
Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles,
éditions du Parvis, page 285. Maître Camillo
Corsanego (1891-1963) Avocat diplômé de droit canonique, professeur
de droit pénal à l’université
pontificale du Latran, Procureur au Tribunal de l’État du Vatican, Doyen
des conseillers consistoriaux en charge de plaider et promouvoir les causes
de béatification ou de canonisation. À ce titre, il a été le seul membre laïc
à assister aux séances inaugurales du concile Vatican II pour lequel il avait
œuvré. Il est, par ailleurs, un des membres fondateurs de la Démocratie chrétienne italienne. Dans ma vie, désormais assez longue, j'ai lu beaucoup
d’ouvrages apologétiques, agiographiques, théologiques et d’exégèse
biblique ; mais je n'ai jamais trouvé un ensemble de science, d'art, de
piété et d'adhésion aux enseignements traditionnels de l'Église comme dans
l’Œuvre à propos des Évangiles de Mme Maria Valtorta. Il vante ensuite les bienfaits
spirituels qu’il escompte par sa publication. Vittorio Tredici
(1892-1967), Président de l’association des industries minières italiennes. Originaire d'Iglesias (Sardaigne),
il est décoré du mérite militaire pendant la première guerre mondiale. En
1923, il adhère au Parti national fasciste naissant avant de prendre ses
distances. À partir de 1934, il est président de la société minière
métallurgique italienne (AMMI). Lors de la rafle du Ghetto de Rome, en
octobre 1943, il cache chez lui une famille juive. Pour cette raison, il est
reconnu, à titre posthume, "Juste parmi les Nations", par le Yad Vashem, le 16 juin 1997. Medjugorje
(apparitions mariales). En 1982, sur l'instigation du Frère
Franjo souvent interrogé par des lecteurs de Maria Valtorta, la voyante Marija (photo ci-contre) transmit à la Vierge cette
question : "Quelqu'un qui le
demande, peut-il lire ce livre ?". La réponse de la Gospa fut : "Vous
pouvez le lire". Réponse en parfait écho à l'avis de Pie XII
et avec la position que l'Église définira, dix ans plus tard, pour les révélations privées. Q - Il y a une révélation privée en quatre volumes par Marie d'Agreda, appelée "La Cité Mystique de Dieu". L'Église a
approuvé ce traité en quatre volumes comme une révélation privée. Savez-vous
quelque chose à ce sujet? D'autre part, à la fin des années
90, le Centro Editoriale Valtortiano a reçu des photos de Vicka,
se recueillant sur la tombe de Maria Valtorta
à Florence (Chapelle de Santa Annunziata). |
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[1]
Dans les années 1996/1999. Le Père Yannik Bonnet est
devenu prêtre sur le tard, lors de son veuvage. Élève de Sciences-Po et ancien
Directeur des relations humaines d’un grand groupe industriel français, il est
père de sept enfants. Il doit sa vocation à la découverte de Maria Valtorta et
s’en est entretenu avec le cardinal. Il a de même rencontré par trois fois le
Saint-Père.
[2] 19
mai 2017 : Interview par Maxime Dalle sur Radio Notre-Dame (émission
"Ecclésia") (aller à 1’50’’).
[3]
Voir le témoignage de Geneviève Esquier toute
fin d’article. Journaliste aujourd’hui à Marie de Nazareth, elle était à
l’époque à l’Homme Nouveau et fut témoin des faits rapportés.
[4] Pro e contro Maria
Valtorta {it}, 7 ème edition, page 280/281.
[5] Cité par le Père
Oliva Melançon de la congrégation de Sainte-Croix,
dans son livre Exorcisme et pouvoirs des laïcs,
édition Bénédictines, octobre 1996, page 17.
"Consulté à ce sujet, le cardinal Gagnon, qui a déjà préparé une thèse de
doctorat en Droit canonique sur "La censure des livres", jugeait comme
étant tout à fait conforme aux exigences du Droit canonique "le genre
d'imprimatur accordé par le Saint-Père en 1948 devant témoins" : ce qui
infirmait tout à fait les condamnations subséquentes faites par un Dicastère
romain au sujet des œuvres de Maria Valtorta..."
[6] Site de Roman Danylak :
In Defense of The Poem.
[7] Fac-similé de la lettre.
Voir aussi Pro e contro
Maria Valtorta, CEV 2017, 7ème édition, Lettere
di Vescovi, pages 293/294.
[9] Pro e contro Maria
Valtorta, CEV, 7ème édition, 2017, Gli attesti del 1952 e une petizione a Pio XII, page 89.
[10] La
mariologie est l'ensemble des disciplines touchant à l'étude de la Vierge Marie
: sa vie, sa place, son rôle.
[11]
Voir le Bollettino
Valtortiano, n° 83, janvier-juin 2012, page 4.
[12] Pro e contro Maria
Valtorta, CEV, 7ème édition, 2017, Gli attesti del 1952 e une petizione a Pio XII, pages 74 à 79.