Maria Valtorta en 1943

Maria Valtorta
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Ils parlent de Maria Valtorta.

 


VOIR AUSSI

 

LES TÉMOINS













 

LA CONTROVERSE













 

 














QUELQUES OPINIONS














 

SS. le Pape Pie XII (1876-1958)
Pontificat du 2 mars 1939 au 9.10.1958
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Le 26 février 1948 le Pape Pie XII, qui avait reçu le manuscrit de Maria Valtorta des mains de son confesseur le P. Agostino Bea (futur Cardinal), accorde une audience spéciale au Père Migliorini, confesseur de Maria Valtorta, à son confrère Berti (un professeur de théologie dogmatique) et à leur supérieur, le Père Andrea M. Cecchin, o.s.m. (Servites de Marie).           
Son jugement était favorable. Aussi conseilla-t-il de publier l’œuvre sans rien enlever, pas même les déclarations explicites de rapporter des "visions" et des "dictées"; mais en même temps il n’approuva pas le texte d’une préface qui parlait d’un phénomène surnaturel. Selon le conseil du pape, toute interprétation devait être laissée au lecteur : "Publiez l’œuvre telle quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront comprendront".    

Ultérieurement, le Souverain Pontife a dû faire face à de très fortes pressions si on en croit la
dictée très ferme que lui adresse Dieu le Père au moyen de Maria Valtorta. Il lui révèle à cette occasion, la dimension eschatologique de « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé ». 

Voir la
déclaration sous serment du Père Berti, témoin oculaire.

SS. le Pape Paul VI (1897-1978)
Pontificat du 21.06.1963 au 6.08.1978
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Le 17 janvier 1974, la Secrétairerie du Pape (la plus haute instance du Vatican), transmets au P. Roschini (voir ci-dessous) les félicitations du Saint-Père pour son ouvrage ouvertement favorable à Maria Valtorta :

Vous avez bien voulu faire parvenir au Souverain Pontife un exemplaire de votre dernier ouvrage : "La Vierge Marie dans les écrits de Maria Valtorta". Appréciant votre piété et votre zèle et le précieux résultat, le Saint-Père vous remercie chaleureusement pour votre nouveau témoignage de pieux hommage et exprime l'espoir que vos efforts recueillent des fruits spirituels abondants.

Précédemment, Mgr Pasquale Macchi, le secrétaire particulier du Pape avait confirmé, en 1963, au cours d'un long entretien au P. Berti que l'œuvre de Maria Valtorta n'était effectivement pas à l'Index (qui n'était pourtant pas aboli) et avait mentionné que le Pape alors archevêque de Milan, avait lu l'un des quatre tomes de l'œuvre de Maria Valtorta et avait donné l'œuvre complète au grand séminaire. Entretien confirmé sous serment par le P. Berti et propos rapportés par lui.      

Sources :
Déclaration sous serment du P. BertiFac-similé de la lettre de la Secrétairerie d'État.

SS. le Pape Jean-Paul II (1920-2005)
Pontificat du 13.10.1978 au 2.04.2005
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Le Pape Jean-Paul II ne s'est pas prononcé sur le cas de Maria Valtorta. Il a cependant canonisé le Padre Pio qui en recommanda la lecture et béatifié Mère Teresa, lectrice de cette œuvre qu’elle emmenait dans ses déplacements.          

Le Père Yannik Bonnet, lors de ses études à Rome
[1] a rencontré par trois fois le cardinal Stanislas Dziwiz, secrétaire de Jean-Paul II. Il témoigne[2] que le cardinal lui a certifié avoir vu souvent les œuvres de Maria Valtorta sur la table de chevet du Souverain Pontife.          

Le Cardinal Ratzinger, Préfet pour la congrégation de la Foi se fiant naturellement aux actes de son prédécesseur, déclare, dans
une lettre à l'archevêque de Gênes, qu'il n'était pas personnellement favorable à la diffusion ni à la recommandation de l'œuvre à cause de son possible impact auprès des gens "les plus naïfs". Il laissait toutefois le Cardinal Siri libre de répondre, de la manière qui lui convenait, à la demande d'un prêtre de son diocèse. Dans sa lettre il indique que la condamnation a dû être faite pour de bonnes raisons, ce qui indique qu’il n’a pas été plus avant dans ses investigations que les actes officiels qu’il transmet.  

Devant la recrudescence d’intérêt pour les écrits de Maria Valtorta,, le Cardinal Ratzinger
fait demander à l'éditeur, par l'intermédiaire de la Conférence des évêques d'Italie, de bien préciser, dans les futures éditions, que l'œuvre de Maria Valtorta devait être considérée comme une œuvre personnelle. Il précise : "ne doivent pas être considérées comme" et non "ne sont pas d’origine surnaturelle". Cet imprimatur conditionnel est conforme aux révélations privées pour lesquelles il n’y a que des « certitudes humaines et non divines ».

