"L'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
de Maria Valtorta

© Fondation héritière de Maria Valtorta.

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 10.640 - La discesa dello Spirito Santo. Fine del ciclo messianico.

 5.636 - The Descent of the Holy Spirit. End of the Messianic Cycle.

 7.640- La venida del Espíritu Santo. Fin del ciclo mesiánico.

 12.701 - Die Herabkunft des Heiligen Geist es.

 Évangile:
-
Actes 2,1-13.




 

Dimanche 26 mai 30
(8 Siwan 3790)

Jérusalem, au Cénacle.


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 La venue de l'Esprit-Saint.

 Les langues de feu.

 La venue de l'Esprit-Saint conclut le cycle messianique.

 La Pentecôte ouvre le temps de l'Église.



Sainte Zita de Lucques.
Voir ci-contre.


Sainte Maria Goretti.
Voir ci-contre.


 

Accueil >> Plan du site >> Sommaire du Tome 10

Ancienne édition : Tome 10, chapitre 25.
Nouvelle édition : Tome 10, chapitre 640.

640
La Pentecôte.
La descente de l’Esprit-Saint.
Fin du cycle messianique.

Vision du dimanche 27 avril 1947

469>  640.1 - Il n’y a pas de voix ni de bruits dans la maison du Cénacle. Il n’y a pas de disciples présents, du moins je n’entends rien qui me permette de dire que dans les autres pièces de la maison sont rassemblées des personnes. Il y a seulement la présence et les voix des douze et de Marie très Sainte, rassemblés dans la salle de la Cène. 

La pièce semble plus vaste car le mobilier, disposé différemment, laisse libre tout le milieu de la pièce et aussi deux des murs. Contre le troisième on a poussé la table qui a servi pour la Cène, et entre eux et les murs, et aussi aux deux côtés les plus étroits de la table, on a mis les lits-sièges qui ont servi à la Cène et le tabouret qui a servi à Jésus pour le lavement des pieds. Pourtant ces lits ne sont pas disposés perpendiculairement à la table comme pour la Cène, mais parallèlement, de façon que les apôtres puissent rester assis sans les occuper tous, en laissant pourtant un siège, le seul mis verticalement par rapport à la table, tout entier pour la Vierge bénie qui est au milieu de la table, à la place qu’à la Cène occupait Jésus.        

Il n’y a pas de nappe ni de vaisselle sur la table, les crédences sont dégarnies et aussi les murs de leurs ornements. Seul le lampadaire brûle au centre, mais avec la seule flamme centrale allumée; l’autre cercle de petites lampes qui sert de corolle au bizarre lampadaire est éteint.        

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470> Les fenêtres sont fermées et barrées par une lourde barre de fer qui les traverse. Mais un rayon de soleil s’infiltre hardiment par un petit trou et descend comme une aiguille longue et fine jusqu’au pavé où il dessine une tache lumineuse.

 640.2 - La Vierge, assise seule sur son siège, a à ses côtés, sur des sièges : Pierre et Jean, Pierre à droite, Jean à gauche. Mathias, le nouvel apôtre, est entre Jacques d'Alphée et le Thaddée. La Vierge a devant elle un coffre large et bas de bois foncé et qui est fermé.       

Marie est vêtue de bleu foncé. Elle a sur ses cheveux son voile blanc et par-dessus un pan de son manteau. Les autres ont tous la tête découverte.    

Marie lit lentement à haute voix, mais à cause du peu de lumière qui arrive jusque là, je crois plutôt qu’au lieu de lire elle répète de mémoire les paroles écrites sur le rouleau qu’elle tient déplié. Les autres la suivent en silence, en méditant. De temps à autre ils répondent si le cas se présente.     

Marie a le visage transfiguré par un sourire extatique. Qui sait ce qu’elle voit, de si capable d’allumer ses yeux comme deux claires étoiles, et de rougir ses joues d’ivoire comme si une flamme rose se réfléchissait sur elle ? C’est vraiment la Rose mystique...

