L'œuvre de Maria Valtorta |
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Traduction automatique de cette fiche : "À
la redécouverte de l’Évangile avec Maria Valtorta". Conférence de Benoît de Fleurac. Introduction. Ce que dit l’Église des révélations privées. La mise à l’index. Présentation des 3 mystiques qui ont reçues des visions
complètes de la vie du Christ. Les écrits
de Maria Valtorta. La véracité de
l’œuvre. Jésus
explique la finalité de l’œuvre. Trois exemples de la profondeur spirituelle de cette
œuvre. Conclusion. |
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1 –
Introduction. La Bible regorge de songes, de visionnaires, de prophètes, et ça
ne s’est pas arrêté avec la proclamation de l’Évangile. Lue par 3 papes, ce cadeau de Jésus à l’Église a pour vocation
l’unité en rapprochant ses 2 poumons, l’orthodoxie et le catholicisme, mais
aussi de toucher ceux qui ne connaissent pas encore Jésus-Christ, ou ceux qui
se sont éloignés de l’Église. 2 - La
position de l’Église sur les révélations privées. Le caractère particulier d’une "révélation" qu’elle
soit publique ou privée, implique que l’on distingue la figure de l’Auteur,
qui a conçu, voulu, et transmis cette œuvre, de celle qui l’a écrite
matériellement, dans un esprit de service. Dans ce cas précis il est très
clair que Jésus en est l’Auteur et Maria Valtorta le scribe, l’instrument. "L’Économie chrétienne, étant l’Alliance Nouvelle et
définitive, ne passera donc jamais et aucune nouvelle révélation publique
n’est dès lors à attendre avant la manifestation glorieuse de notre Seigneur
Jésus-Christ[2]". Cependant, même si
la Révélation est achevée, elle n’est pas complètement explicitée ; il
restera à la foi chrétienne d’en saisir graduellement toute la portée au
cours des siècles. L’article 67 en parle également : Au fil des siècles il y a eu des révélations dites
"privées", dont certaines ont été reconnues par l’autorité de
l’Église. Elles n’appartiennent cependant pas au dépôt de la foi. Leur rôle
n’est pas "d’améliorer" ou de "compléter" la Révélation
définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine
époque de l’histoire. Guidé par le Magistère de l’Église, le sens des fidèles
sait discerner et accueillir ce qui dans ces révélations constitue un appel
authentique du Christ ou de ses saints à l’Église. Les écrits de Maria Valtorta répondent entièrement aux critères
demandés par l’Église, et il est à noter que Jésus répond par avance aux
éventuelles objections dans par une dictée
en 1947 : L’ouvrage […] n’est pas un livre canonique. […] c’est un livre
inspiré que je vous accorde pour vous aider à comprendre certains passages
des livres canoniques. Le Cardinal Ratzinger (futur Benoit XVI) nous aide à discerner
: Le critère pour la vérité et pour la valeur d’une révélation
privée est son orientation vers le Christ lui-même. A toutes les époques est
donné à L’Église le charisme de prophétie, qui doit être examiné, mais ne
peut être déprécié[3]. Saint Paul avertit : N’éteignez pas l’Esprit, ne méprisez pas les prophéties, mais
discernez la valeur de toute chose, ce qui est bien gardez-le[4]. St Thomas d’Aquin, docteur de l’Église, nous dit que : Tout ce qui est vrai vient de l’Esprit-Saint, quel que soit
celui qui l’exprime[5]. Il dit encore, dans sa Somme
théologique : Dieu enverra des prophètes et des prophéties jusqu’à la fin des
temps pour diriger les actions des hommes…[6] Les cadeaux du ciel, sont souvent accueillis avec
"incrédulité et dureté de cœur[7]"… 3 -
L’histoire de la fameuse mise à l’index … …en est un parfait exemple. Aussi captivante qu’un roman policier, cet épisode peut se
résumer ainsi : Publiez l’œuvre telle quelle. Il n’y a pas lieu de donner une
opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui
liront comprendront[8]. Dans l’enthousiasme de cet imprimatur oral, le père Migliorini,
le confesseur de Maria Valtorta, distribue des copies dactylographiées autour
de lui - contre l’avis de Jésus - ce qui a pu agacer le Saint Office. Cherchez à obtenir une approbation qui défende l’Œuvre et lui
