Maria Valtorta
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D’où venaient les connaissances de Maria Valtorta ?
Par François-Michel Debroise.








 








 



 










 Un cas unique, qui pose question.  

Comment un auteur, une femme de bonne instruction, mais sans connaissances particulières, peut-elle se risquer sur le terrain le plus scruté du monde : la vie de Jésus, et faire un parcours sans erreurs, même de détail ?      

Comment une seule personne peut-elle cumuler une excellence dans des domaines aussi divers que la théologie et l’exégèse et, dans le même temps, de l’histoire, de l’archéologie, de la botanique, de l’astronomie et de tant d’autres sciences.

Comment une personne
si humble, si anonyme, si ordinaire, si effacée, a-t-elle pu affirmer des hypothèses qui résistent à l’examen critique ?      

Comment une œuvre a-t-elle pu allier la simplicité du récit qui ravit le plus modeste des lecteurs et offrir une exactitude des descriptifs qui retient l’attention des scientifiques ? 

Qui prétend cela ?          

Non pas des lecteurs subjugués et donc partiaux, mais des spécialistes reconnus des différentes disciplines et même – comble du paradoxe - les adversaires mêmes de son œuvre, les censeurs du Saint-Office qui lui reconnaissent un niveau théologique hors du commun, à l’identique du prophète Balaam qui chargé de maudire le peuple d’Israël ne put se retenir de les bénir
[1].       

Cet éloge paradoxal se reproduisit pour Maria Valtorta lorsque l’œuvre, intempestivement promue contre l’avis de Maria Valtorta
[2], souleva les soupçons hostiles.

 Une théologie "mise à jour selon les plus récentes études des spécialistes actuels en la matière".  
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Nous savons que les scrutateurs du Saint-Office ne trouvant aucunes erreurs théologiques patentes[3], crurent que l’œuvre de Maria Valtorta avait été écrite en sous-main par quelques théologiens de renom dont ils se moquent en brocardant :

Jésus […] prêt à faire des exposés de théologie dans les termes mêmes qu’emploierait un professeur de nos jours.

Voilà donc Maria Valtorta qui n’assistaient qu’aux "messes basses" sans sermons et n’avait eu sa première Bible qu’à 46 ans, promue "professeur". Et pas n’importe lequel ! En effet, Les scrutateurs du Saint-Office, passant outre à l’avis privé du pape Pie XII[4], poursuivent :

La Très sainte Vierge, quant à elle est « toujours prête à donner des leçons d’une théologie mariale mise à jour selon les plus récentes études des spécialistes actuels en la matière.

Son œuvre révèle donc d’une théologie de pointe dans un domaine lui-même pointu ! Ce qui fut confirmé plus tard par un mariologue[5] de renom, le Père Roschini lui-même membre du Saint-Office.       

Il écrit, sans ambiguïté, en préface de son livre :

Cela fait un demi-siècle que je m'occupe de mariologie : par l'étude, l'enseignement, la prédication et l'écriture. […] Mais je me sens obligé d'avouer candidement que la mariologie qui se dégage des écrits publiés et inédits de Maria Valtorta a été pour moi une vraie découverte. Aucun autre écrit marial, pas même la somme de tous ceux que j'ai lus et étudiés, n'avait été en mesure de me donner sur Marie, chef-d'œuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi complète, aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime, que les écrits de Maria Valtorta.

Un tel compliment venant du fondateur de Marianum, l’université pontificale mariale est une véritable reconnaissance que le Bienheureux Paul VI salua dans une lettre que la Secrétairerie d’État fit parvenir au P. Roschini en remerciement du livre qu’il avait envoyé au saint Père :

Appréciant votre piété et votre zèle, dont cette publication est la preuve évidente, et le précieux résultat, le Saint-Père vous remercie chaleureusement pour votre nouveau témoignage de pieux hommage et exprime l'espoir que vos efforts recueillent des fruits spirituels abondants.