Les apôtres se penchent en avant, en se tenant un peu de biais pour voir son visage pendant qu’elle sourit si doucement et qu’elle lit. Sa voix semble un cantique angélique. Pierre en est tellement ému que deux grosses larmes tombent de ses yeux et, par un sentier de rides gravées aux côtés de son nez, elles descendent se perdre dans le buisson de sa barbe grisonnante. Mais Jean reflète son sourire virginal et s’enflamme d’amour comme elle, pendant qu’il suit du regard ce que lit la Vierge sur le rouleau, et quand il lui présente un nouveau rouleau il la regarde et lui sourit.         

La lecture est finie. La voix de Marie s’arrête et on n’entend plus le bruissement des parchemins déroulés et enroulés. Marie se recueille en une oraison secrète, en joignant les mains sur sa poitrine et en appuyant sa tête contre le coffre. Les apôtres l’imitent...          

 640.3 - Un grondement très puissant et harmonieux, qui rappelle le vent et la harpe, et aussi le chant d’un homme et le son d’un orgue parfait, résonne à l’improviste dans le silence du matin. Il se rapproche, toujours plus harmonieux et plus puissant, et emplit la Terre de ses vibrations, il les propage et il les imprime à la maison, aux murs, au mobilier.    

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471> La flamme du lampadaire, jusqu’alors immobile dans la paix de la pièce close, palpite comme investie par un vent, et les chaînettes de la lampe tintent en vibrant sous l’onde de son surnaturel qui les investit.         

Les apôtres lèvent la tête effrayés. Ce bruit puissant et très beau, qui possède toutes les notes les plus belles que Dieu ait données au Ciel et à la Terre, se fait de plus en plus proche, alors certains se lèvent, prêts à s’enfuir, d’autres se pelotonnent sur le sol en se couvrant la tête avec leurs mains et leurs manteaux, ou en se frappant la poitrine pour demander pardon au Seigneur. D’autres encore se serrent contre Marie, trop effrayés pour conserver envers la Toute Pure cette retenue qu’ils ont toujours eue. Seul Jean ne s’effraie pas car il voit la paix lumineuse de joie qui s’accentue sur le visage de Marie qui lève la tête en souriant à une chose connue d’elle seule, et qui ensuite glisse à genoux en ouvrant les bras, et les deux ailes bleues de son manteau ainsi ouvert s’étendent sur Pierre et Jean qui l’ont imitée en s’agenouillant. Mais tout ce que j’ai gardé en détail pour le décrire s’est passé en moins d’une minute.    

 640.4 - Et puis voilà la Lumière, le Feu, l’Esprit-Saint, qui entre avec un dernier bruit mélodieux sous la forme d’un globe très brillant et ardent dans la pièce close, sans remuer les portes et les fenêtres, et qui plane un instant au-dessus de la tête de Marie à environ trois palmes[1] de sa tête qui est maintenant découverte, car Marie, voyant le Feu Paraclet, a levé les bras comme pour l’invoquer et a rejeté la tête en arrière avec un cri de joie, avec un sourire d’amour sans bornes. Et après cet instant où tout le Feu de l’Esprit-Saint, tout l’Amour est rassemblé au-dessus de son Épouse, le Globe très Saint se partage en treize flammes mélodieuses et très brillantes, d’une lumière qu’aucune comparaison terrestre ne peut décrire et descend pour baiser le front de chaque apôtre.         

Mais la flamme qui descend sur Marie n’est pas une flamme dressée sur son front qu’elle baise, mais une couronne qui entoure et ceint, comme un diadème, sa tête virginale
[2], en couronnant comme Reine la Fille, la Mère, l’Épouse de Dieu, la Vierge incorruptible, la toute Belle, l’éternelle Aimée et l’éternelle Enfant, que rien ne peut avilir, et en rien, Celle que la douleur avait vieillie, mais qui est ressuscitée dans la joie de la résurrection, partageant avec son Fils un accroissement de beauté et de fraîcheur de la chair, du regard, de la vitalité, ayant déjà une anticipation de la beauté de son Corps glorieux monté au Ciel pour être la fleur du Paradis.     