serve de garantie. Cherchez-la immédiatement et ne renoncez pas avant de
l’avoir trouvée. Un an après, début 1949, alors qu’un accord a été conclu avec l’imprimerie
du Vatican, deux commissaires du Saint-Office (dont Mgr Giovanni Pepe, on va
en reparler) convoquent le père Berti qui n’a pas le droit de parler, lui
ordonnant de remettre les manuscrits originaux et les copies – sans justifier
aucun motif - afin, selon les termes de Mgr Giovanni Pepe, qu’ils y demeurent
"comme dans une tombe". Heureusement – parfois il peut y avoir une
sainte désobéissance - seules des copies sont alors données, mais pas les
originaux. Quand bien même on décrétait définitivement, par quelque
entêtement sacrilège, que mon Œuvre est condamnable… Je permets qu’elle soit
publiée à titre d’écrit humain. Cela ne signifie pas que j’accepte leur
jugement ni que je désavoue la nature de l’Œuvre et le nom de son véritable
Auteur, mais je le fais par pitié pour les âmes… Je veux que les âmes
puissent boire à la Source de vie de ma Parole… Ouvrons donc pour eux un
autre accès à la Source divine. C’est ainsi que le bon Maître est celui qui
porte la Bonne Nouvelle, la Parole de vie qui "sort de ma bouche, [et]
ne me reviendra pas sans résultat, sans avoir fait ce qui me plait, sans
avoir accompli sa mission." (Isaïe 55,11), la Parole de vie, de salut,
de lumière sur le chemin, de vérité d’amour pour tous, reviendra vers les
aveugles, les sourds, les estropiés et les paralytiques, les lépreux, les
fous et les morts, comme aussi vers les assoiffés et affamés spirituels, pour
ouvrir les yeux et les oreilles à la Vérité, redonner leur agilité aux âmes
estropiées et paralysées, guérir de leur sensualité ceux qu’elle soumet à la
lèpre du péché, rendre la raison aux intelligences délirantes sous la
possession démoniaque de doctrines contraires à Dieu, ressusciter l’esprit de
ceux dont l’âme est morte, nourrir les affamés et désaltérer les assoiffés de
moi et du Ciel afin que tous, tous, tous puissent être rassasiés, même ceux
qui n’imaginaient pas me rencontrer en lisant un livre. Cette dictée remarquable, à destination des personnes réticentes
envers les révélations privées, nous apprend que Jésus lui-même accepte qu’on
lise cette œuvre comme un roman, parce qu’il sait qu’au final on va être
converti. La sensibilité, le tact et la clairvoyance dont fait ici preuve
Jésus, nous montre - s’il en était besoin - qu’il est bien le fils de Son
Père ! "Continuez à publier. Nous allons voir comment le monde la
reçoit". Ainsi, deux ans après la mise à l’index, l’œuvre obtient un
imprimatur oral du Saint Office. Prenez cette œuvre et ne la scellez pas, mais lisez-la et
faites-la lire » (3 février 1947) 4 -
Trois voyantes ont reçu des visions complètes de la vie de Jésus. De très nombreux mystiques ont eu des visions partielles de la
vie du Christ mais seulement trois ont reçues des visions complètes. Certains désirent en savoir plus sur l’énigme de Marie
d’Agréda. Qu’est-ce qui a gâché l’œuvre vraiment sainte de Marie d’Agréda ? :
La précipitation des hommes [l'intervention de son directeur]. Elle a suscité
l’attention et des rancœurs. Elle a contraint cette femme illuminée à
remanier la partie descriptive. En ce qui concerne la partie instructive,
l’Esprit a pourvu, et son enseignement reste identique. Or quelles ont été
les conséquences de ce remaniement ? Une grande souffrance, de la fatigue et
des troubles chez Marie d’Agreda, ainsi que la corruption de la magnifique
œuvre primitive. Ensuite, la bienheureuse Anne-Catherine Emmerich une allemande du 19ème
siècle qui, elle, n’a rien écrit. Je n’ai jamais permis jusqu’ici que tu connaisses de vrais
livres de révélations ou des livres dans lesquels on parle de visions reçues
par telle ou telle personne. Je le permets maintenant. […] Vous pouvez
toujours Me trouver, Moi le vrai Jésus, Maître ou Martyr, dans quelques
pages, de quelques âmes à qui Moi, Je me suis révélé, en tant que Maître et
Martyr. Dans ceux-ci, vous me trouverez toujours. Je l'ai d'ailleurs déjà
trouvé, sans aucune erreur de jugement, dans le livre de Josefa Menéndez.