Le P. Roschini n’était pas le seul théologien de renom à soutenir Maria Valtorta, elle comptait aussi, dans les soutiens déclarés, Mgr Ugo Lattanzi, consultant au Saint-Office et doyen de la Faculté de théologie de Latran, la plus romaine et la plus autorisée des facultés.        

Maria Valtorta sur le plan théologique est donc incontestablement dans la cour des grands.
La suppression de l’Index peu de temps après, fut une belle réponse du Ciel aux détracteurs de Maria Valtorta et une belle concrétisation de l’avertissement que Jésus lui avait confié quelques années auparavant[6] :

Je ne puis permettre que l’on traite ce travail [la vie monumentale de Jésus] comme une plaisanterie et qu’elle reste à l’état de manuscrit. Nous avons affaire à un monde obtus et mauvais, jusque dans les milieux ecclésiastiques, à un monde qui ne se soucie guère de relire ces écrits pour pouvoir y reconnaître ma présence et les approuver, mais qui porte toute son attention à éplucher l’ouvrage dans le seul dessein d’y trouver un mot qui puisse passer pour une erreur théologique ou simplement historique, que ce soit dû à l’écriture incertaine de l’auteure ou à une erreur du copiste. C’est la pure vérité. J’agis donc en sorte que leur animosité soit déçue.

Il en fut ainsi à l’époque, il en est encore de même à la nôtre où ceux qui s’essayent à détracter l’œuvre de Maria Valtorta, ne peuvent le faire qu’en dissimulant les éléments exposés ci-dessus et en passant sous silence le soutien, divers mais explicite, de quatre papes à la révélation privée qu’elle a reçu[7]. C’est à cette occultation que s’adonnent par exemple quelques rédacteurs d’une encyclopédie en ligne en parfaite rupture avec leurs déontologie affichée et avec leurs homologues d’autres langues.          

Il est important de ne pas imiter ces attitudes limites sur le plan de l’honnêteté intellectuelle. Il faut, au contraire, exposer de façon parfaitement objective et claire, tous les faits, mêmes ceux qui clouèrent Maria Valtorta encore plus à son lit de la douleur. C’est à cette condition que chacun peut se faire une opinion personnelle éclairée, en conformité avec l’Écriture, l’Église et l’avis fondateur de Pie XII :

Ceux qui liront, comprendront.

 Une exégète confirmée.        
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Mais les connaissances de Maria Valtorta ne s’arrêtent pas là : elle démontre aussi une aptitude surprenante à l’exégèse, c’est-à-dire aux commentaires des textes sacrés. Et pas n’importe lesquels : ceux de la Septante (LXX), la Bible qui avait court chez les contemporains du Christ et que Jésus lui-même commentait.       

La connaissance du judaïsme de Maria Valtorta surprend en effet, car elle ne connaissait ni l’hébreu ni le grec, à peine le latin. Quelques exemples de ces connaissances sont donnés dans l’introduction de l’ouvrage collectif du "
Dictionnaire des personnages de l’Évangile, selon Maria Valtorta", mais d’autres viennent se rajouter avec le dernier ouvrage de Jean-François Lavère : il démontre que les narrations de l’Évangile ne sont pas sorties des arcanes tortueuses de l’histoire, mais sont d’une authentique "simplicité évangélique" que tous peuvent comprendre.          

Il démonte aussi quelques énigmes telle celle du "
sabbat premier-second" que mentionne Luc 6,1. Cette mention de la Vulgate est si obscure que les Bibles catholiques n’en parlent plus et que les Bibles protestantes l’indiquent sans expliciter le mystère. À la lecture de Maria Valtorta, on comprend, comme le relève si bien Jean-François Lavère, qu’il s’agit d’une indication liturgique qui désigne le premier sabbat après la seconde Pâque. Dans notre liturgie nous avons de même de telles indications : premier dimanche de l’Avent, premier dimanche après Pâques, etc. On peut retenir ou non cette explication, mais l’on est forcé de reconnaître une vraie valeur exégétique aux écrits de Maria Valtorta, humble personne qui ne fréquentait pas les milieux intellectuels de l’époque et tenait le rôle d’une "Cendrillon" auprès d’une mère possessive.