La position du cardinal Ratzinger, plus théologique que pastorale, devient sujette à interprétation et donne des résultats divers : en 1992, les évêques du Kerala
se réjouissent unanimement de la traduction de Maria Valtorta dans leur langue, en 1993, Mgr R. Boland de l’Alabama, semble interpèter que les écrits de Maria Valtorta n’ont rien de surnaturel, en 2001, Mgr R. Danylak, évêque gréco-catholique ukrainien, certifie au contraire la parfaite valeur et conformité de ces écrits, en 2008 les évêques chinois demandent à ce que l’on poursuive la traduction de Maria Valtorta dans leur langue, … Il y a donc ceux qui ont lu l’œuvre et ceux qui ne le souhaitent pas.        

Si l’imprimatur ne fait plus de doute, on retrouve dans les faits la phrase prophétique de Pie XII : il n’y a pas à se prononcer sur l’origine de l’œuvre, il suffit de lire pour le comprendre.

SS. le Pape Benoît XVI
Pontificat 19.04.2005 – 28.02.2013
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On ne connaît officiellement que ses positions sur Maria Valtorta en tant que Préfet de la Congrégation pour la foi.  

En 1985, quatre ans après sa nomination, il eut à se prononcer sur Maria Valtorta à la demande du cardinal Siri, celui-là même qui en 1956 aurait volontiers examiné pour imprimatur la vie de Jésus de Maria Valtorta
s’il n’avait pas été empêché de le faire par le Saint-Office. La réponse du Préfet de la congrégation pouvait se résumer ainsi : prudence avec l’œuvre de Maria Valtorta, car il craignait l’impact de cette vie de Jésus sur les lecteurs « naïfs ». Manifestement, il ne connaissait pas encore l’historique du dossier.       

Mais au début des années 90’, il put mieux connaître Maria Valtorta par l’un des périodiques qu’il lisait volontiers : l’Homme Nouveau, dirigé alors par Marcel Clément. L’abbé André Richard y publiait régulièrement des articles sur la mystique. Marcel Clément reçut un jour une lettre du cardinal Ratzinger : il voulait vérifier quelques points sur la théologie du mariage qui lui semblait janséniste dans Maria Valtorta. Marcel Clément réunit alors la rédaction pour demander de suspendre tous les articles sur Maria Valtorta dans l’attente de l’examen. Un an après, le Préfet remerciait l’Homme Nouveau pour son obéissance et déclarait que, vérifications faites, rien ne s’opposait à la poursuite des publications. La correspondance est actuellement en train d’être recherchée dans les archives, mais des collaborateurs directs ont témoignés de l’exactitude des faits
[3]. 

Cela explique le changement d’attitude du futur Benoît XVI : Dans Pro e contro Maria Valtorta
[4], Emilio Pisani rapporte que le 30 juin 1992, il eut l’occasion de se rendre au Palais du Saint-Office où un prélat de la Secrétairerie d’État lui aurait signalé que « Là-haut » on avait changé d’avis sur Maria Valtorta et que sa vie de Jésus pouvait être considérée « comme un bon livre ». Ce qui enclencha la lettre de la conférence des évêques d’Italie que certains estiment être une condamnation, mais qui est la simple traduction pastorale et "diplomatique" de l’attitude à avoir envers les révélations privées. Pie XII, en d’autres termes, avait fait de même (voir ci-dessus).

Cela explique aussi la
lettre de Mgr Danylak qui, le 13 février 2002, mentionne, dans son imprimatur, que le cardinal Ratzinger « en lettres privées, a reconnu que ce travail est exempt d'erreurs de doctrine ou de morale ».    

Cela explique enfin l’attitude qu’eut le cardinal Ratzinger une fois devenu pape :        

- Les cérémonies du
cinquantième anniversaire de la mort de Maria Valtorta (15 octobre 2011) se sont déroulées sous la présidence de Mgr Pier Giacomo De Nicolò, ancien nonce apostolique. La commémoration a eu lieu à la Santissima Annunziata de Florence où Maria Valtorta est enterrée, un haut lieu des Servites de Marie.  

- Dans la dernière année de son pontificat, il béatifie coup sur coup, deux défenseurs affichés de Maria Valtorta :
Mère Maria Inès du Très Saint-Sacrement (1904 –1981), fondatrice des Missionnaires clarisses du Très saint Sacrement. Elle avait demandé qu'un exemplaire de l'Évangile tel qu'il m'a été révélé figure dans chacune des maisons qu'elle avait fondé, puis le 29 septembre 2012, le Père Gabriele Allegra, bibliste traducteur de la Bible en chinois, ouvertement favorable à Maria Valtorta dont il confirmait l’inspiration divine.

