L'œuvre de Maria Valtorta.

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María Jesús de Ágreda (1602-1665).



Ágreda, une ville de 3.500 habitants nichée à 1.000 mètres d'altitude.


Le couvent de la Conception en 1886.


Le couvent de la Conception aujourd'hui.

 Qui est Marie d'Agréda.        
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María Fernandez Coronel, plus connue sous le nom de Sr. Marie de Jésus, est née à Agreda, Province de Soria (Castille et Léon), le 2 avril 1602, dans une famille de quatre enfants, de Francisco Coronel et de Catalina Arana (Catherine de Arana). La Province de Soria est une des plus désertiques de l'Espagne.  

Son existence entière se déroula dans sa ville natale. Le 13 janvier 1619, à un peu plus de seize ans, elle entra dans un ordre franciscain : l'ordre de l'Immaculée-conception (conceptionistes déchaussées, placées sous la juridiction des Frères Mineurs). Elle prit l'habit dans la maison paternelle (léguée pour être transformée en couvent), avec sa mère et sa sœur alors que son père et ses deux frères entrèrent dans un autre ordre franciscain, les frères du Saint-Sacrement
[1]. C'est d'ailleurs devant son père, devenu frère franciscain, qu'elle prononce ses vœux le 2 février 1620[2]. Elle ne sortit plus de la clôture jusqu'à sa mort.  

Ses premières années de vie conventuelle, furent marquées de nombreuses tentations et par des difficultés extraordinaires, comme les phénomènes mystiques extérieurs qui attiraient la curiosité de l'entourage (extases, lévitations, bilocations…). Elle demanda au Seigneur d'en être délivrée et elle l'obtint.         

La seconde époque de sa vie commence lorsqu'elle est élue abbesse en 1627; elle a vingt-cinq ans. Elle sera réélue jusqu'à sa mort, à l'exception des trois années (1652-1655), à sa demande. Durant son gouvernement de trente-cinq ans, elle maintient la vie et l'observance régulières et fait prospérer les biens de la communauté. Elle construit un nouveau couvent inauguré en 1633; en même temps elle augmente notablement les revenus, au point de pouvoir faire vivre trente-trois religieuses, au lieu des douze qu'elle dirigeait au début de son abbatiat.   

Elle eut comme conseillers spirituels deux franciscains, théologiens et savants : Fr. Francisco Andrés de la Torre, de 1623 à 1647, et Fr. Andrés de Fuenmayor, de 1650 jusqu'à sa mort.           

Trois écrits historiques sont particulièrement significatifs de la vie féconde de Marie d'Agreda :
La Mistica Ciudad de Dios, son principal ouvrage commencé en 1637, sa correspondance avec Philippe IV d'Espagne, inaugurée en 1643, et l'examen personnel que lui fit subir le tribunal de l'Inquisition en janvier 1650.  

L'année de son élection (1627), Marie d'Agreda reçoit ses visions. Prise dans un tourment intérieur, elle attend dix ans avant d'écrire ses révélations
[3]. Un confesseur occasionnel lui fit brûler ses écrits, car "les femmes ne devaient point écrire dans la sainte Église"[4] mais le confesseur ordinaire de la communauté lui donna l'ordre de la réécrire. Ce qu'elle fit, du 8 décembre 1655[5] au 6 mai 1660[6], peu de temps avant sa mort, en surmontant des répugnances, conflits et tentations intenses.          

Son procès par l'Inquisition espagnole eut lieu d'abord en 1635, mais repris vraiment le 18 janvier 1650. Au terme de ce procès, son œuvre fut approuvée par ce tribunal.    

Marie d'Agreda mourut le 24 mai 1665, jour de la Pentecôte. Une telle foule entoura le monastère pour vénérer sa dépouille, que le Gouverneur dut employer la force afin de le dégager. À la suite des prodiges dus à son intercession, sa cause fut introduite le 21 novembre 1671
[7] et déclarée Vénérable par décret du Pape Clément X le 2 septembre 1679. Il introduisit sa cause de béatification peu après.    

Son œuvre fut une des plus amples polémiques religieuses de la fin du 17ème siècle et dura jusqu'au milieu du 18ème siècle. Compte-tenu des polémiques soulevées son procès en béatification resta en suspens.


Lire la Cité Mystique de Dieu.

