L'œuvre de Maria Valtorta
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Le Mal
Voir aussi :           
- les synonymes :
Péché - SatanSouffrance.        
- l'antonyme Bien

Lucifer et les origines du Mal.        
d’après une compilation de textes de Maria Valtorta

Le Ciel à l’origine.

Le péché de Lucifer qui devient Satan.

La naissance du Mal, de la Haine et de l’Enfer.


Satan contamine la Terre.

Dieu évite à Adam de se damner pour l’éternité.

La lutte de Satan contre le Christ jusqu’à la fin des temps.

Le triomphe temporaire de Satan.

L’affrontement final.

La fin du monde.




Satan.



L’Enfer.



Que dit l’œuvre de Maria Valtorta ?      

Dieu n’a pas créé le Mal, c’est Lucifer qui l’a engendré par sa désobéissance au début des temps. À cause de cela, la Haine est apparue et l’Enfer éternel a été créé. Par la faute de nos premiers parents, Adam et Ève, le mal et la mort sont entrés sur terre qu’ils ravagent. Depuis ce moment, le Christ et Lucifer, devenu Satan, se disputent la possession des âmes. Cette lutte trouvera son paroxysme à la fin des temps avant que le Mal, Satan et ses adorateurs, soient vaincus à tout jamais.        

Dieu n’utilise pas le Mal pour nous tenter, il ne nous tente qu’avec des dons bénéfiques. C’est à nous de les saisir
[1].            

Début de l’article

Le Ciel à l’origine.      

À l’origine, tout n’était qu’ordre dans la création. Mais l’ordre n’exclut pas la liberté : Dieu n’a rien créé qui soit esclave. Au contraire, la liberté parfaite se trouve dans l’ordre car il exclut les contraintes nées de la peur de l’intrusion, de la crainte de l’agression, de la lutte contre des volontés contraires destructrices.      

Tel était l’univers tout entier avant que Lucifer n’abuse de sa liberté pour susciter en lui-même le désordre des passions - et cela, par sa propre volonté.    

Son nom primitif, Lucifer, veut dire "le porteur de Lumière". En d’autres termes, le porte-drapeau de la Lumière, c’est-à-dire Dieu, puisque Dieu est Lumière. C’était un ange, le plus beau des anges. Son esprit parfait n’était inférieur qu’à Dieu. De tout ce qui existe, il était le second en beauté, le miroir pur qui reflétait l’insoutenable Beauté de Dieu. Il aurait eu comme mission auprès des hommes d’être l’exécuteur de la volonté de Dieu, le messager des décrets de bonté que le Créateur aurait transmis à ses enfants bienheureux sans péché, pour les amener toujours plus haut à sa ressemblance. Le porteur de la lumière aurait parlé aux hommes par le biais des rayons de cette lumière divine qu’il apportait, et comme ceux-ci étaient sans faute, les hommes auraient compris ces éclairs de paroles harmonieuses, pleines d’amour et de joie
[2].         

Achevée sans effort, parce que réalisée de façon ordonnée, la création aurait continué sans efforts de la part des créatures si le désordre n'était pas venu briser l'harmonie du Ciel avec la rébellion de Lucifer, et celle de l'Eden avec la rébellion de l'Homme-Adam.      

Début de l’article

Le péché de Lucifer qui devient Satan.

Lucifer, le "porteur de lumière", s'est cru Lumière lui-même. Mais "porter la lumière" est bien autre chose que "d'être la Lumière". La Lumière devant qui se prosterne toute la Création, est le Fils de Dieu, le Verbe du Père, celui "par qui tout a été fait". La seconde personne de la Trinité « est la perfection des Trois résumée en une seule Personne. Une perfection infinie devant laquelle se prosternent les armées célestes ». Il n'a rien d'égal ni de commun avec la créature angélique qu’était Lucifer à l’origine.

L’archange Lucifer aimait incomplètement. L’orgueil de soi prenait de la place en lui, une place dans laquelle l’amour ne pouvait exister. Il se voyait en Dieu, il se voyait en lui-même, il se voyait dans ses compagnons — puisque Dieu l’enveloppait de sa lumière et faisait sa joie de la splendeur de son archange —, comme, en outre, les anges le vénéraient comme le plus parfait miroir de Dieu, il s’admira. Présent aux côtés de Dieu dès les premiers actes de la Création, il ambitionna que la Création dise de lui ce qui est dit du Verbe Incarné dans le prologue de Jean : « Tout a été fait par lui ». Dès cet instant l’archange devient sacrilège, assassin et prédateur
[3].     

Il ne devait admirer que Dieu, mais il s’admira lui-même. En chaque créature, toutes les forces bonnes et mauvaises sont présentes et elles s’agitent jusqu’à ce qu’un côté l’emporte pour produire du bien ou du mal. Lucifer attira à lui l’orgueil.       

C’est par cette brèche de l’orgueil que sa dépravation destructrice pénétra. À cause d’elle, il ne put comprendre ni accepter le Christ-Amour; synthèse de l’Amour infini, unique et trine. Le fait que, de nos jours, se répande l’hérésie qui nie l’humanité divine de la seconde Personne pour faire de lui un simple homme bon et sage, s’explique facilement grâce à cette clé : le manque d’amour dans le cœur humain et son incapacité à aimer
[4].           

