Maria
Valtorta |
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> Sommaire du dossier Maria Valtorta. Traduction automatique de cette fiche : Réponse à un article des dominicains
d’Avrillé. Par François-Michel Debroise. |
SOMMAIRE DE
L’ARTICLE.
BIBLIOGRAPHIE.
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Le devoir de vérité. L’abbé Gérard Herrbach a écrit, en
1993, un livre résolument opposé aux écrits de Maria Valtorta. Il fait le tri
entre les vraies et les fausses révélations privées et vante les mérites de
la censure et de l’Index, remparts contre "une tendance trop
sentimentale ou apparitionniste de la piété".
Non, le don victimal n’est pas une maladie
mentale. C’est vrai : comme le disent nos
auteurs, Maria Valtorta a terminé sa vie "dans un isolement psychique
incompréhensible". Ils en concluent qu’elle était aliénée. Chacun
comprend alors que sa littérature n’est que la divagation d’une
déséquilibrée. C.Q.F.D. Après avoir offert tout
à Dieu, jusqu'à sa propre intelligence, Maria commença à
se renfermer graduellement, pendant plusieurs années, dans une sorte
d'isolement psychique, jusqu'au jour où elle s'éteignit[5]. C’est volontairement et consciemment
que Maria Valtorta offrit jusqu’à son intelligence dans le don victimal total qu’elle fit d’elle-même. Elle
l’écrit dès 1949, une fois les visions de la vie de Jésus terminée. Cet
anéantissement intellectuel intervint plus tard : en 1956 quand Jésus ne
vient plus que pour elle seule, selon sa promesse. L’Église a besoin des âmes qui s’immolent, comme de la messe ;
elle vit du sacrifice de Jésus-Christ, continué de ces deux manières. Saint
Paul disait : "Je complète ce qui manque de la Passion du Christ pour
l’Église." La patience et l’immolation sont plus fécondes que la prière
et l’action. L’article sur les "corédempteurs" développe et justifie ce que Mgr Gay résume. C’est
aussi très bien exprimé par Thérèse de Lisieux, Docteure de l’Église, dans
son acte d’offrande comme "victime d’holocauste à l’Amour miséricordieux". Elle le supplie de la consumer sans cesse. Maria
Valtorta, née l’année de la mort de la jeune carmélite, lui vouait une
affection particulière et s’en inspira. Oui, Pie XII a personnellement lu et
encouragé l'œuvre de Maria Valtorta. Nos auteurs l’affirment : "Cette autorisation orale du pape
paraît invraisemblable : le pape n’aurait pu raisonnablement donner une telle
autorisation que s’il avait lu l’ouvrage et s’était assuré de son orthodoxie
; mais comment le pape aurait-il trouvé le temps de lire ces 10 000 pages
?" Oui, un des censeurs de Maria Valtorta a été
licencié par Pie XII. Nos auteurs affirment : "le Saint-Office a interdit
définitivement (sans correction possible) l’œuvre un an plus tard, en février
1949". Oui, la censure est censurée. La censure est contemporaine du
Christ. C’est déjà une lutte incessante contre ceux qui, dépositaires d’un pouvoir,
s’opposent aux motions de l’Esprit saint. Persuadés de défendre la Loi, dont
ils s’estiment seuls garants par mandat sacré, ils la déforment et
l’enferment. C’est dans l’Évangile. Mieux garder et mieux expliquer le dépôt précieux de la
doctrine chrétienne, afin de le rendre plus accessible aux fidèles du Christ
et à tous les hommes de bonne volonté. Pour cela, le Concile ne devait pas
d’abord condamner les erreurs de l’époque, mais il devait avant tout
s’attacher à montrer sereinement la force et la beauté de la doctrine de la
foi[21]. Cinquante ans auparavant, les écrits
de Maria Valtorta y participaient déjà et les treize accusations retenues par
nos interlocuteurs vont fournir l’occasion de l’illustrer.