Le
cardinal Augustin Bea, Recteur de l’Institut biblique pontifical et confesseur du pape Pie XI reconnaissait cette valeur exégétique dans une de ses lettres :

J'ai lu plusieurs fascicules de l'ouvrage écrit par Maria Valtorta, en m'attachant plus particulièrement aux domaines exégétique, historique, archéologique et topographique. Pour ce qui est de son exégèse, je n'ai pas trouvé d'erreurs importantes dans les fascicules que j'ai examinés. En outre, j'ai été très impressionné par le fait que ses descriptions archéologiques et topographiques sont faites avec une exactitude remarquable.

Voici donc l’imprimatur donné par une autorité digne de confiance. Au quel de ses élèves le cardinal Augustin Bea aurait-il donné un tel satisfecit ?

 Une bibliste reconnue par ses pairs.          
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Car ce n’est pas seulement dans la théologie et l’exégèse que Maria Valtorta s’illustrent, mais aussi dans ce qui impressionnait le Recteur de l’Institut biblique pontifical : l’archéologie et la topographie, autrement dit la connaissance de lieux où elle n’avait jamais été.    

Vittorio Tredici, Président de l’association nationale minière, ne trouve pas d’explication humainement convaincante à
l’extrême précision des descriptifs de Transjordanie faits par Maria Valtorta :

Je peux déclarer, dans une conscience sereine, qu'en lisant la description faite dans l'Œuvre (de Maria Valtorta) de l'un des voyages de N.S.J.C. au-delà du Jourdain à Gerasa, j'ai parfaitement reconnu, avec une mémoire vive qui me revenait à l'esprit, le chemin de Notre-Seigneur, et je reconnus la description faite avec une telle précision que seuls ceux qui pouvaient le voir ou l'avaient vu, avaient la possibilité de se le représenter !

Cette connaissance n’est aucunement livresque : le Père François-Paul Dreyfus (1918-1999), un dominicain de l’école biblique et archéologique française de Jérusalem, écrit :

J’ai été très impressionné de trouver dans l’œuvre de Maria Valtorta le nom d’au moins six ou sept villes qui n’apparaissent ni dans l’Ancien ni dans le nouveau Testaments. Ces noms ne sont connus que par quelques rares spécialistes et grâce à des sources non bibliques.

Maria Valtorta est-elle une des rares spécialistes explorant des sources non-bibliques ?

C’est une hypothèse qu’écarte le Bienheureux G. Allegra, bibliste traducteur de la Bible en chinois. Il
confesse d’abord son trouble devant la puissance de l’œuvre :

Jusqu’à quel point les paroles du Seigneur, rapportées par M. Valtorta, sont-elles authentiques ? Voici : je ne parviens pas à me persuader que la voyante ait inventé ou ajouté quelque chose d’elle-même : non, elle reproduit ce qu’elle entend et tel qu’elle l’entend", avant de conclure : "Je retiens que l'œuvre (de Maria Valtorta) requiert une origine supra naturelle. Je pense que c'est le produit d'un ou plusieurs charismes et qu'il devrait être étudié à la lumière de la doctrine des charismes, tout en faisant usage aussi des contributions des récentes études de psychologie et des sciences affinées […] je me permets d'affirmer qu'étant donné que le principal critère de discernement des esprits est le mot du Seigneur : "À leurs fruits vous les reconnaîtrez…" (Matthieu 3,20), et l’œuvre de Maria Valtorta produisant de bons fruits dans un nombre toujours croissant de lecteurs, je pense que cela vient de l'Esprit de Jésus.

