L'œuvre
de Maria Valtorta |
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des "Cahiers" >> Sommaire d'août 1943. Traduction automatique de cette fiche : Catéchèse du mercredi 11 août 1943. Les missions sont toujours pénibles pour la nature
humaine. Dans sa souffrance, Jésus était abandonné de Dieu. Maria
Valtorta a le réconfort de Jésus. Tu m’as donné chair et sang en offrande totale.
Une seule âme justifie tes souffrances surhumaines.
Aucun disciple n’est plus que son maître. La souffrance des victimes offertes empêche la ruine
spirituelle. Il n’est pas donné aux amies de Jésus de se soustraire
à la peine. Jésus souffrant s’épanche auprès des âmes victimes.
Maria Valtorta est torturée par les confidences qu’elle
reçoit et par les tentations de Satan. |
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218> Jésus dit : |
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Alors...
en avant. Je suis au milieu d’épines de tout genre, car le bon Jésus me dévoile
des horizons de feu et de sang, et Lucifer tente de me bouleverser en me
montrant que bientôt je resterai seule (sans le Maître) et qu’il est déjà
fatigué de moi. Je le laisse dire, mais il est certain que j’en souffre. |
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[1] Giuseppe Belfanti,
cousin de la mère de Maria Valtorta, Iside Fioravanzi.
À cause de la guerre, il quitta Reggio Calabria pour s’établir, avec sa femme Anna et sa fille
Paola, à Viareggio, et il resta avec Maria Valtorta du 29 juillet 1943 à
novembre 1944.
[2] Voir dans son autobiographie, son
acte d’offrande comme
victime expiatoire (1925 et 1930).
[3] Ils : la chair et le sang
donnés en offrande par Maria Valtorta.
[4] Cf. Matthieu
26, 39-42.
[6] Cf. Luc 6, 40 : Le disciple n’est pas au-dessus
du maître ; mais une fois bien formé, chacun sera comme son maître.
[7] Holocaustes : il s’agit de
celui de Maria Valtorta et d’autres comme sainte Thérèse de Lisieux qui emploie
ce mot dans son acte d’offrande :
"Afin de vivre dans un acte de parfait Amour, je m’offre comme victime d’holocauste à votre Amour
miséricordieux, vous suppliant de me consumer sans cesse, laissant déborder en
mon âme les flots de tendresse infinie qui sont renfermés en vous et qu’ainsi
je devienne Martyre de votre Amour ô mon Dieu !…"
L’holocauste était l’offrande où la victime était immolée et entièrement
consumée. Il ne s’agit pas ici de la Shoah qu’on appelle parfois Holocauste.
[9] Déjà dans les catéchèses du 23 avril et du 26 juillet 1943.