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472> L’Esprit-Saint fait briller ses flammes autour de la tête de l’Aimée. Quelles paroles peut-Il lui dire ? Mystère ! Son visage béni est transfiguré par une joie surnaturelle, et rit du sourire des Séraphins pendant que des larmes bienheureuses semblent des diamants qui descendent le long des joues de la Bénie, frappées comme elles le sont par la Lumière de l’Esprit-Saint.     

Le Feu reste ainsi quelque temps... Et puis il se dissipe... De sa descente il reste comme souvenir un parfum qu’aucune fleur terrestre ne peut dégager... Le Parfum du Paradis...       

 640.5 - Les apôtres reviennent à eux...

Marie reste extasiée. Elle croise seulement les bras sur sa poitrine, ferme les yeux, baisse la tête... Elle continue son colloque avec Dieu... insensible à tout...         

Personne n’ose la troubler.       

Jean dit en la désignant :           

"C’est l’autel. Et c’est sur sa gloire que s’est posée la Gloire du Seigneur..."        

"Oui. Ne troublons pas sa joie. Mais allons prêcher le Seigneur et que soient connues ses œuvres et ses paroles parmi les peuples" dit Pierre avec une surnaturelle impulsivité.

"Allons ! Allons ! L’Esprit de Dieu brûle en moi" dit Jacques d’Alphée.   

"Et il nous pousse à agir. Tous. Allons évangéliser les gens."         

Ils sortent comme s’ils étaient poussés ou attirés par un vent ou par une force irrésistible.


 640.6 - Jésus dit :

"Et ici prend fin l’Œuvre que mon amour pour vous a dictée, et que vous avez reçue à cause de l’amour qu’une créature a eu pour Moi et pour vous.    

Elle se termine aujourd’hui : Commémoration de Sainte Zita de Lucques
[3], humble servante qui servit son Seigneur dans la charité dans cette Église de Lucques dans laquelle j’ai amené, de lieux lointains, mon petit Jean pour qu’il me serve dans la charité et avec le même amour de Sainte Zita pour tous les malheureux.         

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473> Zita donnait son pain aux pauvres. en se souvenant que je suis en chacun d’eux et bienheureux seront à mes côtés ceux qui auront donné du pain et à boire à ceux qui ont soif et faim.        

Maria-Jean a donné mes paroles à ceux qui languissent dans l’ignorance ou dans la tiédeur ou le doute en matière de Foi, en se rappelant ce qui est dit par la Sagesse
[4] que ceux qui se donnent du mal pour faire connaître Dieu brilleront comme des étoiles dans l’éternité, en glorifiant leur Amour en le faisant connaître et aimer, et à beaucoup de gens.           

Et elle se termine aussi aujourd’hui, jour auquel l’Église élève sur les autels le pur lys des champs, Marie Thérèse Goretti,
[5] dont la tige fut brisée alors que la corolle était encore en bouton. Et brisée par qui, sinon par Satan, envieux de cette candeur qui resplendissait plus que son ancien aspect angélique ? Brisée parce que sacrée pour son divin Amant. Marie, vierge et martyre de ce siècle d’infamies où on méprise même l’honneur de la Femme, en crachant la bave des reptiles pour nier le pouvoir de Dieu de donner une demeure inviolée à son Verbe qui s’est incarné par l’œuvre de l’Esprit-Saint pour sauver ceux qui croient en Lui.         

Marie-Jean aussi est victime de la Haine qui ne veut pas que l’on célèbre mes merveilles avec l’Œuvre, arme puissante pour lui arracher tant de proies. Mais Marie-Jean sait aussi, comme le savait Marie Thérèse, que le martyre, quelque nom et quelque aspect qu’il ait, est une clef pour ouvrir sans retard le Royaume des Cieux à ceux qui le souffrent pour continuer ma Passion.       

L’Œuvre est finie
[6].        

 640.7 - Et avec sa fin, avec la descente de l’Esprit-Saint, se conclut le cycle messianique que ma Sagesse a éclairé depuis son aube : la Conception Immaculée de Marie, jusqu’à son couchant : la descente de l’Esprit-Saint.     