Il entreprit enfin la béatification de Mgr Luigi Novarese que le Pape François a achevée. Ce prélat connaissait Maria Valtorta qu’il rencontra et sa vie de Jésus qu’il appréciait pour en avoir entendu parler à la Secrétairerie d’État de Pie XII, par son ami, Mgr Carinci (voir ci-dessous).

 Mgr Alfonso Carinci (1862-1963).
Secrétaire de la Congrégation pour les Rites sacrés (actuellement pour la cause des saints).
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Il écrit, le 17 janvier 1952 :

À en juger d'après le bien que l'on éprouve en lisant la vie de Jésus de Maria Valtorta, à mon humble avis, cette œuvre, une foi publiée, pourrait porter beaucoup d'âmes au Seigneur: des pêcheurs à la conversion et des bons à une vie plus fervente et plus active. Tandis que la presse immorale envahit le monde et que les films corrompent les gens, il me vient tout à fait spontanément le désir de remercier le Seigneur de nous avoir donné par l'intermédiaire de cette femme qui a tant souffert, qui est clouée au lit, une œuvre littérairement sublime, doctrinalement et spirituellement si élevée, accessible et profonde, attirante à la lecture et capable d'être reproduite dans des représentations cinématographiques et de théâtre sacré. J'ai communiqué ma pensé qui est aussi celle de théologiens et d'exégètes de grande valeur tel que le révérend Père Béa (il n'était pas encore Cardinal à ce moment), tel que Monseigneur Lattanzi, professeur de théologie fondamentale au Latran, mais cela étant, je suis naturellement prêt à me corriger dans le cas où le Saint Père jugerait autrement.

Il a confirmé par écrit les propos du Pape Pie XII en 1948, encourageant la publication de l'œuvre de Maria Valtorta. Le Saint-Office n'ignorait pas ces soutiens et l'avis du Pape, mais il est passé outre. L'Osservatore Romano écrit en effet (6/01/1960) : "malgré les personnalités illustres (dont l'incontestable bonne foi a été surprise) qui ont apporté leur appui à la publication, le Saint-Office a cru nécessaire de la mettre dans l'Index des Livres prohibés".  

Témoignage extrait de Pro e Contro Maria Valtorta (page 41) – CEV – ISBN 88-7987-130-7. Voir aussi, chez le même éditeur Lettres à Mgr Carinci (Lettere a Mons. Carinci) 2006 – ISBN 978-88-7987-140

Cardinal Édouard Gagnon (1918-2007).
président du conseil pontifical pour la Famille et du Comité Pontifical pour les Congrès Eucharistiques Internationaux jusqu’en 1990
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Le Cardinal Édouard Gagnon a estimé tout à fait conforme aux exigences du droit canonique "le genre d'imprimatur accordé par le Saint-Père en 1948 devant témoins[5]". En effet, c’est pour défaut d’imprimatur, et pour ce motif seulement, que l’Œuvre de Maria Valtorta fut mise à l’Index.                   

Ce Cardinal était réputé comme spécialiste de la censure, thème pour lequel il avait écrit en 1944 une thèse pour l’obtention du doctorat en droit canonique, (Québec, Université Laval, 223 f.) : La censure des livres : étude historique et juridique des canons relatifs à la censure préalable des livres".  

Effectivement, selon le code de droit canonique (
articles 218 et 219 du code de droit canonique de 1917), le pape détient le jugement final en matière de révélations. Il est l’autorité ultime du Saint-Office. Celui qui dirige la congrégation n’est que son secrétaire. Ce n’est qu’en 1966, que le cardinal Ottaviani sera nommé Préfet du Saint-Office et constituera ainsi une Congrégation indépendante du Pape.

Cardinal Augustin Bea (1881-1968)
Directeur de l'Institut Biblique Pontifical et confesseur de Pie XII
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Le futur Cardinal Bea, Père conciliaire, écrit en 1952 :

J'ai lu plusieurs fascicules de l'ouvrage écrit par Maria Valtorta, en m'attachant plus particulièrement aux domaines exégétique, historique, archéologique et topographique. Pour ce qui est de son exégèse, je n'ai pas trouvé d'erreurs importantes dans les fascicules que j'ai examinés. En outre, j'ai été très impressionné par le fait que ses descriptions archéologiques et topographiques sont faites avec une exactitude remarquable. En ce qui concerne certains éléments exprimés moins précisément, l'auteur, interrogé par moi par le biais d'un intermédiaire, a donné des explications satisfaisantes. Ici et là, certaines scènes m'ont semblé décrites de façon trop diffuse, même avec beaucoup de couleurs vives. Mais de façon générale, la lecture de l'œuvre est non seulement intéressante et agréable, mais vraiment édifiante. Et, pour les personnes moins bien informées sur les mystères de la vie de Jésus, instructive.

