"L'Évangile
tel qu'il m'a été révélé" |
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1.17.8 - La disubbidienza di Eva e
l'ubbidienza di Maria. |
Accueil >> Plan du Site >> Sommaire du Tome. Ancienne édition : Tome 1,
chapitre 26. 17 17.1 : Demandez à votre âme les vérités célestes.
17.2 : L'homme était appelé à dominer sur tout. 17.3 : La naissance du mal en Lucifer. 17.4 : L'homme devait procréer sans union sexuelle. 17.5 : Satan éveille la chair en Ève qui ne se
tourne pas vers le Père. 17.6 : Une condamnation plus grande pèse sur la
femme. 17.7 :
La
Grâce contre les trois concupiscences. |
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Le mercredi 8
mars 1944. 118> 17.16- Jésus dit : |
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J’ai voulu vous en parler parce que, actuellement, les neuf
dixièmes d’entre vous êtes semblables à Ève, intoxiqués par le souffle et la
parole de Lucifer : vous vivez, non pas pour vous aimer, mais pour vous
rassasier de luxure, non pas pour le Ciel, mais pour la débauche. Vous n’êtes
plus des créatures douées d’une âme et de raison, mais des chiens sans âme et
sans raison. Vous avez tué votre âme et dépravé votre raison. En vérité, je
vous dis que les bêtes sauvages vous dépassent par l’honnêteté de leurs
amours.» |
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[1] Le texte, présent seulement dans l’édition de 1985, se
trouve en annexe.
[2] L’eau régale sert, avec l’aide d’une
pierre de touche, à déterminer la présence et la pureté de l’or d’un objet.
Pour déterminer le poids de l’or dans un alliage, on en mesure la densité
(poids/volume). 24 carats est considéré comme de l’or pur à 99,9% ("l’or
fin"), mais, trop mou, il est peu usité en bijouterie.
Le carat tire son nom de la graine de caroube d’un poids toujours égal
équivalent à 0,20 gramme.
C’est le Jésus contemporain qui parle ici.
[3] Dans un manuscrit inédit, Mgr Laurentin commente : Dès
le paradis terrestre Dieu soumet l’Homme à la liberté de le choisir :
Le mal s’introduisit par le bien : Ève fut séduite par un fruit qui était beau,
de toute la beauté que lui avait donné son Créateur.
Ce fruit, qui était beau et bon comme toute la Création de Dieu, était interdit
par Dieu, c’était un test que Dieu avait mis face à la liberté humaine. Cette
liberté était la faille par laquelle le péché pouvait s’introduire dans la
bonté parfaite de l’Homme sorti des «mains» de son Créateur.
Oui, le fruit était beau, bon et désirable pour l’appétit humain, comme tous
les arbres du Jardin, mais celui-là était interdit. C’était un test négatif
mettant l’Homme au risque de manquer à la confiance et à l’amour de Dieu.
En étant attirée par sa beauté incontestable, la liberté humaine franchissait
l’interdit de Dieu et s’altérait elle-même pour sa douloureuse destruction : ce
symbole concentre la nature même du péché.
[4] En Matthieu
11,16-17 ; Luc 7,31-32
(cf. EMV 266.12). Même citation en EMV 45.9.