 

 "La Cité mystique de Dieu". 
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 Le contenu.      

Les huit livres de la Mistica Ciudad de Dios, réécrits trente-trois ans après les visions primitives, suivent l'ordre de la vie de la Vierge Marie. L'ouvrage comprend trois parties :           

 de la prédestination de la Vierge jusqu'à l'Incarnation (livres 1-2),   

 de l'Incarnation à l'Ascension du Seigneur (livres 3-6),           

 de l'Ascension à l'Assomption et au couronnement de Marie au ciel (livres 7-8).           

Chaque partie est précédée d'une introduction et, à partir du chapitre 16 du premier livre, d'une "Doctrina que me dio la Reina del cielo". Cet enseignement donné et une exhortation, clôturent chaque chapitre qui décrit un épisode de la vie de Jésus (livres 3 à 6) et de Marie (livres 1 à 8). Le sujet de cette histoire reste cependant Marie, Cité mystique en laquelle Dieu habite et se complaît.    

La seconde version, la seule que nous connaissions, est probablement enrichie d'enseignements spirituels plus importants que dans la première
[8].

 Le style. 
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Il ne s'agit pas d'un exposé doctrinal et théologique, (même si l'on y trouve beaucoup de théologie et de doctrine spirituelle). La narration des épisodes de la vie de Jésus et Marie, alternent avec les enseignements donnés par Marie pour une portée spirituelle et universelle.   

Mais les vicissitudes de la narration des visions, notamment la distance entre leur rédaction et les visions initiales, ainsi que les pressions psychologiques auxquelles Marie d'Agréda fut soumise, ont introduit des éléments de l'époque comme le confirmera Jésus à Maria Valtorta, une autre voyante : "S’il faut répéter toute une série de visions en ne les ayant plus sous les yeux, après un long intervalle de temps, il retombe sans cesse dans sa propre personnalité et dans les habitudes de son époque". (
voir le paragraphe ci-dessous).

De là trois défauts :        

- un langage artificiellement recomposé,     
- une abondance en superstructures,            
- avec une superfétation du merveilleux.     

Cependant, l'exposé clair, méthodique, presque "cartésien" dans sa démonstration, séduit son lecteur. C'est une vie de Marie propre à l'enseignement et à la spiritualité.     

Chez Marie d'Agréda, les "catéchèses" de la Vierge Marie s'imposent particulièrement. Elles sont porteuses d'un sens spirituel profond et fructueux qu'explique la Vierge Marie à Marie d'Agréda :

Dans les siècles passés quelques-uns des mystères qui me concernent ont été successivement manifestés; mais la plénitude de cette lumière vous a été communiquée, […] afin que les hommes cherchent leur remède et le salut éternel par mon intercession[9].

Le texte adopte le genre narratif, clair et méthodique. La situation d'autorité dans laquelle Marie d'Agreda vécut toute sa vie et l'époque où elle écrivit, donne une tonalité particulière à son style. La traduction française, 1715, date son œuvre qui se lit pourtant facilement.

 Les souffrances de son auteur.        
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Maria d'Agreda s'explique elle-même sur le tourment que fut l'élaboration de cette œuvre :

Le Très-Haut a crucifié mon cœur durant toute ma vie par une continuelle frayeur que je ne puis exprimer, et qui est causée par l'incertitude où je me trouvais, ne sachant si j'étais dans le bon chemin, si je perdais son amitié ou si je jouissais de sa grâce[10].

Le témoignage de son dernier confesseur, Fr. Fuenmayor, consigné par le tribunal de l'Inquisition, confirme que la composition de cette œuvre "fut une douloureuse passion et une croix pour son auteur"[11].



Marie d’Agreda.

 La polémique.  
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À la mort de Marie, d'autres difficultés surgirent. En effet, le procès en vue de sa béatification demandait l'examen de la Cité mystique de Dieu. Une commission diocésaine rendit un jugement favorable en 1667. En même temps l'ouvrage était révisé par une commission de huit théologiens franciscains, révision qui servit de base à l'édition princeps de 1670. Plus tard, en 1674, l'ouvrage fut déféré à l'Inquisition espagnole, qui l'approuvait en juillet 1686 après un long examen de quatorze ans. Entre-temps, les adversaires de la Cité mystique de Dieu avaient fait appel à l'Inquisition romaine. Ce tribunal suprême publia un décret prohibant la lecture de l'œuvre, le 4 août 1681, mais les rois d'Espagne obtinrent des Papes Innocent XI, puis d'Innocent XII que la publication de ce décret soit suspendue là où elle n'avait pas encore été faite[12].      