À la suite de Mgr Carinci, le Père Bea a témoigné par écrit de son soutien à l'œuvre de Maria Valtorta : il était membre du Saint-Office. Il a été rejoint par les témoignages de théologiens et biblistes, tels Mgr Ugo Lattanzi, doyen de la Faculté de théologie de Latran, le Père Roschini (voir ci-dessous), ou le Père Corrado Berti, professeur de dogmatique et de théologie sacramentelle.

Témoignage extrait de Pro e Contro Maria Valtorta – CEV – ISBN 88-7987-130-7.

Cardinal Anthony Padiyara (1921-2000)        
Archevêque majeur de l’Église syro-malabar du Kerala (Inde).
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En 1992, la traduction de l’œuvre de Maria Valtorta en malayalam, une langue parlée dans le sud de l’Inde et notamment au Kerala, a été saluée par différents évêques. L’Église du Kerala est un lieu d’antique évangélisation : elle remonte à l’apôtre Thomas. 

Mgr
Benedict Gregorios, archevêque de Trivandrum, Kerala, et Père conciliaire, se réjouit que cette traduction de l’œuvre de Maria Valtorta concoure «à mieux faire connaître et aimer Jésus-Christ».          

Mgr
Eric Benjamin, évêque de Darjeeling, Bengale ouest, écrit «l’initiative est importante, mais elle en vaut la peine, compte tenu de la valeur intrinsèque et de la popularité de ces livres». 

Mgr
Valerian D’Souza, évêque de Pune (Poona), Maharastra, confie que l’œuvre de Maria Valtorta lui a beaucoup apporté dans sa vie personnelle et son ministère. L’œuvre doit être largement distribuée et lue, comme lui-même en a pris l’initiative.    

Mgr
Maria Soosa Pakiam, futur archevêque de Trivandrum, Kerala, estime qu’il s’agit «d’une inestimable contribution à la mission de l’Église de faire connaître et aimer Notre Seigneur et Sauveur, Jésus-Christ.»

Mgr
Joseph Kundukulam, archevêque de Trichur, Kerala prend clairement position en faveur de l’œuvre (traduction anglaise au pied du fac-similé) :

Le Pape Pie XII, après les avoir lues, a exprimé sa confiance dans ces visions. Même si l’Église ne les a pas déclarées officiellement authentiques, les lecteurs peuvent les lire avec grand bénéfice spirituel, et comprendre dans le détail ce que les évangélistes ont écrit succinctement.

Mgr Joseph Kureethara, évêque de Cochin, Kerala affirme sa conviction que Maria Valtorta a réellement vu et entendu ce qu’elle rapporte. Il déclare que rien ne s’oppose à la foi ou aux bonnes mœurs dans ces écrits (traduction anglaise au pied du fac-similé).   

En 1996, le cardinal
Anthony Padiyara, archevêque majeur d’Ernakulam, Kerala, et Père conciliaire, écrit après la mort, l’année précédente, du Père Louis Koduppuna, le traducteur :

Ces volumes traitent de la vie et des activités de notre Seigneur Jésus-Christ dans les détails minutieux de la vie quotidienne révélant la personnalité de Jésus et de notre Mère Sainte, comme aucun autre livre ne l'a jamais fait.

Mgr George Hamilton Pearce (1921-2015)      
Archevêque métropolitain des Îles Fidji.        
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Nommé, en 1967, à la tête de l’archidiocèse de Suva nouvellement créé, est un Père conciliaire. Il écrit le 6 juin 1986 à l’éditeur pour lui demander l’envoi d’exemplaires de l’œuvre récemment traduite en anglais. Il veut la distribuer à quelques prêtres de sa connaissance. Mgr Pearce avait découvert Maria Valtorta dans l’édition française. Quand il écrit, il est retiré dans le diocèse de Providence aux États-Unis.

Mon premier contact avec l’œuvre de Maria Valtorta fut en 1979 [...] Je la trouve (l’œuvre) remarquablement inspirante. Il m’est impossible d’imaginer que quelqu’un puisse lire ce travail monumental, avec un esprit ouvert, et ne pas en être convaincu que l’auteur ne peut être autre que l’Esprit Saint de Dieu.

Source : Pro e contro Maria Valtorta, page 290 et valtorta.org.

Mgr Roman Danylak (1930-2012)          
Administrateur apostolique de l’Église gréco-catholique ukrainienne pour l’est canadien.  
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Licencié de théologie, il est titulaire d’un doctorat en droit canon obtenu à l’université pontificale du Latran. Comme expert, il participe ultérieurement à la révision du droit canonique dans sa partie traitant des Églises orientales. Il est basé à Toronto où il devient, à 62 ans, Administrateur apostolique de l’Église gréco-catholique ukrainienne pour tout l’est canadien.      