Passons maintenant aux
"quelques exemples des erreurs et inconvenances de ce livre". Il y
en aurait huit. Puis des "contradictions" avec l’Évangile : il
y en aurait cinq. Oui, les visions mènent à Dieu. Erreur ou inconvenance n°1 : Oui, l’Arbre de Vie de l’Eden est aussi un
symbole. Erreur ou inconvenance n°2 : Oui, la luxure est issue du péché d’Adam et
Ève. Erreur ou inconvenance n°3 : Oui, sainte Anne eut une maternité
extatique. Erreur ou inconvenance n°4 : J'éprouve cette grande paix que j'ai éprouvée au Temple quand
me fut faite la grâce et que j'ai ressentie aussi quand j'ai su que j'allais
être mère. C'est comme une extase. Une douce somnolence corporelle pendant
que l'esprit jubile et s'apaise en une paix à laquelle rien n'est humainement
comparable. Dieu, à qui rien n’est impossible,
fit encore mieux quand, à son tour, Marie enfanta Jésus. Pourtant l’Évangile
n’en dit rien[27], bien que l’Église proclame la virginité perpétuelle de
Marie[28]. Oui, la Vierge Marie a vanté son humilité. Erreur ou inconvenance n° 5 : Oui, La Vierge Marie a racheté les femmes
par sa maternité. Erreur ou inconvenance n°6 :
Commentant la naissance de Jésus à
Maria Valtorta, Marie explique l’efficacité salvatrice de sa maternité divine
(voir le passage correspondant =>). Erreur, disent nos auteurs ? La sainte Vierge est l'Eve de la nouvelle alliance,
c'est-à-dire la vraie mère de tous les vivants, et Dieu lui a voulu donner la
même part dans notre salut qu'Eve a eue dans notre perte […] C’est ainsi que tout l'ouvrage de la
Rédemption est attribué à sa manière à la sainte Vierge, par laquelle le Père
éternel nous a donné son Fils notre Sauveur. C'est ainsi qu'on unit les
louanges de cette Vierge Mère avec celles de son Fils, et même avec celles de
toute la très-sainte Trinité. On est sûr que Maria Valtorta
n’avait pas lu Bossuet. Comment en connaissait-elle le contenu plus
précisément que nos interlocuteurs ? Oui, l’âme de la Vierge Marie a vu Dieu. Erreur ou inconvenance n°7 : Oui, Satan s’est incarné en Judas. Erreur ou inconvenance n°8 : Dieu a pris chair en moi : Jésus. Satan a pris chair en Judas […]
J’ai dit que la possession est la contagion de Satan, qui inocule son poison
dans l’être et le dénature. J’ai dit que c’est l’union d’une âme avec Satan
et avec l’animalité. Mais la possession est encore peu de chose par rapport à
l’incarnation. Je serai possédé par mes saints, et eux seront possédés par
moi. Mais c’est seulement en Jésus‑Christ que Dieu est tel qu’il est au
Ciel, car je suis le Dieu fait chair. Il
n’y a qu’une incarnation divine. De même, c’est en un seul homme que sera Satan, Lucifer, tel qu’il est dans son
royaume, car c’est seulement dans l’assassin du Fils de Dieu que Satan s’est
incarné. Pendant que je te parle, cet homme se tient devant le
Sanhédrin : il s’occupe de mon meurtre et s’y emploie. Mais ce n’est pas
lui réellement : c’est Satan (Adieu à Lazare).
Saint Jean Chrysostome (344-407),
Docteur de l’Église, ne disait pas différemment : Dans ses Homélies sur saint Matthieu[32], il affirme : Satan a assujetti entièrement Judas. Oui, Jésus a eu soif. Accusation n°9 : Oui, dans l’angoisse de la mort, Jésus
cherche l’affection de sa Mère. Accusation n°10 : Oui, Marie a pleuré de douleur au Tombeau. Accusation n°11 : Oui, Jésus est venu aussi pour les
"prostituées". Accusation n°12 : est vraiment le remède du sentimentalisme en matière de foi. Ce
n'est pas plus sensuel que les œuvres de saint Ignace, qui encourage l'utilisation
des cinq sens, plus l'imagination, dans ses Exercices Spirituels[45]. Oui, Jésus s’est réjoui que Pierre découvre
la puissance du nom de Marie. Accusation n°13 : Marie est mère de Dieu pour tout obtenir et mère des hommes
pour tout accorder. Pour sa part, saint
Alphonse de Liguori, Docteur de l’Église
(1696-1787), reprenant la tradition antérieure, explique ainsi ce rôle : De Marie nous avons reçu Jésus-Christ, la source de tout bien
[…] À partir de la naissance de Jésus-Christ, et cela en vertu d'un décret
divin, toutes les grâces provenant de ses mérites furent distribuées aux
hommes, le sont actuellement, et le seront jusqu'à la fin du monde, par les
mains et moyennant l'intercession de Marie[46]. Et il précise, par une
métaphore : Marie n’en est pas la source, mais le canal de ces grâces.