Au milieu d'autres vicissitudes et pendant qu'une commission de trois cardinaux nommés par Innocent XII étudiait à Rome les livres de Marie d'Agreda, l'attaque et la censure les plus dures vinrent de la Sorbonne (1696). Contre l'université parisienne, celles d'Alcala et Salamanque (1699), Oviedo, Grenade, Saragosse, Toulouse, Vienne, Perpignan et Louvain (1715) donnèrent un avis favorable. En même temps paraissait une vague d'apologies et de défenses réfutant les allégations des docteurs de Sorbonne. On sait que Jacques-Bénigne Bossuet, évêque de Meaux
[13] et Eusèbe Amort, un théologien allemand, furent des adversaires acharnés de l'œuvre de Marie d'Agreda.   

En 1700 moururent le roi Charles II d'Espagne, très favorable à la cause de Marie d'Agreda, et le pape Innocent XII; ils laissaient le procès inachevé. Par la suite, Benoît XIV s'intéressa beaucoup à la Cité mystique de Dieu; il se réserva le jugement qui reconnaîtrait l'authenticité du texte de l'ouvrage conservé en huit tomes au couvent d'Agreda (7 mai 1757). Sous Clément XIV le procès de béatification fut repris, mais sans résultat positif. Les choses en restèrent là. Toutefois, en 2002, pour le 400ème anniversaire de sa naissance,
la demande a été relancée.           

Au XIXe siècle, Dom Prosper Guéranger, abbé de Solesmes, fut un grand défenseur de Marie d’Agreda
[14].



Le roi Philippe IV d'Espagne.

 Les autres écrits.        
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 Les lettres échangées avec Philippe IV d'Espagne.          

Les Cartas del Rey nuestro Señor para Sor Maria de Jesùs y sus Respuestas forment 614 lettres publiées en deux volumes. On les a étudiées sous les aspects historique, politique et spirituel comme témoins du siècle d'Or espagnol.   

Marie d'Agreda, dans une lettre conservée au couvent d'Agreda, en dit l'origine.

Le roi [...] passa en ce lieu et entra en notre couvent le 10 de juillet de 1643, et il me donna commandement de lui écrire; je lui obéis.

Peut-être ce monarque chercha-t-il ainsi une consolation dans les malheurs qui atteignaient son règne.

 L'examen du tribunal de l'Inquisition.     
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En 1635 s'ouvrit un procès sur ce qu'on disait de la moniale; on se borna alors à interroger divers témoins et informateurs. Mais en 1649 le procès reprit et Marie y prit part directement. Le 18 janvier 1650 son interrogatoire commença au couvent d'Agreda et dura jusqu'au 29, à raison de six heures par jour sauf le dimanche. Les réponses de Marie donnèrent satisfaction aux qualificateurs du Saint-Office; ils approuvèrent la sainteté et la science de Marie, et l'inquisiteur général confirma leur approbation.



Marie d'Agréda fait partie des corps imputrescibles.



 

 L'œuvre et l'Église catholique.        
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 L'Église et les révélations privées.  

La position de l'Église catholique sur les révélations privées est rappelée dans les articles 66, 67 et 514 du Catéchisme de l'Église Catholique (1992).    

Les deux premiers rappellent qu'elles ne sont pas une alternative à l'Évangile :

Au fil des siècles il y a eu des révélations dites "privées", dont certaines ont été reconnues par l’autorité de l’Église. Elles n’appartiennent cependant pas au dépôt de la foi. Leur rôle n’est pas "d’améliorer" ou de "compléter" la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire.

Le troisième en souligne cependant tout l'intérêt :

Toute la vie du Christ est un mystère et […] Beaucoup de choses qui intéressent la curiosité humaine au sujet de Jésus ne figurent pas dans les Évangiles.

Il ne fait ainsi que reprendre ce que dit Jean à la fin de son évangile (Jean 20,30-31 et Jean 21,24-25).