En août/septembre 1992, alors simple prêtre de Winnipeg, il publie un long article dans lequel il réfute les critiques formulées, à l’époque, à l’encontre de l’œuvre de Maria Valtorta et étaye son point de vue favorable à l’œuvre
[6].         

Le 24 juin 2001, devenu Administrateur apostolique, il délivre, avec tout le poids de sa fonction, un imprimatur attestant de la parfaite conformité de l'œuvre avec «les Évangiles canoniques, la Tradition et le Magistère de l’Église catholique
[7]».       

Le 13 février 2002, il encourage officiellement la consultation d’un site qui publie l’œuvre de Maria Valtorta et réaffirme la conformité de celle-ci à la foi catholique
[8]. Ce «cyber-imprimatur» est une nouveauté. À cette occasion, il mentionne que le cardinal Ratzinger « en lettres privées a reconnu que ce travail est exempt d'erreurs de doctrine ou de morale », mais il ne précise pas ces sources privées.

Mgr Maurizio Raffa (1906-1957) 
Directeur du Centro internazionale di comparazione e sintesi.
Juste parmi les nations.
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En 1948, il est nommé par Pie XII membre de la Conseil pontifical pour les communications sociales. Il était alors chargé d’affaires de la Sacrée Congrégation du Concile, devenue par la suite la Congrégation pour le clergé. Le 25 janvier 1952, au moment où il joint son attestation aux autres «personnages illustres» qui soutiennent Maria Valtorta, il est Directeur du centre romain de comparaison et de synthèse, un organisme de recherche scientifique qu’il avait fondé en 1940 comme la revue Reponsabilità del Sapere en 1947. Il atteste que :

pour écrire une seule partie de l'œuvre (de Maria Valtorta), il faudrait être un Auteur (qui n’existe pas aujourd’hui) tout à la fois grand poète, bibliste talentueux, théologien confirmé, expert en archéologie et en topographie, et profond connaisseur de la psychologie humaine[9].

Le 22 juin 2009, il est retenu au titre des justes parmi les nations. La cérémonie a lieu en novembre à San Giovanni Battista dei Genovesi de Rome qu’il fréquentait.

Mère Teresa (1910-1997)
Canonisée par le Pape François.          
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Selon ce que rapporte le Père Leo Maasburg, Directeur national des Œuvres Pontificales Missionnaires en Autriche et confesseur de Mère Teresa pendant 4 ans, Mère Teresa se déplaçait toujours avec trois livres : La Bible, son Bréviaire et un troisième livre. À la question du P. Leo, elle lui dit qu'il s'agissait d'un livre de Maria Valtorta. À sa demande sur le contenu, elle lui dit simplement : "lisez-le".  

Interrogé en 2009 par "Chrétiens Magazine" sur l'avis de Mère Teresa sur l'œuvre de Maria Valtorta, le P. Leo Maasburg avait confirmé :

Pour ce qui est de l'attitude de Mère Teresa à propos de Valtorta, je me souviens clairement de sa réaction positive sans me rappeler plus de détails.

Extrait de "Chrétiens Magazine" n° 218 du 15/03/2009, page 5.

Padre Pio de Pietrelcina (1887-1968)
Canonisé par Jean-Paul II
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À Elisa Lucchi, une pénitente, qui lui demande, un an avant sa mort [donc en 1967], conseil pour la lecture de "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé", Padre Pio répond : "Non seulement je vous permets de le lire, mais je vous le recommande"      

L’encouragement du Padre Pio à la lecture de L’Évangile tel qu’il m’a été révélé est plus explicite dans le témoignage de Nonna Susanna rédactrice d’une rubrique dans la revue intitulée “Vita Femminile” qui écrit en 1972 à Emilio Pisani, aujourd’hui président de la Fondation Héritière de Maria Valtorta :

Monsieur le Directeur,         

Dès demain je vous enverrai les numéros de la revue “Vita” dans lesquels nous avons reproduit des chapitres du “Poema dell’Uomo-Dio” (L’Évangile tel qu’il m’a été révélé) de Maria Valtorta. Vous devez savoir que, quelques mois avant sa naissance au Ciel [donc en 1968], c’est le Padre Pio qui m’avait demandé de lire ces ouvrages et d’en publier des chapitres dans notre revue “Vita Femminile”. Il aimait lire notre revue et de temps en temps il me communiquait ce qu’il désirait y voir publié. Il voulait absolument que la revue soit toujours disponible à l’hôpital “Sollievo della Sofferenza” et donc toutes les semaines j’en envoyais 900 exemplaires. Je fis observer au bon Père qu’à cause du peu de temps disponible je ne pourrais pas lire les 10 tomes. En souriant il me répondit : « Vous les lirez et vous m’écouterez ».  