Puisqu’il connaissait les merveilles futures de Dieu, Lucifer voulut prendre la place de Dieu. Son esprit troublé lui faisait déjà se voir le chef des futurs hommes, adoré comme la puissance suprême. Il pensait: "Je sais le secret de Dieu. Je connais les paroles. Son dessein m’est connu. Je peux tout ce qu’il veut, lui. Comme j’ai présidé aux premières opérations de la création, je peux réussir. Je suis." Cette parole que Dieu seul peut dire fut le cri qui signa la ruine de l’orgueilleux. Et il devint Satan
[5].   

Lui qui fut créé pour porter la lumière et les messages de Dieu a choisi librement et volontairement d'être infidèle au Seigneur son Créateur et à sa Grâce. Ce fut ce délire d'orgueil, cette présomption de se croire Dieu à la place du Fils de Dieu et donc non tenu à l'obéissance et à l'adoration, qui foudroya le révolté. S’il avait été tout amour, il n’y aurait pas eu place en lui pour autre chose que l’amour. Mais il y eut place pour l’orgueil, auquel on pourrait donner ce nom: le désordre de l’intelligence.       

De même que Dieu avait voulu que l’archange se tienne à ses côtés dès les premiers actes de la création et qu’il en connaisse le destin d’amour, de même, il voulut qu’il sache la nécessité que son péché imposerait à Dieu : l’Incarnation et la Mort d’un Dieu pour contrebalancer le péché que Lucifer créerait s’il ne surmontait pas son orgueil. Il lui en montra la vision. Le premier anéantissement de Dieu se trouve dans cet acte de conviction douce et suppliante, envers l’orgueilleux.        

C’était un acte d’amour. Mais Lucifer était déjà satanisé. Au lieu de l’amour, il ne vit que de la peur, de la faiblesse, un affront et une menace. Il engagea donc les hostilités contre Dieu en disant : « Tu es ? Moi aussi, je suis. Ce que tu as fait, c’est pour moi. Il n’y a pas de Dieu. Et s’il y a en a un, c’est moi. Je m’adore. Je t’abhorre. Je me refuse à reconnaître pour Seigneur celui qui ne sait pas me vaincre. Il ne fallait pas me créer si parfait, si tu ne voulais pas que je me pose en rival. Maintenant je suis, et je m’oppose à toi. Triomphe de moi, si tu le peux. Mais je ne te crains pas. Moi aussi, je vais créer et ta création tremblera à cause de moi. Je te hais et je veux détruire ce qui est tien pour créer sur ses ruines ce qui sera mien. Je ne connais et ne reconnais aucune autre puissance que moi. Désormais, je n’adore plus que moi-même ».         

Début de l’article

La naissance du Mal, de la Haine et de l’Enfer.      

La Création tout entière, fut alors prise d’une convulsion horrifiée devant l’infamie de ces paroles sacrilèges, une convulsion comme il n’y en aura pas de semblable à la fin de la Création. Il en naquit l’enfer : le règne de la Haine
[6].        

Lucifer fit de son orgueil une arme de séduction : Il séduisit ses compagnons les moins attentifs. Il les détourna de la contemplation de Dieu comme Beauté suprême.            

Cette révolte tua, en lui et en ses partisans, la charité, l'ordre et l'harmonie.          

C’est de l’incubation de l’orgueil qu’est né le Mal. Le Mal est une force qui est née toute seule comme certaines maladies monstrueuses dans le corps le plus sain
[7].         

L'Enfer, le lieu d'éternels et inconcevables tourments dans lequel se précipitent ceux qui vivent dans la haine du Seigneur et de sa Loi, cet Enfer a été créé à cause de lui, l'Archange rebelle.

Avec ses partisans, Lucifer a été foudroyé par Dieu, et terrassé par les anges fidèles. Foudroyé, car dépouillé désormais de la puissance de son état de grâce, et « précipité au fond de l'abîme » où son terrible feu de haine, sa lumière et sa flamme désormais horribles, si différentes de la flamme de grâce et d'amour reçues lors de sa création, ont allumé un feu éternel qui est d'une atrocité inimaginable
[8].  

Quand le péché de Lucifer bouleversa de façon irrémédiable l'ordre du paradis une grande horreur frappa tous les anges. La pleine charité qui, auparavant, était seule à exister, venait de tomber dans un gouffre dont s'exhalaient des puanteurs d'enfer.    

L'absolue charité des anges était détruite, et la Haine était apparue. Effrayés, les anges fidèles pleurèrent pour la douleur de Dieu et son courroux. Ils pleurèrent sur la paix outragée du paradis, sur l'ordre violé et sur la fragilité des esprits. Ils ne se sentaient plus certains d'être irréprochables de fait de leur pur esprit : l’orgueil était latent et pouvait se développer
[9].    

Début de l’article

Satan contamine la Terre. 

Le Mal existait donc avant que l’homme ne fût créé. Dieu avait précipité hors du paradis l’Incubateur maudit. Mais ne pouvant plus contaminer le paradis, il a contaminé la terre
[10].  

C’est par lui en effet que tout le mal est venu….     