 Valeur théologique de l'œuvre.       
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Dans l'œuvre de Marie d'Agreda, la doctrine relative aux prérogatives et aux fonctions de la Mère de Dieu s'inspire de l'Écriture, en particulier de l'Apocalypse de Jean.     

Julio Campos dans le "Dictionnaire de la spiritualité" (éditions Beauchesne – 1960) note justement à ce propos :

Parmi les enseignements de Marie d'Agreda sur l'Immaculée Conception, l'assomption, la corédemption, la médiation universelle, la royauté, sur le rôle de mère et de maîtresse que remplit la Vierge Mère envers l'Église, certains ont été par la suite confirmés dogmatiquement[15].

Sans aucun doute, il est parfois difficile de distinguer entre ce qui relève de la révélation privée et ce qui est le fruit d'un savoir. Il arrive que Marie d'Agreda dise ne pas pouvoir bien discerner l'un de l'autre. Mais elle est très consciente de la clarté plus ou moins grande des lumières qu'elle reçoit[16].   

Si la description des visions historique est déformée (voir ci-dessous, la dictée de Jésus à Maria Valtorta), les instructions "doctrinales et spirituelles" gardent leur valeur : elles sont effectivement d'un style plus sobre et plus pondéré.










 

 Marie d'Agreda et les autres voyantes.      
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Marie d'Agréda n'est pas la première voyante à recevoir des visions de l'Évangile. Elle est par contre la première à recevoir des visions aussi complètes, (relatées en 1.800 pages environ) même si des pans entiers de la Vie Publique de Jésus ne sont pas mentionnés. Elle inaugure ainsi les visions monumentales que recevront plus tard la bienheureuse Anne-Catherine Emmerich (Anna Katharina Emmerick; 1774-1824) et Maria Valtorta (1897-1961) ou, à un degré moindre, Consuelo, une contemporaine qui semble reprendre à son compte le récit de Marie d'Agréda [17].        

Malheureusement, la rédaction tardive (à trente-trois ans d'écart) de ses visions, a certainement permis à des souvenirs personnels d'interférer dans la vision initiale, ce qu'elle reconnaît elle-même. Quelle peut-être dans ce cas l'influence de ses lectures des autres récits et notamment des apocryphes ? Même si cette influence est possible, voire certaine, elle semble rester relative et limitée.          

Dans une dictée ultérieure à la voyante Maria Valtorta, Jésus fait cette critique extraordinairement pertinente et pénétrante de Marie d'Agréda :

Certains désirent en savoir plus sur l’énigme de Maria de Jesús de Agreda. Qu’est-ce qui a gâché l’œuvre vraiment sainte de Maria de Agreda ? : La précipitation des hommes [l'intervention de son directeur]. Elle a suscité l’attention et des rancœurs. Elle a contraint cette femme illuminée à remanier la partie descriptive. En ce qui concerne la partie instructive, l’Esprit a pourvu, et son enseignement reste identique. Or quelles ont été les conséquences de ce remaniement ? Une grande souffrance, de la fatigue et des troubles chez Maria de Agreda, ainsi que la corruption de la magnifique œuvre primitive.      
Toute personne qui décrit, tout prophète, est esclave de son temps. Au moment où il écrit et où il voit (je parle de ceux qui écrivent de par la volonté de Dieu), il le fait en décrivant parfaitement, même à l’encontre de sa propre façon de voir, conforme à son époque. Il s’étonne, par exemple, de ne pas voir ceci ou cela, ou bien de remarquer des objets et des formes de vie différentes de celles de son temps, mais il les décrit telles qu’il les voit. S’il lui faut en revanche répéter toute une série de visions en ne les ayant plus sous les yeux, après un long intervalle de temps, il retombe sans cesse dans sa propre personnalité et dans les habitudes de son époque. Ceux qui viennent après s’effarent donc de certaines traces trop humaines dans la description d’un tableau d’origine divine.
C’est ainsi que, dans sa partie descriptive, Maria de Agreda est tombée dans les fioritures de l’humanisme espagnol : elle fait de la vie de ma Mère en sa sainte pauvreté, de sa sublime création sur la terre et de son règne au ciel, un fatras d’éléments de la pompe rutilante de la cour des Rois d’Espagne à l’époque la plus pompeuse qu’elle ait jamais connue. Cette tendance espagnole, et d’Espagnole de son temps, ainsi que les suggestions d’autres personnes - qui, en bons Espagnols de cette époque, étaient portés à voir, à rêver, à penser, à transposer dans l’éternité et dans le surnaturel ce qui était temporel et humain -, tout cela l’a poussée à entourer les descriptions de fioritures clinquantes qui nuisent à l’œuvre sans honorer Dieu".         
C’est une grande erreur que d’imposer certains remaniements ! L’esprit humain ! À la fois parfait et très imparfait, il ne peut rien répéter sans tomber dans l’erreur, et en particulier pour un travail de ce genre et de cette ampleur. Ces erreurs sont certes involontaires, mais elles gâchent ce qui était parfait parce qu’illuminé par Dieu.   
(Maria Valtorta – "Cahiers de 1944" – dictée du 12 septembre, page 568).