Ma seule déception fut de ne pas avoir obéit à sa demande avant son décès. Je l’ai écrit au père Avidano, en lui signalant que le bon Padre Pio désirait voir cette œuvre se répandre dans les familles. Vu que le père Avidano connaissait lui aussi ces ouvrages pour les avoir lus, je faisais donc une commande de plusieurs exemplaires à envoyer à nos associés. Le père Avidano me fit cadeau du tome 1 et, lors d’une de ses visites à Bologne, il m’offrit aussi le tome 9 en me disant qu’il utilisait ces ouvrages pour ses méditations personnelles et que souvent il en pleurait.         

[…] Je vous ai écrit ceci pour que vous sachiez que le mérite de la diffusion des ouvrages de Maria Valtorta que nous faisons est entièrement due au Padre Pio et au Père Avidano. […]

Les parcours de Maria Valtorta et Padre Pio étaient si proches qu'un livre a été consacré à leur proximité. Padre Pio avait été aussi condamné par le Saint-Office (en 1933) et réprimandé par le Cardinal Ottaviani, Préfet de cette Congrégation, en 1961.   

Sources : "Chrétiens Magazine", numéro spécial de mars 2009 - "Padre Pio et Maria Valtorta", Emilio Pisani, 2000, Éditions Centro Editoriale Valtortiano, ISBN 8879870734 - Bollettino Valtortiano n° 39 Janvier, juin 1989.

P. Gabriel M. Roschini (1900-1977)
Fondateur de l’Université pontificale de théologie "Marianum" et Conseiller au Saint-Siège
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Ce philosophe, théologien, hagiographe, mariologue[10], auteur de 130 ouvrages, écrit dans la préface de son livre "La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta" :

Qui veut connaître la Sainte Vierge en parfaite harmonie avec le Concile Vatican II, les Saintes Écritures et la Tradition de l'Église, se doit de puiser à la mariologie valtortienne […] car La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta est le plus important de mes livres... la mariologie qui se dégage des écrits publiés et inédits de Maria Valtorta a été pour moi une vraie découverte. Aucun autre écrit marial, pas même la somme de tous ceux que j'ai lus et étudiés, n'avait été en mesure de me donner sur Marie, chef-d'œuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi complète, aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime, que les écrits de Maria Valtorta.

Dans cet ouvrage, il classe Maria Valtorta dans "les dix-huit principales mystiques (mariales) des temps anciens et modernes"      

Ce livre a fait l'objet d'une lettre de félicitation de la Secrétairerie d'État, la plus haute instance du Vatican. Elle mentionne explicitement le soutien du Pape Paul VI.

Mgr René Laurentin (1917-2017)
Théologien, exégète, historien, ancien conseiller de Vatican II.
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L’Abbé Laurentin, devenu prélat de Benoît XVI en 2009, est l'auteur de 160 ouvrages notamment sur la mariologie mais aussi les apparitions mariales dans le monde, domaine dans lequel il s'est spécialisé. Il écrit au terme d’une étude comparative sur la vie de Marie telle que révélée à huit mystiques :

Maria Valtorta émerge et se recommande à bien des titres […] Sa vie de longue souffrance, vécue dans un abandon total à Dieu, témoigne de sa sainteté. Elle ne s'éloigne en rien de l'Evangile, ne le contredit nulle part, n'y ajoute pas des enseignements étrangers et reste conforme à l'esprit de l'Evangile. Par ailleurs, elle est celle qui ajoute aux épisodes racontés par l'évangile bien d'autres épisodes ignorés, même s'ils s'inscrivent aisément en marge de l'évangile sans contradiction ni rupture. Cela plaide aussi en sa faveur […] Elle a recueilli les plus larges ralliements au sommet dont celui de Pie XII qui l'a protégé discrètement du Saint-Office […] Reste que le récit de Maria Valtorta n'est pas un 5ème évangile.

Source : Chrétiens Magazine, n° n°218 du 15 mars 2009, numéro spécial Maria Valtorta, page 7.

P. Gabriele Allegra (1907-1976)
Traducteur de la Bible en chinois. Béatifié par Benoît XVI.
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Béatifié le 29 septembre 2012 à Acireale en Sicile, par le cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation pour les causes des Saints, représentant le pape Benoît XVI.          

Ce bibliste était, dès 1965, féru de Maria Valtorta sur laquelle il a écrit à Macao la première exégèse de l'œuvre de 1968 à 1970, publié en 1985 lors de l'ouverture de son procès en béatification. Il y déclare notamment :

Produisant de bons fruits dans un nombre toujours croissant de lecteurs, je pense que (L'évangile tel qu'il m'a été révélé) de Maria Valtorta vient de l'esprit de Jésus.