Au fond du gouffre où il était tombé, laid pour l’éternité, Lucifer, devenu Satan, était assoiffé de vengeance. Son premier acte de vengeance toucha Adam et Eve. Sa dent empoisonnée mit le signe de sa bestialité dans la perfection de la création, lui communiquant son propre appétit de luxure, de vengeance, d’orgueil
[11].      

En repoussant les séductions de Satan, nos premiers ancêtres auraient imité les bons anges vainement tentés par Lucifer lors de sa rébellion, et ils auraient obtenu un accroissement de grâce
[12]. 

Les impulsions et les instincts de la nature humaine étaient des éléments ordonnés et bons à leur origine. Ils étaient agencés selon une harmonie réciproque, bien adaptée au but final pour lequel l'homme avait été créé. Leur désordre fut la création de Lucifer, le rebelle.        

Le péché contre l'amour, c'est-à-dire l'orgueil de l'intellect et du cœur, à partir duquel l'homme-Adam innocent est devenu coupable, le péché terrible du moi qui veut « devenir semblable à Dieu » (Genèse 3, 5) ce péché a été créé par Lucifer qui, plus tard, séduisit l'homme au même péché, en le rendant semblable à lui dans sa rébellion contre le Seigneur.  

Depuis des siècles et des siècles, l’homme lutte contre le venin infernal et Satan perpétue une interminable série de crimes de vengeance. Personne n’échappe au désordre provoqué par Lucifer et nos premiers parents
[13]. Le Christ, lui aussi, a dû les affronter.  

Le péché de Lucifer, d'Adam et, plus tard, de Judas de Kériot est d’avoir voulu tout parce qu'ils avaient reçu beaucoup. Ils se sont crus des "dieux" du fait que Dieu les avait élus, sûrs de pouvoir se sauver sans aucun mérite que l’amour accordé par Dieu. Ils se sont rendus coupables ainsi d'un péché extrêmement grave. Car si la Bonté de Dieu est parfaite et infinie, elle n’est ni sottise ni injustice
[14].           

Début de l’article

Dieu évite à Adam de se damner pour l’éternité.    

Mais Dieu a voulu éviter à Adam le risque de répéter le péché de Lucifer, devenu Satan pour avoir refusé d’adorer l'Amour fait chair. Si Dieu eût proposé le futur Christ à Adam, Adam aurait peut être refusé lui aussi d'adorer le futur Christ, vraie Synthèse de l'Amour trinitaire.   

Trop souvent, l'homme maudit stérilement le premier péché, il blasphème contre Dieu en l'accusant d'être un imprudent Seigneur qui a soumis l'homme à une tentation plus forte que lui. Mais que serait-il advenu si l'homme, au lieu de céder à la tentation qui l'induisait à croire qu'en mangeant le fruit défendu il serait devenu semblable à Dieu, en était arrivé, sans aucun tentateur, à se croire lui-même dieu parce que sans péché, parce que sans douleur, parce que sans mort ?         

Il n'y aurait alors pas eu de rédemption parce que l'homme aurait été un nouveau Lucifer. Cela aurait même été une légion sans nombre de démons car, avec le cours des siècles, l'humanité se serait augmentée par toutes les procréations ; ce ne serait alors pas seulement un homme et une femme, mais tous, qui auraient péché par cette hérésie sacrilège et la race humaine aurait péri tout entière dans un châtiment infernal
[15].        

Lucifer a prétendu orgueilleusement racheter lui-même l'homme, jugeant que sa ressemblance avec Dieu était non pas une participation de nature, mais substantielle, le rendant donc l'égal de Dieu en savoir, puissance et beauté. Il a ainsi offensé gravement l'Esprit Saint, dispensateur des lumières, des vérités et de la sagesse qui se trouvent en Dieu. Or les péchés contre l'Esprit Saint, qui ont été commis par Lucifer et par ses compagnons rebelles, comme ils sont encore commis par beaucoup d'hommes, ces péchés ne sont pas pardonnés
[16].         

Début de l’article

La lutte de Satan contre le Christ jusqu’à la fin des temps.        

Depuis sa déchéance, Satan veut avoir son propre peuple pour l’opposer au Peuple de Dieu. Il poursuit ce but sans répit, par haine envers Dieu, et par haine des créatures que Dieu aime comme un Père. Or l'intelligence que Lucifer avait avant d'être foudroyé — une intelligence très aiguë, telle qui convenait au prince des populations angéliques —ainsi que ses pouvoirs, il les a conservés même après le foudroiement divin. Il s'en sert maintenant pour atteindre ses objectifs. Il espionne chaque action de l'homme, il écoute chacune de ses paroles. De chaque parole prononcée et de chaque action accomplie il tire son profit. Il se sert de la constitution physique de l'individu, de ses maladies, de ses mésaventures, de ses études, de ses affections, de ses occupations, et de tout ce qu'il trouve apte à être ensemencé, pour y semer sa zizanie. Il suscite des phénomènes aptes à nous séduire et à nous faire tromper.         

Il s'agit des prodiges sur lesquels le Christ nous a alerté en annonçant les
derniers temps, en mettant l'humanité en garde contre ces mêmes prodiges et contre les voix des faux christs et des faux prophètes qui surgiront et apparaîtront ici et là[17].  