Parce que Je suis vraiment là, comme dans les pages que tu as écrites depuis
cinq ans. Dans les deux cas, Marie d’Agreda et Anne-Catherine Emmerich,
ce n’est pas l’authenticité des révélations qui est en cause, mais la façon
dont elles nous sont transmises. La 3ème mystique et, à ce jour, la dernière mystique à avoir
reçu la vie entière de Jésus par visions est Maria Valtorta. Tout à coup, écrit-elle, j’ai vu, mentalement, un terrain très
pierreux et aride, entouré d’un vaste horizon. Tout au sommet, un plant de
violettes avait poussé. Une seule violette était complètement éclose. …Je vis
alors une grosse planche enfoncée dans le sol... À un mètre et demi du sol,
peut-être moins, je vis deux pieds transpercés. Du sang coulait le long des
talons, jusqu’au sol. D’autres gouttes ruisselaient des orteils sur la touffe
de violettes. C’est donc vers cela que se tournait la violette, unique touffe
de verdure en cette terre stérile : vers ce sang qui la nourrissait[17]. S’en suivent de nombreuses visions et des dictées de Jésus, qui
lui annonce sa mission qui est celle d’être …une voix mondiale. Tu dois chanter l’hymne de la Miséricorde et
de l’Amour, de la Sagesse et de la Perfection, pour toutes les oreilles et
tous les cœurs, pour toutes les intelligences et toutes les âmes[18]. Maria Valtorta devient ainsi l’instrument, le porte-plume de
Dieu. Elle note elle-même ses visions au moment-même où elles se présentent à
elle, on peut donc dire que c’est une "pure source". J’ai fini de souffrir, mais je continuerai à aimer. En 2001, les Servites de Marie demandent l’ouverture de son
procès en béatification. Son corps repose à la Basilique de la Sainte Annonciation à Florence, où la
messe des 50 ans de sa mort a été célébrée par un nonce apostolique en 2011. 5 - Les
écrits de Maria Valtorta… …consistent en 15 000 pages manuscrites répartis sur 122
cahiers écrits d’une traite et sans rature. 6 -
Examen de la véracité de cette œuvre… …par la théologie, la science, la chronologie, l’explication de
certains termes oubliés, et le style. 1 - La théologie
confirme la véracité des visions. Tous les enseignements de Jésus rapportés par Maria Valtorta
confirment et explicitent le magistère de l’Église Catholique[20]. Aucun autre écrit marial, pas même la somme de tous ceux que
j'ai lus et étudiés, n'avait été en mesure de me donner sur Marie,
chef-d’œuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi complète,
aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime, que les
écrits de Maria Valtorta. Ce n’est sans doute pas un hasard si cette œuvre nous est
donnée à notre époque, qui est celle de Marie, comme le prophétisait Grignon
de Montfort. 2 - La
science. On peut se demander pourquoi Jésus a fait une œuvre qui soit vérifiable
par la science. Notre époque est empreinte de rationalisme qui évacue
totalement le spirituel, spécialement en occident – et l’Église Catholique
aussi est touchée par ce rationalisme - donc pour s’adapter à notre époque,
pour être audible, et endiguer la fuite des chrétiens de l’Église, Jésus a
voulu que cette Œuvre soit scientifiquement irréprochable. Nous allons