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474> Tout le cycle messianique est œuvre de l’Esprit d’Amour pour qui sait, bien voir. Il est donc juste de le commencer avec le mystère de l’Immaculée Conception de l’Épouse de l’Amour et de le conclure avec le sceau du Feu Paraclet sur l’Église du Christ.  

 Les œuvres manifestes de Dieu, de l’Amour de Dieu, prennent fin avec la Pentecôte. Depuis lors continue l’intime, le mystérieux travail de Dieu dans ses fidèles, unis au Nom de Jésus dans l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique, Romaine, et l’Église, c’est-à-dire ce rassemblement des fidèles : pasteurs, brebis et agneaux, peut avancer sans errer, grâce à l’opération spirituelle, continuelle de l’Amour, Théologien des théologiens, Celui qui forme les vrais théologiens, que sont ceux qui sont perdus en Dieu et ont Dieu en eux : la vie de Dieu en eux grâce à la direction de l’Esprit de Dieu qui les conduit, que sont ceux qui sont vraiment "fils de Dieu" selon la pensée de Paul [7].          

 640.8 - Et au terme de l’Œuvre je dois mettre encore une fois la plainte que j’ai mise à la fin de chaque année évangélique, et dans la douleur de voir mépriser mon don, je vous dis : "Vous n’aurez pas autre chose puisque vous n’avez pas su accueillir ce que je vous ai donné". Et je vous dis aussi ce que je vous ai fait dire pour vous rappeler sur le droit chemin l’été passé (21-5-46) [8] : "Vous ne me verrez pas jusqu’à ce que vienne le jour dans lequel vous direz : "Béni Celui qui vient au nom du Seigneur".




L’Œuvre est finie aujourd’hui 27 avril 1947. Viareggio - Via Fratti 113 — Marie Valtorta. Conclusion de l’Œuvre [9], c’est-à-dire de la Pentecôte à l’Assomption de Marie Très Sainte. 1er épisode (3-6-44).


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Fiche mise à jour le 05/06/2022

 



[1] Une Palme (tophah) = 7 cm. Trois palmes équivalent à 20 cm environ.    

[2] « Le jour de la Pentecôte étant venu et le Saint-Esprit étant descendu sur l'assemblée en forme de langues de feu, Marie le reçut, non pas par mesure comme le reçurent les apôtres et les disciples, mais en plénitude (...) Avec cette plénitude universelle de tous ses dons, l'Esprit-Saint répandit dans l'âme de Marie des dispositions et des sentiments semblables à ceux de Jésus-Christ ressuscité. Comme dans l'arbre et dans le fruit attaché à l'arbre, il n'y a qu'une vie continue, qui est répandue dans les deux; de même il n'y eut jamais dans la Mère et dans le Fils qu'une même vie intérieure, qu'un même esprit, qui répandait dans l'un et dans l'autre les mêmes lumières et les mêmes sentiments ». Jean-Jacques Olier (1608-1657), fondateur des sulpiciens dans Vie Intérieure de la Très-Sainte Vierge, Chapitre XIV. Ascension et Pentecôte.        

[3] Zita de Lucques (1218-1278), était fille de laboureurs pauvres et pieux qui l’éduquèrent selon cette simple proposition : "ceci plaît à Dieu, ceci déplaît à Dieu."       
Zita a dix-huit ans entra au service d’une des plus riches familles de Lucques les Fatinelli. Souvent, elle était choisie comme intermédiaire pour transmettre aux mendiants leurs dons. Cela ne lui suffisait pas, car si sa main portait l'aumône, ce n'était pas elle qui donnait de son épargne ou de ses privations. Elle pensa pouvoir faire davantage ; elle avait l’habitude de jeûner pendant le Carême, elle crut que le jeûne de toute l'année ne la fatiguerait pas davantage. Elle s'imposa donc la privation de tout autre aliment qu'un morceau de pain chaque matin et réserva les autres aliments qui lui étaient donnés pour les joindre aux autres aumônes qu'elle était chargée de distribuer au nom de sa maîtresse.   
Elle était la plus exacte, la plus assidue et surtout la plus fidèle dans tous les devoirs de son service. Elle n'avait demandé à sa maîtresse qu'une seule faveur : aller tous les matins dans l'église la plus proche. Elle prélevait le temps de sa prière sur son sommeil et non sur son ouvrage.
Sainte Zita avait un grand amour pour Marie de Magdala et pour Jean de Zébédée, l'Évangéliste. 
Lucques est une ville de Toscane proche de Viareggio. C’est le siège de l’évêché.   