Satan est le "Contraire" : le contraire de Dieu à qui il s’oppose. Chacune de ses actions est l’antithèse des actions de Dieu. Toute sa machination vise à pousser les hommes à s’opposer à Dieu. Voilà qui est Satan. Il oppose aux trois vertus théologales
[18] la triple concupiscence[19]. Aux quatre vertus cardinales[20] et à toutes les autres qui proviennent de Dieu, il oppose le vivier de ses horribles vices[21].    

Lucifer se sert de son astuce pour tromper, et de sa grande intelligence pour imaginer quand et comment provoquer la souffrance de Dieu par la perte d’une créature. Il ne gaspille jamais inutilement son temps. Omniprésent sur terre, il s’active auprès de la multitude.           

Le peu d’attention que lui prête l’homme et son rare désir de bien, laisse à Satan une quasi-omnipotence sur les créatures, il lui faut cependant bien calculer son temps et n’en pas perdre un instant pour œuvrer utilement. Avec pour infâme profit celui de grossir ses forces infernales de trésors volés à Dieu : les âmes
[22]. 

Parmi les nombreuses choses que le monde actuel, rempli d’orgueil et d’incrédulité, conteste, il y a la présence du Démon et sa puissance pourtant immense. En toute logique, l’athéisme qui nie Dieu nie aussi Lucifer, cette créature de Dieu devenue rebelle, adversaire de Dieu, le Tentateur, l’Envieux, le Malin, l’Infatigable, le Simulateur de Dieu.

Depuis qu’il a été précipité au fond de l’abîme où ne sont que ténèbres et horreur —; Satan veut y instaurer une copie de la cour céleste, avoir ses propres ministres et ses anges, ses sujets et ses fils. Quand il se manifeste pour nous induire en erreur, il se déguise en esprit de lumière. Son aspect et ses pensées sont dissimulées sous des parures copiées du Très haut
[23].

C’est ainsi que Satan s’approche de Maria Valtorta : Le 4 juillet 1944
[24] il contrefait la Voix qui l’inspire pour l'inciter à maudire ceux qui lui avaient fait du mal. Une autre fois il la pousse à détourner l'œuvre à son profit et à sa gloire personnelle ou instille un doute sur l'origine des visions.      

Satan, n’a pas perdu sa puissante intelligence sous prétexte qu’il est passé de l’état d’archange à celui de démon: au contraire, il se sert de son intelligence extrêmement perçante pour le mal au lieu du bien, comme il s’en serait servi s’il était resté archange
[25].       

Début de l’article

Le triomphe temporaire de Satan.         

Son infernale ruse et son intelligence satanique sont à l’œuvre de manière incessante pour accroître sa proie, en opposition à l’œuvre de Salut de Dieu. Sa ruse et son intelligence ne prévaudraient pas s’il y avait chez les êtres humains le Sang du Rédempteur et une honnête volonté. Il manque aux humains trop de choses pour avoir des armes à opposer à la Bête, et elle le sait, et elle agit ouvertement sans plus se voiler d’apparences mensongères.     

Si les gens savaient réfléchir, ils s’efforceraient d’être bons pour faire plier la bonté en leur faveur. Au lieu de cela, l’égoïsme les domine. Par conséquent, les prières, les sacrements et les sacramentaux, rendus impurs par l’égoïsme, n’ont pas de pouvoir contre Lucifer qui bouleverse le monde
[26].         

L’humanité tout entière est coupable. Mais elle comporte des pécheurs et des impies. Le pécheur est simplement pécheur, mais l’impie porte le péché à une perfection démoniaque. Car, dans le mal, le démon sait atteindre à la perfection, et ses disciples les plus fidèles savent en faire tout autant que leur maître
[27].           

Ceux qui ne veulent reconnaître aucune loi, ni naturelle, ni humaine sont des Lucifer, les Lucifer de la Terre. Au fil des ans leur nombre augmente au lieu de diminuer comme il se devrait suite à la diffusion de l'Évangile, à sa prédication inlassable, et à la civilisation qu'il propage. La paix, la justice et la lumière sont promises aux hommes de bonne volonté. Mais eux sont de mauvaise volonté
[28].     

La Bête est repue et palpitante. C’est son heure de fête. Mais elle cherche l’ombre pour agir. Elle déteste la Lumière elle qui s’appelait Lucifer ! Elle hypnotise ceux qui ne sont pas marqués par le Sang du Rédempteur. Elle accroît ses efforts car elle sait que c’est son heure et que l’heure du Christ approche où elle sera vaincue à jamais
[29].   

Tout comme Dieu a donné à chaque nation son ange tutélaire, ainsi Lucifer lui a donné son démon. L’ordre donné par Lucifer est le même ordre pour tous les démons. D’où on peut comprendre que le règne de Satan n’est pas divisé et donc dure.   

Cet ordre se résume ainsi : « Semez l’horreur, le désespoir, les erreurs pour que les peuples se détachent de Dieu en le maudissant ».  

Les démons obéissent et sèment horreur et désespoir, éteignent la foi, étranglent l’espoir, détruisent la charité. Sur les ruines, ils sèment la haine, la luxure, l’athéisme. Ils sèment l’enfer Et ils réussissent car ils trouvent le terrain déjà propice.         