Voir l'exégèse.      

Mère Maria Inès du Très Saint Sacrement (1904-1981).  
Fondatrice d’ordres religieux. Béatifiée par Benoît XVI.     
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Béatifiée le 21 avril 2012 à N.D. de Guadalupe à Mexico par le cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation pour les causes des Saints, représentant le pape Benoît XVI. 

Dans une lettre du
22 mai 1978 à l’éditeur, elle se disait "friande" de la lecture de l’œuvre de Maria Valtorta qui était "devenue l'une des plus belles sources de lecture spirituelle"[11].     

Cette religieuse mexicaine fut la fondatrice de congrégations religieuses, regroupant pas moins de six instituts.

Une de ses religieuses, sœur Maria Uranga, confirme le
19 juillet 2001, à l’éditeur que leur fondatrice avait fait distribuer l’œuvre de Maria Valtorta dans chacune des 35 maisons qu’elle avait fondé, "parce qu’elle l’aimait beaucoup". Elle l’avait aussi distribué à des prêtres et à des évêques.   

Mieux connaître Mère Maria Inès.

Don Ottavio Michelini (1906-1979),       
Mystique.
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Dictée de Jésus, 19 septembre 1975 :

Ils n'ont pas cru aux âmes-victimes auxquelles J'ai parlé. Dans leurs paroles J'ai mis le sceau de ma grâce; ils ont résisté à tout.  
J'ai dicté à Maria Valtorta, âme-victime, une œuvre merveilleuse. De cette œuvre, Je suis l'auteur. Tu t'es rendu compte toi-même des réactions rageuses de Satan.
Tu as constaté la résistance que beaucoup de prêtres opposent à cette œuvre qui, si elle était - Je ne dis pas lue -  mais étudiée et méditée, apporterait un bien immense à tant d'âmes.       
Cette œuvre est source de sérieuse et solide culture.       
Mais à cette œuvre, à laquelle est réservé un grand succès dans l'Eglise régénérée, on préfère les ordures de tant de revues et livres de présomptueux théologiens.

Don Michelini, Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles, éditions du Parvis, page 285. 

Voir plus en détail les textes concernés.

Maître Camillo Corsanego (1891-1963)
Doyen des conseillers consistoriaux (Vatican), un des pères fondateurs de la Démocratie chrétienne italienne.
Haut de page.

Avocat diplômé de droit canonique, professeur de droit pénal à l’université pontificale du Latran, Procureur au Tribunal de l’État du Vatican, Doyen des conseillers consistoriaux en charge de plaider et promouvoir les causes de béatification ou de canonisation. À ce titre, il a été le seul membre laïc à assister aux séances inaugurales du concile Vatican II pour lequel il avait œuvré. Il est, par ailleurs, un des membres fondateurs de la Démocratie chrétienne italienne.        

En janvier 1952, il atteste dans un document à l’en-tête du «Pontificum Athenaeum Lateranese (= université pontificale du Latran)»[12]
 :

Dans ma vie, désormais assez longue, j'ai lu beaucoup d’ouvrages apologétiques, agiographiques, théologiques et d’exégèse biblique ; mais je n'ai jamais trouvé un ensemble de science, d'art, de piété et d'adhésion aux enseignements traditionnels de l'Église comme dans l’Œuvre à propos des Évangiles de Mme Maria Valtorta.

Il vante ensuite les bienfaits spirituels qu’il escompte par sa publication.          

Le 8 avril 1957, il fait parvenir à Don Luigi Sturzo, un prêtre figure marquante du Parti populaire italien la fin des ouvrages de Maria Valtorta. Ces ouvrages sont destinés, selon ce qu’il écrit, à «laisser leur marque dans l’histoire du christianisme». Le procès en béatification de Don Luigi Strurzo a été ouvert le 3 mai 2002.          

Maître Camillo Corsanego fit spécialement le déplacement pour assister aux funérailles de Maria Valtorta, le 14 octobre 1961 à Viareggio.

Vittorio Tredici (1892-1967), Président de l’association des industries minières italiennes.
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Originaire d'Iglesias (Sardaigne), il est décoré du mérite militaire pendant la première guerre mondiale. En 1923, il adhère au Parti national fasciste naissant avant de prendre ses distances. À partir de 1934, il est président de la société minière métallurgique italienne (AMMI). Lors de la rafle du Ghetto de Rome, en octobre 1943, il cache chez lui une famille juive. Pour cette raison, il est reconnu, à titre posthume, "Juste parmi les Nations", par le Yad Vashem, le 16 juin 1997.  

Dans sa
déclaration de janvier 1952, il atteste l’exactitude des descriptions géologiques et minéralogiques de Maria Valtorta, notamment en Transjordanie, et affirme que leurs précisions ne peuvent pas venir de documentations existantes et qu’il faut avoir été sur place pour les atteindre.