Dans l’épisode qui choque l’auteur
de l’article (ce qu’il m’a confirmé), c’est la puissance du nom de Marie qui se
trouve illustrée avec d’autres éléments. Cette vérité sublime de l’Église à
venir est mise instinctivement en pratique par Pierre, le futur continuateur
du Christ comme le rappelle ici la Vierge Marie. Cela fait exulter Jésus qui
exprime sa joie par une boutade.
Mgr Lefebvre, lors d’une retraite de
son mouvement, en septembre 1986, (4e instruction), exprime sa réserve
vis-à-vis de Maria Valtorta : Nous avons avantage à (…) ne pas nous attarder trop aux faits
divers de la vie de Notre Seigneur. C’est en cela peut-être que ces vies qui
ont été faites de Notre Seigneur, (…) ces livres qui se présentent comme des
révélations de la vie de Notre Seigneur, à mon sens, peuvent être un danger,
parce que justement elles représentent Notre Seigneur d’une manière trop
concrète, trop dans les détails de sa vie. Je pense bien sûr à Maria Valtorta. Et peut-être pour
certains cette lecture peut faire du bien, elle peut approcher de Notre
Seigneur, essayer de se figurer ce que pouvait être la vie des apôtres avec
Notre Seigneur, la vie à Nazareth, la vie dans les visites que faisait Notre
Seigneur dans les cités d’Israël. Mais il y a un danger, un grand danger :
trop humaniser, trop concrétiser et pas suffisamment
montrer le visage de Dieu, dans cette vie de Notre Seigneur. C’est là un
danger. Je ne sais pas s’il faut tellement recommander à des personnes qui ne
sont pas averties la lecture de livres comme cela. Je ne suis pas certain que
cela les élève tellement et leur fasse connaître vraiment Notre Seigneur tel
qu’il était, tel qu’il est, tel que nous devons le connaître, le croire. Maria Valtorta est donc en vogue
dans son mouvement puisqu’il prend le temps de la commenter. Il ne parle pas
de la mise à l’Index chère à nos interlocuteurs. Dans sa bouche, il aurait
d’ailleurs été exclu qu’une œuvre condamnée puisse "faire du bien". L’annonce prophétique de Léon XIII et de Pie
XII. Depuis notre dialogue, l’auteur de
l’article a rajouté "les bons livres" qu’il faut lire, selon Mgr
Marcel Lefebvre, pour se désintoxiquer des écrits de Maria Valtorta. Il n’y a
rien à redire sinon à s’interroger : pourquoi ceux-là et pas les
autres ? Ma vocation c'est l'amour. Dans le cœur de l'Église je serai l'amour. La masse des fidèles n’hésite
pas : en quelques années elle choisit l’Amour. C’est un raz-de-marée et
la jeune carmélite, ignorée de son vivant, emplie les églises de sa statue. Que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de
Dieu. Il désigne l’auteur des troubles :
Nous croyons à l'action de Satan qui s'exerce aujourd'hui dans le monde
précisément pour troubler, pour étouffer les fruits du Concile œcuménique, et
pour empêcher l'Église de chanter sa joie d'avoir repris pleinement
conscience d'elle-même[50]. Dans la suite de Pie XI qui eut la vision d’une nouvelle
Pentecôte[51], Pie XII
prophétise à son tour une Église renouvelée : Nous avons
la ferme confiance que, dans un délai peut-être moindre qu’il ne serait
humainement prévisible, le mal pourra être arrêté dans sa marche. […] Nous
voulons que Jésus règne dans le monde. […] Nous prions que Jésus hâte le jour
qui doit venir où une nouvelle effusion
mystérieuse du Saint-Esprit enveloppera tous les soldats du Christ et les
enverra porter le salut parmi les misères de la terre. Et ce seront des jours
meilleurs pour l’Église et, à travers l’Église, pour le monde entier[52]. Le 19 septembre 1975, Jésus confie à
Don Ottavio Michelini[53] : J'ai dicté à Maria Valtorta, âme-victime, une œuvre
merveilleuse. De cette œuvre, Je suis l'auteur. Tu t'es rendu compte toi-même
des réactions rageuses de Satan. Chacun jugera si l’œuvre de Maria