Mes anges aussi luttent pour défendre le pays que je leur ai assigné. Mais mes anges ne trouvent pas un terrain propice
[30].    

Ce sont les démons, installés en maîtres dans les cœurs, qui conduisent les nations à la mort. Et chez certains peuples, il y a peu de cœurs qui ne soient pas la demeure des démons : d’innombrables légions démoniaques qui manœuvrent d’entières nations comme des pantins. « Et comment puis-je régner là où les cœurs se sont faits la demeure des enfants de Lucifer
[31] ? » s’interroge Jésus.  

Lucifer jubile en ces temps, en ces heures de gloire, qui lui appartiennent. Il se tient sur son trône - lui, le maudit, le foudroyé, le chassé par Dieu - il se tient sur le trône que les hommes lui élèvent, et l'Agneau est offert à son infâme dérision. On offre à son horrible raillerie Celui qu'il n'a jamais pu vaincre, Celui dans lequel il n'a jamais pu pénétrer, Celui qui l'a vaincu cent fois et mille fois, Celui qui l'oblige à s'avouer vaincu depuis vingt siècles, Celui qui le vaincra jusqu'à la fin, en libérant de son infâme puissance les esprits de bonne volonté.

Il sera vaincu. Mais en attendant il fait figure de vainqueur. Et le Sacrement des sacrements, ce mystère d'amour auquel l'amour humain même le plus séraphique ne parvient pas à rendre digne honneur, ce mystère d'amour est livré à Satan par des hommes comme moyen pour son triomphe éphémère
[32].      

Début de l’article

L’affrontement final.

« C’est une lutte entre le Ciel et l’Enfer, dit Jésus à Maria Valtorta. Vous n’êtes qu’un paravent trompeur. Derrière vos troupes se battent les anges et les démons. Derrière vos prétextes se cache la vraie raison : la lutte de Satan contre le Christ.           

C’est une des premières sélections de l’humanité, dont la dernière heure approche, pour séparer la moisson des élus de la moisson des réprouvés. Malheureusement, la moisson des élus est maigre comparée à l’autre.         

Quand le Christ viendra pour vaincre l’éternel adversaire dans son Prophète, il en trouvera peu qui soient marqués par la Croix dans leur esprit
[33] ».            

La première fois, pour sauver la Terre, Dieu a envoyé ses eaux purificatrices : le Déluge. La deuxième fois, il a envoyé un bain de sang, et quel sang : celui de son Fils ! Aucune de ces purifications n’a servi à transformer les humains en enfants de Dieu. Désormais Dieu le Père est lassé de la race humaine, car les humains ont préféré l’enfer au ciel. Lucifer, leur dominateur; les torture pour les pousser à blasphémer contre le Dieu Trine et en faire ainsi ses enfants à jamais
[34].     

Le Christ a souhaité une deuxième Passion pour sauver le monde, mais Dieu le Père ne l’a pas permis : cela serait inutile. Le Christ ne viendra donc qu’à la dernière heure
[35].           

Quand ce temps viendra, un grand nombre d’étoiles seront emportées par les anneaux de Lucifer qui, pour vaincre, a besoin de diminuer les lumières des âmes. Cela pourra arriver parce que, non seulement les laïcs, mais aussi les membres du clergé auront perdu cette fermeté de foi, de charité, de force, de pureté, de détachement des séductions du monde, nécessaires pour rester dans l’orbite de la lumière de Dieu. Ces étoiles dont parle l’Apocalypse sont donc ceux que Jésus a appelés « le sel de la terre et la lumière du monde » ses ministres
[36].      

« Malheur à ceux qui me verront à cette heure après avoir choisi Lucifer pour leur seigneur ! dit Jésus à Maria Valtorta, Mes anges n’auront pas besoin de porter des armes pour gagner le combat contre les antéchrists. Mon regard suffira
[37].    

« Vous comprendrez qui est Dieu et qui est Lucifer seulement lorsque vous serez en proie à la torture, poursuit-il. Terrible leçon ! Et plus vous pécherez et plus sa prise sera féroce car il y a des limites même à ma Bonté illimitée mais intelligente. Souvenez-vous-en
[38]. 

« Priez donc, vous qui êtes bons, pour que le monde ne meure qu'à l'heure fixée. Priez pour que Dieu n'envoie pas ses justiciers pour le frapper, comme il fit avec Lucifer et Adam. Car, certes, les décrets de Dieu sont éternels. Mais ils peuvent être modifiés quand sa justice et son honneur imposent à l'Amour de rappeler aux créatures qu'il n'y a qu'un seul Dieu et que personne n'est plus grand que lui. Ceci pour le monde
[39] ».          

Début de l’article

La fin du monde.        

Que se passera-t-il alors ?        

De même que nous cherchons à transmettre quelques richesses à nos enfants pour une vie meilleure, de même Jésus nous incite à faire tout pour leur transmettre un héritage de force spirituelle qu’ils puissent développer et multiplier pour en avoir en abondance quand la grêle des dernières batailles du monde et de Lucifer fouettera l’humanité d’une manière telle que l’on se demandera si l’enfer ne vaut pas mieux.       

L’enfer ! L’humanité en fera l’expérience. Pour ceux qui resteront fidèles à l’Esprit, le paradis viendra ensuite, ainsi que la Terre qui n’est pas terre : le Royaume des cieux
[40].        

