DOSSIERS CONNEXES
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Jésus dit, dans l’œuvre :
«Le voile de Véronique est aussi un point d’achoppement pour votre esprit
sceptique. Hommes rationnels, tièdes, à la foi vacillante, vous qui procédez
par d’arides analyses, comparez le visage du Voile à celui du Saint Suaire.
L’un est la face d’un vivant, l’autre celle d’un mort. Mais la longueur, la
largeur, les caractères somatiques, la forme, les caractéristiques sont
identiques. Superposez les images, vous verrez qu’elles correspondent. C’est
bien moi. J’ai voulu rappeler comment j’étais et ce que je suis devenu par
amour pour vous. Si vous n’étiez pas des hommes perdus, aveugles, ces deux
visages devraient suffire à vous porter à l’amour, au repentir, à Dieu.»
Sans doute inspiré par ce passage, Jean-François
Lavère a eu l’intuition de superposer les
deux reliques célèbres :
Tout d'abord, le
voile de Véronique, ou Sainte-Face.
On commémore le geste de Véronique (Nique dans Maria Valtorta) essuyant le visage de Jésus sur la
Via Dolorosa avec la 6ème station du chemin de croix, bien que l'Évangile ne
le mentionne pas. C'est dire la vigueur de cette tradition, reconnue de fait
comme authentique.
La dernière ostension de cette relique date de 1854, l'image s'est tellement
estompée qu'une nouvelle ostension est devenue impossible. Toutefois, la
relique fut maintes fois reproduite, notamment par Domenico Fetti vers 1615. C'est une des représentations les plus
célèbres.
Ensuite le Suaire de Turin qui ne révéla tout
son secret qu'avec le premier négatif photo.
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Jean-François Lavère a donc
confronté ces deux représentations d'un même visage. Normalement pour
effectuer cette superposition, il faut techniquement 20 points de
superposition, au minimum. Trois seulement lui ont suffi pour brusquement
voir revivre le visage du Christ, marqué d'ecchymoses mais gardant dans le
regard, l'émouvante douceur du Rédempteur.
Chrétiens Magazine a publié l'histoire de cette étonnante découverte dans son
numéro 268, d'avril 2014.
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