Valtorta, écoulée à 4 millions de volumes et traduite en 30 langues est
l’œuvre d’une "aliénée" inculte et hérétique. Chacun jugera si
trois Papes, des saints, des bienheureux, des cardinaux et des évêques, ont
eu raison ou tort de répondre à l’invitation de Pie XII : Publiez l'œuvre tel quelle. Il n’y a pas lieu de donner une
opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui
liront comprendront. La certitude de la réponse est si
grande que Jésus invite à lire l’Œuvre donnée à Maria Valtorta y compris à
titre d’écrit humain[54] : Ouvrons donc pour eux un autre accès à la Source divine. C’est ainsi que le bon
Maître est celui qui porte la Bonne Nouvelle, la Parole de vie qui
« sort de ma bouche, [et] ne me reviendra pas sans résultat, sans avoir
fait ce qui me plait, sans avoir accompli sa mission. » (Isaïe 55,11),
la Parole de vie, de salut, de lumière sur le chemin, de vérité d’amour pour
tous, reviendra vers les aveugles, les sourds, les estropiés et les
paralytiques, les lépreux, les fous et les morts, comme aussi vers les
assoiffés et affamés spirituels, pour ouvrir les yeux et les oreilles à la
Vérité, redonner leur agilité aux âmes estropiées et paralysées, guérir de
leur sensualité ceux qu’elle soumet à la lèpre du péché, rendre la raison aux
intelligences délirantes sous la possession démoniaque de doctrines
contraires à Dieu, ressusciter l’esprit de ceux dont l’âme est morte, nourrir
les affamés et désaltérer les assoiffés de moi et du Ciel afin que tous,
tous, tous puissent être rassasiés, même
ceux qui n’imaginaient pas me rencontrer en lisant un livre.
François-Michel Debroise, |
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[1] En voici un exemple public dont se
fait écho KTO, la chaîne TV catholique : Étienne
Albin témoigne de
sa conversion PAR la lecture de Maria Valtorta (de 34'20 à 38'00).
[2] FSSPX : Fraternité
sacerdotale saint Pie X.
[3] On peut le consulter, à son gré,
dans le Grand Catéchisme de saint Pie X, ou dans le Catéchisme de l’Église catholique de 1992. La conclusion sera la
même.
[5] Référence préface de l’éditeur
1985.
[6] Colossiens 1, 24.
[7] cf. Galates 2, 19.
[8] Amour et réparation, noviciat des prêtres du Sacré-Cœur, 1933, page
14.
[10]
Fac-similé de l’O.R. du lendemain. Agenda mentionné en haut et à gauche.
[11] Ceux-ci
sont attestés principalement par l’affidavit du Père Berti , le témoignage du Père Cecchin, ainsi que par les correspondances échangées entre Maria
Valtorta et le Père Migliorini ou Mgr Alfonso Carinci, secrétaire de la
congrégation pour les rites sacrés.
[12] Elle est
à l’origine de l’apostolat de la Croix, ce que Jésus appelle la «chaîne d’amour
(la cadena de Amor)». Elle ne fonda pas moins de cinq
instituts vivant de sa spiritualité dans un Mexique officiellement athée et
anticlérical.
[13]
Osservatore romano du 6 janvier 1960 commentant la mise à l’Index :
«malgré les personnalités illustres (dont l'incontestable bonne foi a été
surprise) qui ont apporté leur appui à la publication, le Saint-Office a cru
nécessaire de la mettre dans l'Index des Livres prohibés».
[14] Commentaires
de la mise à l’Index : Ces
mots évoquent des souvenirs d’il y a
environ une dizaine d’années, alors que circulaient certains textes
dactylographiés volumineux, qui contenaient de prétendues visions et
révélations.
[15]
L’épisode est raconté dans l’affidavit du Père Berti. Les deux censeurs se prévalurent de l’autorité du
Saint-Office dont le Chef était le Pape lui-même. À lire le témoignage, écrit
en 1978, on comprend que la manœuvre était pilotée en sous-main par le courant
antimystique qui sévit plus tard contre Padre Pio, sainte Faustine et d’autres.
Cela explique que tout cela fut fait à l’insu du Pape.