L’archange Michel qui a vaincu Lucifer et garde le Paradis, apparaîtra comme un signe céleste aux derniers temps
[41]. C’est à cette époque qu’Israël rejoindra la Rome du Christ, de sorte qu’il n’y aura plus deux rameaux du peuple de Dieu - le béni et le maudit à cause de son déicide  -, mais un unique tronc dit du Christ, parce qu’il vivra en Lui[42].

Alors s’accomplira le mystère de Dieu. « Alors vous connaîtrez Dieu, dit Jésus à Maria Valtorta. Tous les hommes de la terre, tous, d’Adam au dernier-né, rassemblés comme grains de sable sur les dunes de la plage éternelle, verront le Seigneur Dieu, Créateur, Juge, Roi
[43].        

« Oui, vous le verrez ce Dieu que vous aurez aimé, blasphémé, suivi, raillé, béni, vilipendé, servi, fui. Vous le verrez. Vous saurez alors combien il méritait votre amour et combien il était méritoire de le servir.        

« Oh ! Joie de ceux qui se seront consumés à l’aimer et à lui obéir ! Oh ! Terreur de ceux qui auront été ses Judas, ses Caïns, de ceux qui auront préféré suivre l’Antéchrist et le Séducteur au lieu du Verbe fait homme en qui est la Rédemption, du Christ, Voie du Père; de Jésus, très sainte Vérité; du Verbe, vraie Vie
[44] ».          

Le Bien retournera à la source dont il est issu. Le Mal sera précipité là où il a déjà été précipité au moment de la révolte de Lucifer et d’où il est sorti pour troubler la faiblesse d’Adam par la séduction des sens et de l’orgueil
[45].           

Tout comme l'amour, la haine est éternelle : elle est éternelle depuis le moment où elle est apparue dans l'esprit maudit de Lucifer et des siens. Elle est éternelle dans l'enfer qui, dès lors, exista, et n'aura jamais de fin. Elle est éternelle dans le cœur des hommes qui l'ont élue comme leur reine, et qui l'emporteront avec eux au-delà du temps.    

Ces deux éternités : l'amour et la haine, l'Expiateur et le péché, Jésus et Lucifer, seront, dans un continuel être, le Roi du ciel et le roi de l'Abîme, chacun à la tête de son peuple
[46]. Après le temps, la haine continuera à blasphémer dans le peuple des maudits. Pour le péché de Lucifer, il n'y a pas de pardon[47]. 

Si le grand Séducteur a pu pénétrer dans le paradis sensible, il ne pourra s’insinuer au paradis céleste. Lucifer, déjà précipité du ciel dans les enfers à cause de sa rébellion
[48], sera enseveli et deviendra "néant" à la fin des temps, avant que ne viennent le nouveau ciel et la nouvelle terre, pour qu’il ne puisse plus agir, nuire ou faire souffrir ceux qui, après avoir surmonté toutes sortes d’épreuves et de purifications, vivront dans le Seigneur[49].         

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Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"     
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Dans le sens de  Malheur, souffrance subie  Tentation, choix de faire ou de ne pas faire  Mauvaises actions causées à autrui  Mal personnifié

 

Le malheur, la souffrance subis  
Voir aussi les rubriques connexes : SouffranceÉpreuvesMalheur - Douleur.   
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 La douleur n'est-elle pas toujours un mal ? - Non, ami, c'est un mal du point de vue humain. 2.47      

 La souffrance n'a pas été inutile. Je crois, je sais qu'elle vous a servi plus qu'une année entière d'enseignement. La souffrance, la méditation du mal que peut faire l'homme à son semblable, la pitié, la foi, l'espérance, la charité que vous avez dû exercer, et par vous-mêmes, vous ont mûri comme des enfants qui deviennent hommes... 5.13


Tentation, choix de faire ou de ne pas faire  
Voir aussi les rubriques connexes : Tentation        
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 Qu'est-ce que l'obéissance aux commandements de Dieu ? C'est le bien, car Dieu ne commande que le bien. Qu'est-ce que la désobéissance ? C'est le mal, car elle met dans l'âme les sentiments de rébellion, terrain propice au travail de Satan. 1.25

 Nous avons tout en nous : le bien et le mal. Tout nous portons avec nous. Sur le bien souffle le souffle de Dieu. Sur le mal souffle Satan 2.32        

 Dans toutes les actions de l'homme il y a une possibilité de bien ou de mal suivant la manière dont on les accomplit. 2.49         

 Tous les germes du mal et toutes les aspirations au bien dorment dans l'homme par la volonté aimante de Dieu, par la volonté mauvaise de Satan qui suggestionne, qui tente, qui excite, alors que Dieu attire, réconforte, aime. Satan tente pour séduire. Dieu travaille pour conquérir. 6.151 

 C'est toujours la volonté de l'homme qui fait accomplir le bien ou le mal. Et sur la volonté de l'homme, la Volonté de Dieu projette ses lumières et la volonté de Satan ses vapeurs empoisonnées. Il appartient à l'homme d'accueillir la lumière ou le poison et de devenir juste ou pécheur. 7.188    