[4] En Sagesse 3, 1-9 et Daniel 12, 3-4.     

[5] Maria Goretti, appelée familièrement Marietta, née le 16 octobre 1890 à Corinaldo en Italie, région montagneuse de la Province d'Ancône, d'une famille de cultivateurs. La pauvreté les pousse à émigrer non loin de là dans les Marais Pontins, encore insalubres. Maria perdit son père très tôt et s'appliqua à aider sa mère à tenir la maison et à élever ses frères et sœurs.
Elle n'avait que douze ans lorsqu’un voisin, âgé de dix-huit ans, nommé Alessandro, se prit de passion pour elle et lui fit des avances de plus en plus pressantes. Marietta résista : "Non, disait-elle à Alessandro, Dieu ne veut pas."          
Le 5 juillet 1902 profitant de l'absence de sa mère, Alessandro s'introduit dans la maison, et lui demande de choisir  : lui céder ou mourir. Maria choisit la mort.        
Blessée de quatorze coups de poignard. Maria mourut le lendemain à l'hôpital où elle avait été transportée d'urgence, après avoir pardonné à son meurtrier.
On parle de miracles qui eurent lieu sur sa tombe. Mais le plus remarquable fut sans aucun doute la conversion d'Alessandro. Celui-ci ne manifesta d'abord aucun remords dans sa prison. Puis, un songe dans lequel il vit sa victime lui offrir une fleur, le bouleversa. Lorsqu'il recouvra la liberté, en 1929, il s'empressa d'aller trouver la mère de Marietta, et obtint son pardon. Fait rare, sinon unique dans l'histoire des saints, il assista à la béatification de sa victime, le 27 avril 1947.  

[6] L’Œuvre est terminée, mais ce n’est pas la fin des “visions” et des “dictées” hors du cycle messianique, déclaré clos après la descente de l’Esprit Saint. C’est pourquoi nous avons ajouté, en complément à l’Œuvre, d’autres écrits pertinents de diverses années, en particulier de 1951. Par conséquent, l’adieu à l’Œuvre, écrit le 28 avril 1947 sur des cahiers manuscrits, qui suit immédiatement cette “dictée”, sera reporté dans les pages suivantes.     

[7] Selon la pensée de Paul exprimée en Romains 8, 1417. Une référence est faite à ce passage dans Les commentaires de l’épître aux romains, Leçon n°1, note 14.   

[8] L’été dernier, précisément le 21 mai 1946, date insérée ici par Maria Valtorta. Elle fait référence à une dictée rapportée dans le volume des Cahiers de 1945 à 1950 à la date citée.          

[9] Conclusion… est le titre inscrit par Maria Valtorta sur la première page d’un nouveau cahier, où elle écrit les derniers chapitres de l’Œuvre (hormis le tout dernier, celui de l’Adieu) dans l’ordre dans lequel nous les rapportons ici. Puisqu’il s’agit de “visions” et de “dictées” écrites aux dates les plus diverses (de 1943 à 1951), nous considérons que Maria Valtorta les a copiées à partir d’anciennes rédactions. On en retrouve en effet certaines dans les volumes Les cahiers de 1943 et Les cahiers de 1944 dans un style moins soigné et de manière parfois incomplète. Nous avons presque toujours reformulé les titres que Maria Valtorta avait attribués à chaque épisode, conformément au critère que nous avons expliqué en EMV 405.12, en note.