 Des recherches contemporaines qui confirment scientifiquement Maria Valtorta.   
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Le souhait d’études plus approfondies du Bienheureux G. Allegra s’est réalisé dans les années qui suivirent : des scientifiques, tel Jean Aulagnier ont commencé à étudier l’œuvre dans le détail, examinant la cohérence et la validité des informations qu’elle contenait. Les richesses scientifiques sont en effet imperceptibles à l’œil, car Maria Valtorta n’en fait pas un étalage comme le firent des esprits encyclopédiques de notre histoire. Il faut lire et relire, scruter, le texte qui autrement coule de source.    

À ce stade les surprises ne manquent pas.   

Quand j’ai commencé à travailler avec le Mgr Laurentin en 2007 sur
le cas comparé des visionnaires de l’Évangile, un fait nous a particulièrement marqué : le descriptif de certains aspects de la crucifixion que les voyantes[8] faisaient communément. Notamment le percement des pré-trous dans la croix, d’évidence pour l’artisan du bois, ce qu’elles n’étaient pas. De même le renversement de la croix, avec son supplicié, pour tordre les pointes de clou qui risqueraient autrement de ressortir sous les soubresauts de la mort. Ou encore l’élongation de la main gauche pour la faire coïncider avec le pré-trou. Mal fait, il entraîne le déboîtement douloureux du bras et le clouement de la main dans la paume et non le poignet au contraire de l’autre main.        

Elles ont donc reçu toutes trois les mêmes informations qu’elles ne pouvaient connaître autrement. Seule la malignité des hommes a déformé, parfois dans la meilleure intention, ces visions originales du Ciel.       

Maria Valtorta sortait tellement du lot, que Mgr Laurentin, pourtant réservé de prime abord, mais sans prévention, décida d’explorer l’historicité des personnages. C’est à cette époque que la rencontre se fit avec Jean-François Lavère qui avait poussé très loin les études en ce sens et certainement plus que je ne l’avais fait moi-même.          

Mais il fallut faire plus que mettre en commun nos informations. Il fallut aussi pousser communément les recherches pour reconstituer par exemple la composition du Sanhédrin au temps de Jésus et d’autres points de détails. Comment Maria Valtorta aurait-elle pu inventer ou compiler des sources qui nous fallut tant travailler, depuis tant d’années, notamment en recherches internet, avant de les découvrir ? Pour nous, c’est clair : elle ne le pouvait absolument pas et d’autant plus qu’aucune étude ne répondait aux questions que nous examinions comme celle des soixante-douze disciples que l’Évangile nomme pourtant, mais qu’aucun auteur ne liste communément.  

Parmi toutes les découvertes qui ont été révélées depuis, celle faite par Jean-François Lavère sur la lune de Sicaminon
[9] m’avait particulièrement frappé. Dans la fraicheur d’un soir de juin, Jésus se promène avec ses disciples, sur cette plage au pied du mont Carmel. La lune est absente, puis apparaît : détail qui n’ajoute rien au récit et que Maria Valtorta aurait pu omettre sans trouble. Hors l’exactitude de ce détail ne peut être vérifiée que par de puissants logiciels accessibles uniquement par internet. Moyens inexistants à l’époque où la scène fut écrite.         

De même des découvertes apparemment insignifiantes m’ont stupéfait, telle cette information selon laquelle la Samaritaine (Photine) se serait retirée
dans un village près du Fialé. Qu’était donc ce Fialé ? Les recherches internet restaient désespérément stériles. Traduit en Phiale, elles me révèlent une coupe de libation grecque similaire à un tastevin. Puis, en fin de compte, apparaît la page d’un catalogue de la bibliothèque de Cambridge : Phiale en Palestine = lac Ram. C’est alors que m’apparait un superbe lac … en forme de coupe, avec un village tout proche.     

Qui pouvait fouiller les bibliothèques à la recherche d’un détail vrai, mais si anecdotique que Maria Valtorta aurait pu omettre sans risque ?