 Le mal, il ne suffit pas de ne pas le faire, il faut aussi ne pas désirer le faire. 7.190


Les mauvaises actions causées à autrui          
Voir aussi les rubriques connexes : Péché   
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 Le reflet du bien et du mal sur le visage 4.140


Le Mal personnifié    
Voir aussi les rubriques connexes : Satan    
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 Le mal est une force qui est née d'elle-même, spontanée 1.24           

 Je m'étais consacrée à Dieu dès le premier âge car la lumière du Très-Haut avait mis pour moi en pleine lumière la cause du mal du monde et j'avais voulu, pour autant que c'était en mon pouvoir, effacer de moi l'empreinte de Satan. 1.25       

- Le Mal est contre le Bien, et je dois vaincre en chacun le mal pour y mettre le bien... et tous ne le veulent pas... 2.49    

 Mais quand le Mal finira-t-il de nuire ? Peut-être qu'émoussera-t-il ses flèches contre ton Sacrifice ? Se persuadera-t-il qu'il est vaincu ? - Jamais. Il croira toujours triompher malgré les démentis que les justes lui donneront. 6.115


Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta.
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Cahiers de 1944                                                                                           Voir le sommaire des "Cahiers" =>

 I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\BouleBleue.GIF Catéchèse du 22 mai : Le Mal vient toujours sous l’apparence éphémère et trompeuse d’un profit humain. Ne te trompe jamais. Le vrai profit est surnaturel. Les épreuves sont la monnaie qui servent à l’acquérir. (page 302)

Cahiers de 1945 à 1950                                                                            Voir le sommaire des "Cahiers" =>

 I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\BouleBleue.GIF  I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\Puce.gif Catéchèse du 18 février 1947 : La tentation est-elle, dans ce cas, un péché ou une gloire ? Un bien ou un mal ? Elle n’est pas péché. Et bien qu’il s’agisse d’un élément du mal, elle peut se changer en moyen de bien et de gloire grâce à la libre volonté avec laquelle l’homme lui résiste […] Rappelez-vous également que la vie de l’homme lui sert à expier le mal qu’il commet.


Dans les textes fondamentaux chrétiens

Dans la Bible
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Car je sais qu’en moi - je veux dire dans ma chair - le bien n’habite pas : vouloir le bien est à ma portée, mais non pas l’accomplir, puisque le bien que je veux, je ne le fais pas et le mal que je ne veux pas, je le fais. Or, si ce que je ne veux pas, je le fais, ce n’est pas moi qui agis, mais le péché qui habite en moi. Moi qui veux faire le bien, je constate donc cette loi : c’est le mal qui est à ma portée. (Romains 7, 18-21)

Dans le catéchisme de l'Église catholique
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 Le malheur, la souffrance subis

BouleBleue Les expériences du mal et de la souffrance, des injustices et de la mort paraissent contredire la Bonne Nouvelle, elles peuvent ébranler la foi et devenir pour elle une tentation 164 BouleBleue La foi en Dieu le Père Tout-Puissant peut-être mise à l’épreuve par l’expérience du mal et de la souffrance. 272 et suivants BouleBleue La providence et le scandale du mal 309 et suivants BouleBleue Personne n’échappe à l’expérience de la souffrance, des maux dans la nature et surtout à la question du mal moral. D’où vient le mal ? 385 BouleBleue Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier 677

 Tentation, choix de faire ou ne pas faire

BouleBleue En recevant le saint Baptême qui nous purifie, le pardon que nous recevons est si plein et si entier, qu’il ne nous reste absolument rien à effacer, soit de la faute originelle, soit des fautes commises par notre volonté propre, ni aucune peine à subir pour les expier (...). Mais néanmoins la grâce du Baptême ne délivre personne de toutes les infirmités de la nature. Au contraire nous avons encore à combattre les mouvements de la concupiscence qui ne cessent de nous porter au mal" 978 BouleBleue C’est par la foi en la Bonne Nouvelle et par le Baptême que l’on renonce au mal et qu’on acquiert le salut 1427 BouleBleue Tout homme fait l’expérience du mal, autour de lui et en lui-même 1606 BouleBleue L’homme connaît la voix de Dieu qui le presse "d’accomplir le bien et d’éviter le mal" 1706 et suivants BouleBleue Tant qu’elle ne s’est pas fixée définitivement dans son bien ultime qu’est Dieu, la liberté implique la possibilité de choisir entre le bien et le mal, donc celle de grandir en perfection ou de défaillir et de pécher. 1732 BouleBleue Les règles objectives de la moralité énoncent l’ordre rationnel du bien et du mal, attesté par la conscience. 1751 BouleBleue Présente au cœur de la personne, la conscience morale lui enjoint, au moment opportun, d’accomplir le bien et d’éviter le mal. 1777 BouleBleue La loi morale proscrit les chemins du mal qui détournent de Dieu et de son amour 1950 BouleBleue Le Décalogue est une lumière offerte à la conscience de tout homme pour lui manifester l’appel et les voies de Dieu, et le protéger contre le mal 1962