pouvoir constater qu’elle l’est. Souviens-toi d'être tout à fait scrupuleuse pour répéter ce que
tu vois. Même une bagatelle a de la valeur et elle n'est pas à toi, mais à
Moi. Il ne t'est donc pas permis de l'escamoter […] Pour les dictées, tu es
arrivée à la plus fidèle fidélité. Dans les contemplations, tu observes avec
beaucoup d'attention, mais dans la hâte d'écrire, et à cause de ton état
particulier de santé et de l'ambiance où tu te trouves, il t'arrive d'omettre
quelque détail. Il faut l'éviter, mets-les au bas des pages mais indique-les
tous. Ce n'est pas un reproche mais un doux conseil de ton Maître[21]. Jésus averti du sérieux de cette œuvre et de sa volonté qu’elle
soit diffusée : Je ne puis permettre que l’on traite cette œuvre comme une
plaisanterie et qu'elle reste à l’état de manuscrit. Nous avons affaire à un
monde obtus et mauvais - jusque dans les milieux ecclésiastiques -, à un
monde qui ne se soucie guère de relire ces écrits pour pouvoir y reconnaître
ma présence et les approuver, mais qui porte toute son attention à éplucher
l’ouvrage dans le seul dessein d’y trouver un mot qui puisse passer pour une
erreur théologique ou simplement historique, que ce soit dû à l’écriture
incertaine de l’instrument ou à une erreur du copiste. C’est la pure vérité.
J’agis donc en sorte que leur animosité soit déçue[22]. À l’époque, même Maria Valtorta ne comprend pas pourquoi Jésus
lui demande de noter tous ces détails. Et on ne le comprendra seulement des
décennies plus tard, en 1992, grâce au polytechnicien Jean Aulagnier. Ses
travaux sur l’œuvre prouvent sa véracité, que ce soit l’archéologie,
l’astronomie, la géographie, l’histoire, la botanique, l’ethnologie… Des nécessités de réconfort et d’instruction pour toi, ma
bien-aimée, et pour d’autres, m’ont contraint à suivre un ordre spécial pour
donner les visions et les dictées qui s’y rapportaient. Mais je vous
indiquerai, au moment voulu, comment répartir les épisodes des trois années
de vie publique[23]. 3 - la
chronologie de la vie de Jésus est ainsi restaurée. Dans la même dictée[24], Jésus
précise : L'ordre des Évangiles est bon, mais pas parfait
chronologiquement. Un observateur attentif le remarque. Celui qui aurait pu
donner l'ordre exact des faits – puisqu’il était resté avec moi depuis le
commencement de l'évangélisation jusqu'à mon Ascension-, ne l'a pas fait. En
effet Jean, en vrai fils de la Lumière, s'est occupé et préoccupé de faire
transparaître la Lumière à travers son vêtement de chair aux yeux des
hérétiques qui attaquaient la réalité de la Divinité enfermée dans une chair
humaine. Le sublime évangile de Jean a atteint son but surnaturel, mais la
chronique de ma vie publique n'en a pas été aidée. 4 -
Certains termes obscurs. Le travail scientifique sur cette œuvre permet de redécouvrir
certains termes bibliques qui paraissaient pour le moins obscurs, comme le
"sabbat second-premier[25]",
un terme énigmatique mentionné lorsque les apôtres cueillent des épis le jour
du sabbat (EMV 217) Luc (6,1)
dont on trouve encore la trace dans les bibles protestantes, sans pour autant
qu’on sache l’expliquer, mais il a disparu des bibles catholiques récentes.