[16] Le père
Berti n’est ni l’auteur ni l’éditeur, et les censeurs ne sont pas l’ordinaire, c’est-à-dire
l’évêque du lieu de résidence comme le requiert le droit canonique. Aucun motif
n’est connu, aucune lettre ne fut envoyée à Maria Valtorta.
[17] Luigi Peroni, Padre Pio, le saint François du XXe siècle, page 138/ 139, 1999, éditions
saint-augustin.
[18] Galates 2,4. Mgr
René Laurentin est aussi direct : "Les charismes, les apparitions
donnent des fruits souvent fructueux que les appareils administratifs de
l'Église s'attachent (ou même s'acharnent) à détruire... On se demande pourquoi
des apparitions qui portent de bons fruits, selon la foi et selon les mœurs,
sont anéanties dans l’œuf, ou combattues durant de longues années. (Chrétiens
Magazine n° 100, avril 1997. Cf R. Laurentin, L'Esprit Saint, cet inconnu, p
294)". Il appelle cela "l’avortement spirituel".
[19] Cardinal
Giacomo Lercaro, (1891-1976) Commémoration de Padre
Pio de Pietrelcina, cathédrale de Bologne, 8 décembre 1968.
[20] Le 6 mars 1959,
le Saint-Office publie le décret suivant : Qu’il soit rendu public que la Congrégation
du Saint-Office, après avoir examiné les prétendues visions et révélations de
Sœur Faustine Kowalska, de l’institut de Notre-Dame
de la Miséricorde, décédée en 1938 près de Cracovie, a décidé ce qui suit : Il faut interdire la diffusion des images et
des écrits qui présentent la dévotion à la Divine Miséricorde dans la forme
proposée par ladite Sœur Faustine. Il est requis de la prudence des évêques
de devoir faire disparaître lesdites images qui ont éventuellement déjà été
exposées au culte.
Cette condamnation intervient seulement 8 mois avant la condamnation de Maria
Valtorta et quelques mois après la mort de Pie XII.
[21]
Constitution apostolique Fidei Depositum du 11
octobre 1992.
[23] Actes 2,16-20,
citant Joël 3,1 et suivants.
[25] Apocalypse 22,2.14. On en parle aussi en Apocalypse 2,7.
[28] Lumen
Gentium, § 57, citant pour cela conciles
et Docteurs de l’Église.
[29] Jacques
Bénigne Bossuet, Œuvres complètes, Volume 5, Litanies de la Sainte Vierge, Paris 1862.
[31] De la
Trinité, Livre XIV, chapitres 10 à 15.
[32] Saint
Jean Chrysostome, Homélie 81 sur saint Matthieu, § 3.
[34] Psaume 21,16
(Hébreu 22).
[35] Cet
homme était vraiment fils de Dieu (Matthieu 27,54).
[37] Le mystère des stigmatisés, Jeanne Danemarie,
Grasset, 1933, page 136.
[38] Isaïe 53,10. Le Fils de Dieu qui était exempt de tout
péché et à l’abri de toute souffrance, s’est fait homme, car le mal et la
douleur sont choses humaines : ils n’atteignent pas Dieu et ne peuvent se
produire que dans l’humanité puisque Dieu est métaphysiquement impassible,
incapable, par sa nature même, de souffrir.
[40] Psaume 21,10-11 (Hébreu 22).
[41] Arnauld,
abbé de Bonneval (+1156) : De septem verbis Domini
in croce, 3ème partie.
[43] Jean
13,23 et Jean 21,20.
[45] Pro e contro Maria
Valtorta, édition anglaise.
[46] Alphonse
de Liguori, Les
gloires de Marie, chapitre V :
Marie, notre médiatrice, § 1 : Que l'intercession de Marie nous est
nécessaire pour nous sauver.
[47] Osservatore romano du 6 janvier 1960.
"Jésus est […] toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu et à
faire des exposés de théologie dans les termes mêmes qu’emploierait un professeur
de nos jours".
[49] Vision du 13 octobre
1884.
[50] Homélie du 29 juin
1972.
[51] Pie XI, Ubi arcano Dei consilio (Sur la question
romaine), 23 décembre 1922.
[52] Osservatore Romano, 24 décembre 1954
rapportant une vision que le Pape eut du Christ, le 8 décembre 1954.
[53] Don Michelini, Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses
fidèles.
[54] Quadernetti, Dictée du 6 janvier 1949. Inédite en
français.