 Les mauvaises actions causées à autrui

BouleBleue "ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, ceux qui auront fait le mal, pour la damnation" 998 BouleBleue La pénitence intérieure est une réorientation radicale de toute la vie, un retour, une conversion vers Dieu de tout notre cœur, une cessation du péché, une aversion du mal, avec une répugnance envers les mauvaises actions que nous avons commises. 1431 BouleBleue Israël fait l’expérience que la maladie est, d’une façon mystérieuse, liée au péché et au mal 1502 BouleBleue L’appréhension du mal cause la haine, l’aversion et la crainte du mal à venir. Ce mouvement s’achève dans la tristesse du mal présent ou la colère qui s’y oppose. 1765 BouleBleue Il n’est jamais permis de faire le mal pour qu’il en résulte un bien. 1789 et suivants BouleBleue Comme le péché premier, le péché est une désobéissance, une révolte contre Dieu, par la volonté de devenir "comme des dieux", connaissant et déterminant le bien et le mal 1850 BouleBleue Désirer la vengeance pour le mal de celui qu’il faut punir est illicite 2302 BouleBleue Quand elle souhaite un mal grave au prochain, l'envie est un péché mortel  2539

 Le Mal personnifié

BouleBleue La prière sacerdotale de Jésus (à la Cène) s'inspire, des grandes demandes du Pater : […] la libération du mal 2750 BouleBleue "Mais délivre-nous du Mal" 2850 et suivants


Dans d'autres sources
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Rubrique à venir.


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Fiche mise à jour le 01/07/2021

 



[1] Cahiers de 1943, dictée du 7 juillet.

[2] Cahiers de 1945 à 1950, dictée du 29 décembre 1945.

[3] Leçons sur l’épître de saint Paul aux romains, Leçon n° 5.

[4] Cahiers de 1945 à 1950, dictée du 20 janvier 1946.

[5] Ib°, dictée du 29 décembre 1945.

[6] Ib°, dictée du 20 janvier 1946.

[7] Cahiers de 1944, dictée du 5 mars.

[8] Leçons sur l’épître de saint Paul aux romains, Leçon n° 28.

[9] Livre d’Azarias, Immaculée Conception, 2ème dimanche de l’Avent.

[10] Cahiers de 1944, dictée du 5 mars.

[11] Cahiers de 1943, dictée du 7 juin.

[12] Cahiers de 1945 à 1950, dictée du 18 février 1947

[13] Leçons sur l’épître de saint Paul aux romains, Leçon n° 29.

[14] Ib°, Leçon n° 24.

[15] Livre d’Azarias, 4ème dimanche après la Pentecôte.

[16] Leçons sur l’épître de saint Paul aux romains, Leçon n° 23.

[17] Ib°, Leçon n° 25.

[18] Les vertus théologales sont la Foi, l’Espérance et la Charité. Elles sont nommées dans 1 Corinthiens 13, 13. Elles ont Dieu pour objet, d’où leur appellation de théologales.

[19] Concupiscence ou convoitise. Elles sont citées par saint Jean (1 Jean 2, 15-17) « la convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l'orgueil de la richesse », ce que l’on résume parfois par le sexe, le pouvoir et l’argent. Saint Paul identifie lie bien cette triple convoitise au péché originel (Cf. Galates 5, 16.17.24 et Ephésiens 2, 3. Voir à ce propos le Catéchisme de l’Église catholique, § 2514 et suivants.

[20] La prudence, la justice, la force et la tempérance. Elles jouent un rôle charnière, d’où leur nom. Toutes les autres vertus se regroupent autour d’elles. Voir à ce propos le Catéchisme de l’Église catholique, § 1805 et suivants.

[21] Cahiers de 1945 à 1950, dictée du 29 décembre 1945

[22] Cahiers de 1944, dictée du 19 septembre.

[23] Cahiers de 1944, dictée du 8 janvier.

[24] Ib°, dictée du 4 juillet.

[25] Cahiers de 1945 à 1950, dictée du 28 janvier 1947.

[26] Cahiers de 1943, dictée du 16 juillet.

[27] Ib°, dictée du 7 août.

[28] Leçons sur l’épître de saint Paul aux romains, Leçon n° 9.

[29] Cahiers de 1943, dictée du 20 juillet.

[30] Ib°, dictée du 19 juin.

[31] Ib°, dictée du 30 juillet.

[32] Leçons sur l’épître de saint Paul aux romains, Leçon n° 5.

[33] Cahiers de 1943, dictée du 19 juin 1943. Cf. aussi Luc 18, 8.

[34] Cahiers de 1943, dictée du 23 avril.

[35] Ib°.

[36] Ib°, dictée du 23 juillet.

[37] Ib°, dictée du 23 avril.

[38] Ib°, dictée du 29 juillet.

[39] Livre d’Azarias, 4ème dimanche après la Pentecôte.

[40] Cahiers de 1945 à 1950, dictée du 15 avril 1945.

[41] Cf. Apocalypse 12, 7-9.

[42] Cahiers de 1944, dictée du 23 janvier.

[43] Cahiers de 1943, dictée du 20 août.

[44] Ib°.

[45] Ib°.

[46] Livre d’Azarias, 10ème dimanche après la Pentecôte.

[47] Leçons sur l’épître de saint Paul aux romains, Leçon n° 20.

[48] Isaïe 14, 12-15.

[49] Cahiers de 1945 à 1950, Commentaires de l’Apocalypse, page 566.