Déjà au IVème siècle quand Saint Jérôme fait sa Vulgate, on n’en connait plus
le sens. On sait seulement qu’il s’agit d’une indication liturgique mais on
ne la comprend pas. Par les travaux de Jean-François Lavère, on apprend que
cela se réfère à la seconde Pâque ou Pâque supplémentaire, c’est à dire le 1er
sabbat après Pâques, une fête tombée en désuétude dans le judaïsme après la
chute du temple. Elle se vérifie parfaitement car le premier sabbat après la
seconde Pâque nous conduit quinze jours avant la Pentecôte (Shavouot), la
fête de la moisson, ce qui explique que les blés sont déjà en épis. L’étude
des écrits de Maria Valtorta éclairent et restaurent ainsi une indication de
l’Évangile voulue par Luc. 5 - le
style littéraire. À propos de la retranscription des visions, le vénérable
Gabriel Allegra parlait de L’Évangile tel
qu’il m’a été révélé comme d’un "chef d’œuvre de la littérature
chrétienne mondiale". 7 -
Jésus explique la finalité de l’œuvre. Jamais le Christ ne s’est engagé si fortement pour recommander,
toujours en privé, une révélation privée. À la fin du dernier tome de l’Évangile
tel qu’il m’a été révélé, Jésus expose de manière magistrale les 7
raisons de cette œuvre[28] : J'ai dicté à Maria Valtorta, âme-victime, une œuvre
merveilleuse. De cette œuvre, Je suis l'auteur. Tu t'es rendu compte toi-même
des réactions rageuses de Satan. Jésus insiste, de manière plus générale : Dis-le fort, qu’il y en a assez de cette pseudo-prudence[37] qui fait qu’on en est
arrivé à la crainte de faire savoir à tous que Moi, Jésus, vrai Dieu et vrai
Homme, Je suis une Personne vivante, réelle comme vous, plus que vous, ayant
parfaitement le droit et le besoin de faire entendre ma voix à qui, comme et
quand Je veux, et de la façon que Je veux ![38] 8 -
Trois exemples de la profondeur spirituelle de cette œuvre. 1.
L’épisode de la cananéenne[39] devient lumineux. On se demande pourquoi Jésus a un langage qui parait humiliant
pour cette cananéenne, qui le supplie de délivrer sa fille d’un esprit
mauvais, et Jésus l’envoie balader : Il lui dit qu’il est venu pour le peuple
juif, pour les brebis perdues d’Israël, mais qu’il n’est pas venu pour les
païens. Elle insiste, et Jésus lui dit « ce n’est pas bon de donner le pain
des enfants aux petits chiens. » C’est quand même dur à entendre. Mais la
cananéenne a une foi en béton armé, et elle lui répond : « Seigneur les
petits chiens mangent bien le pain qui tombent de la table des enfants ». Si
on ne lit pas Maria Valtorta, on ne sait pas pourquoi Jésus a donné
l’impression de vouloir humilier cette cananéenne… mais il ne veut surtout
pas l’humilier, Il sait très bien que cette femme ne va pas du tout
considérer ses propos comme humiliants, mais au contraire qu’elle va lui
donner l’occasion de montrer aux apôtres une foi comme Jésus n’en a pas vu
souvent en Israël. Ce jour-là les apôtres sont de mauvaise humeur car ils
viennent de faire des bides pastoraux, et Jésus veut leur montrer ce que peut
être la foi d’une païenne. C’est une leçon qu’il leur donne, car les apôtres
détestaient les païens alors qu’ils sont appelés à aller évangéliser les pays
païens. 2. La
parabole des talents[40]. Un maître part en voyage, appelle ses 3 serviteurs et leur
confie ses biens : Le premier reçoit cinq talents, le second deux, et le
troisième un seul. 3.
Lecture d’un texte. Il est rapporté que Jean-Paul II n’imaginait pas que Jésus, le
jour de la résurrection, ne sois pas apparu d’abord à sa mère, avant
d’apparaitre à Marie-Madeleine et aux apôtres[42]. On ne
peut pas savoir si c’est une intuition qui lui était propre, ou bien, comme
il était un grand lecteur de Maria Valtorta, s’il l’avait lu dans l’œuvre. 9 –
Conclusion. Louons le Seigneur pour la grâce de cette œuvre exceptionnelle
pour notre époque. |
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[1] Dernière des trois épitaphes inscrites
sur la tombe de Maria Valtorta à la Santissima Annunziata de Florence. On peut
la traduire par "historienne du
divin".
[2] Paul VI, 18 novembre 1965,
Constitution dogmatique sur la Révélation divine, Dei Verbum, § 4.