Marie d’Agréda.

 Bibliographie.  
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Les sources biographiques majeures sont :

 la relation autobiographique de Marie d'Agreda reprise en introduction de La Cité mystique de Dieu,        

 la relation de José Jiménez Samaniego, Provincial des franciscains qui assista Marie d'Agréda à sa mort et fut son premier biographe,

 et les procès ordinaire et apostolique en vue de la béatification.       

La plupart des sources sont en espagnol.

 Œuvres de Marie d'Agreda.  
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 Mistica Ciudad de Dios. Première édition espagnole en 1670. Cette œuvre a donné lieu à 168 traductions diverses. La traduction française du P. Thomas Croset, "La Cité mystique de Dieu", date de 1715. Elle a dernièrement été réédité en fac-similé par les éditions Téqui (éditions Saint-Michel) 2006 – F 53150 Saint-Cénéré. On peut la consulter en ligne sur le site de l'abbaye Saint-Benoît    

 Vie divine de la Très Sainte Vierge Marie. Résumé de La Cité mystique de Dieu établi par le Chanoine Victor Viala. En fac-similé par les éditions Téqui – F 53150 Saint-Cénéré.           

 Cartas del Rey nuestro Señor para Sor María Jesús y su Respuestas. Deux volumes, couvent d'Agreda. Première édition française partielle : La S. Marie d'Agréda et Philippe IV… Correspondance inédite – Manuscrit de A. Germond de Lavigne, Bibliothèque Nationale, Paris 1855 (42 lettres).            

 Divers écrits spirituels. Couvent d'Agreda

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Fiche mise à jour le
23/06/2021.

 



[1] La Cité mystique de Dieu - Introduction à la vie de la Reine du Ciel - § 19

[2] Idem

[3] La Cité mystique de Dieu – Introduction à la vie de la Reine du Ciel, § 6 et 7

[4] Ib - § 19. Cette phrase est une interprétation de la consigne de saint Paul : les femmes de doivent pas parler dans l’Assemblée (1 corinthiens 14,34).

[5] Idem

[6] La Cité mystique de Dieu - Livre 8, chapitre 23, § 18, page 667

[7] 24 août 1672 selon le chanoine Viala, dans son introduction à la Vie divine de la Très sainte Vierge Marie

[8] La Cité mystique de Dieu – Introduction à la vie de la Reine du Ciel, § 15

[9] La Cité mystique de Dieu – Livre 6, Chapitre 28, § 1508, page 313

[10] La Cité mystique de Dieu – Introduction à la vie de la Reine du Ciel, § 6

[11] Questions 45 et 58.

[12] Autrement dit l’empire espagnol de l’époque. Ainsi, juridiquement, on pourrait lire la Cité Mystique à Bruxelles, mais pas à Paris, à Madrid, mais pas à Rome.

[13] Remarques sur … La mystique cité de Dieu. Jean-Bénigne Bossuet.

[14] Dom Prosper Guéranger (1805-1875), abbé de Solesmes, publia une série de 28 articles sur Marie d’Agréda dans le journal L’Univers, du 23 mai 1858 au 6 novembre 1859.

[15] Notice de Julio Campos - "Dictionnaire de la spiritualité" Éditions Beauchesne 1960 – Tome 10, page 511.

[16] La Cité mystique de Dieu, livre 1, chapitre 2, § 14 et 15

[17] "Marie Porte du Ciel" (María, puerta del cielo) éditions du Parvis, 1992 et "Marie Etoile de l'évangélisation" (María, Estrella de la Evangelization) éditions du Parvis, 1995