Medjugorje (apparitions mariales).
Messages de la "Gospa" (la Vierge Marie) aux voyantes
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En 1982, sur l'instigation du Frère Franjo souvent interrogé par des lecteurs de Maria Valtorta, la voyante Marija (photo ci-contre) transmit à la Vierge cette question : "Quelqu'un qui le demande, peut-il lire ce livre ?". La réponse de la Gospa fut : "Vous pouvez le lire". Réponse en parfait écho à l'avis de Pie XII et avec la position que l'Église définira, dix ans plus tard, pour les révélations privées.      

Ces témoignages ne sont pas négligeables car plusieurs voyantes ont reçu, de la Vierge Marie même, le récit de sa vie. Ces œuvres sont encore inédites. 

Vicka (photo ci-contre), une autre voyante, s'est fait plus explicite dans une interview accordée le 27 janvier 1988 à Jan Conell, un avocat américain du Pittsburgh Center for Peace.

Q - Il y a une révélation privée en quatre volumes par Marie d'Agreda, appelée "La Cité Mystique de Dieu". L'Église a approuvé ce traité en quatre volumes comme une révélation privée. Savez-vous quelque chose à ce sujet? 
R - Oui, bien sûr. Notre-Dame m'a dit que c'est une version authentique de sa vie.     
Q - Y a t-il d'autres livres sur ce sujet, dont Notre-Dame vous a parlé ? 
R - Oui. "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" de Maria Valtorta, en dix volumes - Notre-Dame dit que "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" est la vérité.   
Q - Que nous sommes bénis de savoir cela, Vicka !         
R - Oui, Notre-Dame a dit que si une personne veut connaître Jésus, il doit lire "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" de Maria Valtorta. Ce livre est la vérité.

D'autre part, à la fin des années 90, le Centro Editoriale Valtortiano a reçu des photos de Vicka, se recueillant sur la tombe de Maria Valtorta à Florence (Chapelle de Santa Annunziata).         

Sources : "Eco di Maria" n° 124, déc. 1995/janvier 1996 – "Chrétiens Magazine" n° 218, 15 mars 2009, pages 10 à 12. –
Fac-similé de l'interview de Vicka, paru dans la "Queen of Peace Newsletter" sur mariavaltortawebring.

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Fiche mise à jour le 03/11/2021.

 



[1] Dans les années 1996/1999. Le Père Yannik Bonnet est devenu prêtre sur le tard, lors de son veuvage. Élève de Sciences-Po et ancien Directeur des relations humaines d’un grand groupe industriel français, il est père de sept enfants. Il doit sa vocation à la découverte de Maria Valtorta et s’en est entretenu avec le cardinal. Il a de même rencontré par trois fois le Saint-Père.

[2] 19 mai 2017 : Interview par Maxime Dalle sur Radio Notre-Dame (émission "Ecclésia") (aller à 1’50’’).

[3] Voir le témoignage de Geneviève Esquier toute fin d’article. Journaliste aujourd’hui à Marie de Nazareth, elle était à l’époque à l’Homme Nouveau et fut témoin des faits rapportés.

[4] Pro e contro Maria Valtorta {it}, 7 ème edition, page 280/281.

[5] Cité par le Père Oliva Melançon de la congrégation de Sainte-Croix, dans son livre Exorcisme et pouvoirs des laïcs, édition Bénédictines, octobre 1996, page 17.   
"Consulté à ce sujet, le cardinal Gagnon, qui a déjà préparé une thèse de doctorat en Droit canonique sur "La censure des livres", jugeait comme étant tout à fait conforme aux exigences du Droit canonique "le genre d'imprimatur accordé par le Saint-Père en 1948 devant témoins" : ce qui infirmait tout à fait les condamnations subséquentes faites par un Dicastère romain au sujet des œuvres de Maria Valtorta..."

[6] Site de Roman Danylak : In Defense of The Poem.

[7] Fac-similé de la lettre. Voir aussi Pro e contro Maria Valtorta, CEV 2017, 7ème édition, Lettere di Vescovi, pages 293/294.

[8] Imprimatur du site Bardstown.

[9] Pro e contro Maria Valtorta, CEV, 7ème édition, 2017, Gli attesti del 1952 e une petizione a Pio XII, page 89.

[10] La mariologie est l'ensemble des disciplines touchant à l'étude de la Vierge Marie : sa vie, sa place, son rôle.

[11] Voir le Bollettino Valtortiano, n° 83, janvier-juin 2012, page 4.

[12] Pro e contro Maria Valtorta, CEV, 7ème édition, 2017, Gli attesti del 1952 e une petizione a Pio XII, pages 74 à 79.