[3] Cardinal
J. Ratzinger : Commentaire théologique sur le 3ème secret de Fatima, 26
juin 2000
[5] Maxime
de saint Ambroise, cité par saint Thomas d’Aquin dans la Somme théologique IIa IIae
Pars, question 172 (la cause de la prophétie), article 6 (Les prophètes des démons annoncent-ils quelquefois la
vérité ?). Jean-Paul II y fait référence dans
l’encyclique Fides et Ratio, § 44.
[6] Somme théologique IIa
IIae Pars, question 174 (Les différentes espèces
de prophéties), article 6 (La prophétie a-t-elle progressé dans la suite des temps ?), conclusion, dernier paragraphe.
[7] Cf. Marc 16, 13-14.
[9] Quadernetti, Dictée du 6 janvier 1949. Inédite en français.
[10] Luigi Peroni, Padre Pio, le saint François du XXe siècle, page 138/ 139, 1999,
éditions saint-augustin.
[11] Le 6 mars 1959,
le Saint-Office publie le décret suivant : Qu’il soit rendu public que la
Congrégation du Saint-Office, après avoir examiné les prétendues visions et
révélations de Sœur Faustine Kowalska, de l’institut
de Notre-Dame de la Miséricorde, décédée en 1938 près de Cracovie, a décidé ce
qui suit : Il faut interdire la diffusion
des images et des écrits qui présentent la dévotion à la Divine Miséricorde
dans la forme proposée par ladite Sœur Faustine. Il est requis de la prudence
des évêques de devoir faire disparaître lesdites images qui ont éventuellement
déjà été exposées au culte.
Cette condamnation intervient seulement 8 mois avant la condamnation de Maria
Valtorta et quelques mois
après la mort de Pie XII.
[12] Bossuet : Remarques sur la mystique Cité de Dieu.
[13] Dom Prosper Guéranger
(1805-1875), abbé de Solesmes, publia une série de 28 articles sur Marie d’Agréda dans le
journal L’Univers, du 23 mai 1858 au
6 novembre 1859.
[14] Les Cahiers de 1944, Dictée du 12 septembre, page 568.
[15] Cardinal José Saraiva Martins, préfet de la Congrégation pour les Causes
des Saints, ''L’Osservatore Romano'' du 7 octobre 2004.
[16] Quadernetti, n° 49.2, catéchèse
du 28 janvier 1949 (inédits en français).
[17] Cahiers de 1943, Vision du 22 avril.
[18] Cahiers de 1945 à 1950, Dictée du 19 décembre 1945.
[20] Qu’est-ce que le Magistère de l’Église catholique ?
[21] Les Cahiers de 1944, dictée du 25 janvier, page 95.
[22] Cahiers de 1945 à 1950, dictée du
21 janvier 1946.
[27] Quadernetti, à paraitre en français sous le titre : Les Carnets. n°
49.2, dictée du 28 janvier 1949.
[29] Cahiers 1945 à 1950, dictée du 10 avril 1947, page 381.
[31] Quadernetti, à paraitre en français sous le titre : Les Carnets. Dictée à Pie XII du 23
décembre 1948, dix mois après l’audience où il avait autorisé la publication de
l’œuvre : «Utilise le pouvoir et la connaissance comme il te convient, et ne
déçois pas ton Seigneur qui a voulu contresigner ton pontificat d’un don
extraordinaire : La Bonne Nouvelle ré-évangélisée afin de confirmer l'Évangile
qui a traversé les âges, afin de t’aider, ô Père de la Chrétienté, et d’aider
la chrétienté toute entière contre laquelle s’avance le Dragon maudit».
[32] Don Michelini « Confidences de
Jésus à ses prêtres et à ses fidèles ».
[33] (Les Carnets) dans une dictée à
Pie XII le 23 décembre 1948,
[34] Don Ottavio Michelini Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses
fidèles, Dictée du 5 février 1976.
[35] Ib°,
Dictée du 19 septembre 1975.
[36] Ib°,
Dictée du 22 janvier 1976.
[37] Définition de la prudence, vertu cardinale.
[38] (Dictée du 20 janvier 1976).