 Il reste tant à découvrir.       
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Ces petites perles que Maria Valtorta ne pouvait inventer, sont monnaies courantes et Jean-François Lavère me communique parfois les plus importantes avec la joie fébrile qui devait être celle de la drachme retrouvée[10]. Il en fut ainsi de sa reconstitution du visage du Christ.   

L’Histoire a connu des esprits encyclopédiques, mais je n’ai pas connaissance d’un seul qui ait eu des connaissances aussi poussées dans autant de domaines que Maria Valtorta. Dans plusieurs disciplines, elle est qualifiée de "spécialiste
", elle qui n’a pas dépassé des études secondaires classiques. Ce terme de spécialiste ne s’applique pas à tous les esprits encyclopédiques : personne ne se risquerait en effet à s’envoler avec l’engin volant imaginé par Léonard de Vinci.           

L’investigation de l’œuvre de Maria Valtorta n’est pas achevée. Elle réserve d’immenses surprises dans les petites choses, comme dans les grandes. Jean-Marcel Gaudreault, Jean-François Lavère, Liberato De Caro et tant d’autres que j’oublie à la suite de Jean Aulagnier, ne sont pas prêts d’achever leurs travaux ! En attendant tous ceux qui se mettront un jour à investiguer d’autres disciplines, telle la médecine dans l’œuvre de Maria Valtorta.           

Pour notre part, avec Mgr Laurentin, nous voulions explorer la valeur de la théologie contenue dans les autres œuvres de Maria Valtorta. Les deux premiers essais n’aboutirent pas, ou pas dans le même éblouissement que les précédents travaux sur la valeur historique.     

Jusqu’à ce que le hasard (mais est-ce vraiment lui ?) nous fasse rapprocher plusieurs de ces textes de la prophétie de Grignion de Montfort sur la "
Vierge des derniers temps" puis avec celles d’autres mystiques. Alors, tels les rayons du soleil au travers de la loupe qu’on interfère, tous se mirent à se concentrer en une même incandescence.

François-Michel Debroise
Dimanche 7 novembre 2014.
Mis à jour le mercredi 14 février 2018.

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Fiche mise à jour le 24/06/21

 



[1] Livre des nombres, chapitres 22 à 24 - Deutéronome 23, 6.

[2] Le Père Migliorini son confesseur, enthousiasmé par le récit des visions, se fit le promoteur à Rome de l’œuvre à peine achevée. Il akkait ainsi contre l’avis de Maria Valtorta et contre les instructions de Jésus qui réprouve cette initiative.

[3] Ils finirent par ne condamner l’œuvre qu’au titre du défaut d’imprimatur (article 1385, 1 n.2, du code de droit canonique de 1917) une mesure disciplinaire qui n’a plus court aujourd’hui pour des œuvres de cette sorte (AAS 67 du 19 mars 1945).

[4] Ils mentionnent explicitement dans les commentaires de l’Osservatore romano qu’ils passent outre. Le pape Pie XII était mort récemment : "malgré les personnalités illustres (dont l'incontestable bonne foi a été surprise) qui ont apporté leur appui à la publication, le Saint-Office a cru nécessaire de la mettre dans l'Index des Livres prohibés". Cette attitude outrancière et irrespectueuse fut corrigée ensuite par le Saint-Office.

[5] La mariologie regroupe les études relatives à la Vierge Marie.

[6] Maria Valtorta, Cahiers, CEV, 2004, 21 janvier 1946. Ce texte explicite précède les faits exposés : il les annonce donc et n’en sont pas un commentaire a posteriori.

[7] Pie XII qui encouragea la publication, Paul VI qui appuya ses exégètes, Jean-Paul II qui lisait l’œuvre et Benoît XVI qui a béatifié deux promoteurs reconnus de l’œuvre.

[8] Marie d’Agréda, Anne-Catherine Emmerich, Maria Valtorta.

[9] L’énigme Valtorta, tome 1.

[10] Luc 15, 9.