L'œuvre
de Maria Valtorta |
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septembre 1943 Traduction automatique de cette fiche : Catéchèse du vendredi 24 septembre 1943 La plus
torturante de mes souffrances, était l’agonie du cœur et de l’esprit
Oh! Douce
souffrance, parce qu’offerte au Père Dans mon
imitation se trouve la clé de votre bonheur sur cette Terre et au Ciel
L’orgueil, la
colère et la luxure sont la cause de tant de vos crimes Les Cieux
frémissent devant les pleurs du Rédempteur qui voit la ruine des deux-tiers
du monde chrétien Soyez semblables
à moi qui fus généreux dans la souffrance |
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318> Jésus dit : |
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Plus on aime et plus on est généreux, Maria. Monte. Touche au
sommet. Je t’attends là-haut pour t’amener avec moi au Royaume de l’Amour." |
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[1] Parlant des
blessures les plus douloureuses de son cœur, Jésus disait à Luisa Piccarreta:
"
Ma fille, parmi
toutes les blessures de mon Cœur, il y en a trois dont la douleur dépasse celle
de toutes les autres ensembles. Il y a, en premier, les souffrances de mes âmes
aimantes. Quand je vois une âme tout à moi souffrir à cause de moi, torturée, piétinée
et prête à souffrir la plus douloureuse des morts pour moi, je ressens ses
souffrances comme si elles étaient miennes, et peut-être plus encore. Ah!
l’amour peut faire naître les déchirures les plus profondes supplantant toute
autre peine! Dans cette première blessure, ma Mère aimante occupe la toute
première place…
La deuxième blessure mortelle de mon Cœur est l’ingratitude. Par l’ingratitude,
la créature bloque l’entrée de mon Cœur, en prend la clé et la ferme à double
tour. Alors, mon Cœur se gonfle de chagrin parce qu’il voudrait déverser ses
grâces et son Amour et qu’il ne le peut pas. Il devient fou et perd espoir que
sa blessure soit guérie. L’ingratitude des âmes me donne une souffrance
mortelle.
La troisième blessure mortelle de mon Cœur est l’obstination. L’obstination
détruit tout le bien que j’ai fait pour la créature. Par elle, la créature
déclare ne plus me reconnaître et ne plus m’appartenir. Elle est la clé de
l’enfer vers lequel l’âme se précipite. Devant l’âme obstinée, mon Cœur tombe
en morceaux et je me sens comme si l’un de ces morceaux m’était arraché. Quelle
blessure mortelle est l’obstination pour mon Cœur! ...". Cf. Le livre du ciel, 27 janvier 1919.
[2] Cf. Matthieu 11, 29 et dans l'œuvre on peut lire ceci: "Je vous l'ai déjà dit que les
vrais triomphateurs parmi les hommes sont ceux qui le conquièrent par l'amour,
et l'amour est toujours doux et humble. Je ne vous donnerais jamais à faire des
choses qui dépassent vos forces, parce que je vous aime et que je vous veux
avec Moi dans mon Royaume. Prenez donc mon insigne et mon uniforme, et
efforcez-vous d'être semblables à Moi et tels que ma Doctrine vous enseigne.
N'ayez pas peur, parce que mon joug est doux et son poids est léger, alors
qu'infiniment puissante est la gloire dont vous jouirez si vous êtes fidèles.
Infinie et éternelle..." Cf. EMV 268.
[3] La luxure est
un désir désordonné ou une jouissance déréglée du plaisir vénérien. Le plaisir
sexuel est moralement désordonné, quand il est recherché pour lui-même, isolé
des finalités de procréation et d’union. Cf. CEC § 2351.
[4] Mentionné aussi dans la dictée
du 7 juin.
[5] Stillation : action de tomber goutte à goutte.
[6] Voir l’hymne
à l’amour et à la souffrance que
Maria Valtorta composa le Vendredi saint 1934 lorsqu’elle reçut les stigmates
invisibles qui la configurèrent au Christ :
« Bénie soit la souffrance
qui me fait te ressembler!
« Bénie soit ta croix qui m’élève au ciel!
« Béni soit l’amour qui donne des ailes à ma douleur!
« Béni soit le jour où ton regard m’a fascinée, bienheureux soit l’instant
où tu m’as consacrée à toi, mais séraphiques sont les tourments qui m’unissent,
ô mon Rédempteur; à la croix, à la souffrance, pour ta gloire, ô Dieu! »