Sévère dénonciation, par le Père éternel, des religions parodiées qui rendent
un culte satanique. Exemple du nazisme et des cultes similaires.
Exhortation de Jésus à conquérir des âmes disposées à s’offrir en sacrifice
pour en sauver d’autres.
"Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l'État, ou la forme de
l'État, ou les dépositaires, ou toute autre valeur fondamentale de la
communauté humaine (toutes choses qui tiennent dans l'ordre terrestre une place
nécessaire et honorable), quiconque prend ces notions pour les retirer de
cette échelle de valeurs, mêmes religieuses, et les divinise par un culte
idolâtre, celui-là renverse et fausse l’ordre de choses créé et ordonné par
Dieu : celui-là est loin de la vraie foi en Dieu et d'une conception de la
vie répondant à cette foi."
Pie XI, extrait de l’encyclique
Mit
Brennender Sorge,
10 mars 1937.
"À sa place (la place de la véritable religion), ils ont fabriqué de
toutes pièces un Christianisme à leur image, une nouvelle idole dans laquelle
il n'y a point de salut, qui n'est opposée ni aux passions des désirs
charnels, ni à l'avidité fascinante de l’or et de l’argent, ni à l'orgueil de
la vie; une nouvelle
religion sans âme, ou une âme sans religion, un masque du Christianisme mort,
privé de l'esprit du Christ.
Et ils ont osé proclamer que le Christianisme a failli à sa mission !".
Pie XII, extrait du message radiodiffusé, 24 décembre 1941.
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Isaïe 44, 9-11.17.18.25.
29> Jésus
(en fait, le Père Éternel) dit :
"Je continue à te parler, à toi, ô homme, et à tous ceux qui, comme toi, sont des adorateurs
d’idoles mensongères.
Il n’est nul besoin d’avoir un Olympe comme
les païens de l’Antiquité pour être idolâtre. Il n’est nul besoin d’avoir des
fétiches comme les tribus sauvages pour être idolâtre. Vous l’êtes, vous
aussi, et de l’idolâtrie la plus ignominieuse, vous qui adorez ce qui n’est
pas vrai, qui rendez un culte qui n’est que le culte de Satan, qui adorez
l’Être des ténèbres parce que vous refusez d’incliner votre tête pervertie et
votre cœur, qui l’est encore plus, devant celui qui fut l’inspirateur et la
lumière surnaturelle de milliards d’hommes qui, pourtant, ont également fait partie des grands de
la Terre, de cette grandeur véritable qui est celle du génie et du cœur. Eux,
ils ont trouvé dans cette lumière et dans cet inspirateur le levier de leur
élévation, le réconfort de leur vie et la joie de leur éternité; d’ailleurs,
en dépit de sa constante évolution, le monde les considère avec admiration et
regrette de ne plus posséder cette foi qui a fait de ces hommes des grands
sur cette terre et au-delà.
Quant à vous, l’essence de votre âme n’est
nourrie ni de vraie foi, ni de la connaissance de ces vérités éternelles qui
font la vie de l’esprit. Vous, vous avez commis envers vous-mêmes le crime de
refuser d’accorder, à l’âme créée par Dieu, la connaissance de la Loi et de
la doctrine données par Dieu. Vous traitez la religion de superstition et
vous qualifiez les formes qu’elle prend d’inutiles. Vous vous estimez
supérieurs même à ces grands hommes que, d’après vous, l’on ne peut absoudre
de la faute de s’être abaissés au niveau d’une bonne femme ignorante pour
avoir respecté l’Église et obéi à la religion, qui n’est rien d’autre que la
substance de ma Loi et de l’enseignement de mon Fils: un culte véritable
rendu à un vrai Dieu dont les manifestations sont indéniables et certaines.
Toutes : du Sinaï au Calvaire, du Sépulcre ouvert par la force divine
aux milliers de miracles qui, au cours des siècles, ont inscrit dans le temps
les gloires de Dieu et la vérité de son Être comme des paroles de feu — d’un
feu qui ne s’éteint pas —, ou d’or fondu — d’or qui ne se ternit pas.
Or, comme des fous qui jettent à la mer de superbes joyaux pour recueillir
précieusement des cailloux ou qui repoussent de saines nourritures pour
s’emplir la bouche d’ordures, vous remplacez la religion de Dieu, que vous
refusez sous prétexte que vous la trouvez indignes de vous — pseudo-surhommes
à l’esprit devenu démoniaque, au cœur corrompu, à l’esprit vendu, vous qui
êtes à votre tour des idoles aux pieds d’argile —, vous remplacez
la religion que vous refusez pour accueillir le culte démoniaque
de l’Ennemi de Dieu, et vous en devenez ministres ou prosélytes.
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30> Les
voilà, ceux qui critiquent mon culte, jugent mon Église, accusent mes
ministres et se moquent de mes fidèles ! Ils ne voient dans le culte,
dans l’Église, dans les prêtres, dans les fidèles, qu’un objet de dénigrement
et un moyen d’avilissement. Et puis, eux qui prétendent que l’homme n’a
besoin ni de culte ni de prêtres, ni de cérémonies pour correspondre avec
Dieu, les voilà qui se créent un propre culte ténébreux, occulte, chargé de
tout un cérémonial secret qui ne soutient même pas la comparaison avec le
mien, qui est clair, lumineux. Ils s’en établissent des ministres, des hommes
corrompus et dévoyés autant qu'eux sinon plus, en qui ils croient avec une
foi aveugle, et ils prennent les bouffonneries de ces possédés de Satan pour
des voix ou des manifestations de Dieu. Ils deviennent prosélytes (et bien
pratiquants !) de cette obscène parodie de culte, de ce mensonge
sacrilège.
Les voilà, les voilà ceux qui remplacent le
Dieu saint, le Sauveur éternel, par l’Être et les êtres de l’enfer !
Devant eux, ils baissent la tête et courbent le dos jusqu’à terre, eux qui
considèrent comme indignes d’un homme de s’incliner devant un véritable autel
sur lequel ma gloire triomphe, où la miséricorde de mon Fils resplendit, dont
l’amour vivifiant de l’Esprit s’écoule. La vie et la grâce y jaillissent d’un
tabernacle et d’un confessionnal, non pas parce qu’un homme, fait tout comme
vous de matière mais rendu dépositaire du pouvoir divin du sacerdoce, vous
donne une petite hostie de pain sans levain ou prononce une formule faite de
mots humains, mais parce que ce petit morceau de pain est mon Fils, vivant et
vrai comme il l’est au ciel à ma droite avec son Corps et son Sang, son Âme
et sa Divinité; et ces mots font pleuvoir son sang - qui a souffert d’avoir
été versé pour tant d’entre vous, qui le méprisez de manière sacrilège -,
comme il pleuvait du haut de sa croix sur laquelle mon amour pour vous
l’avait cloué.
Mais ne réfléchissez-vous donc pas à votre incohérence, vous, les
pseudo-surhommes, faits de boue putride qu’aucune lumière ne vient
élever ? Vous rejetez Dieu et vous adorez les idoles d’un culte obscène
et démoniaque. Vous prétendez vénérer le Christ et croire en lui, puis vous
fuyez de son Église catholique, apostolique et romaine; vous mettez une croix
là où vous appelez l’Ennemi de la croix et du saint Crucifié. C’est comme si vous crachiez sur cette croix ce que
vous régurgitez de l’intérieur.
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31> D’ailleurs, que voyez-vous de grand chez vos prêtres de
farce ? Sur la foule des miens, nombreux sont ceux à qui vous pouvez
faire des reproches. Mais qu’en est-il des vôtres ? Lequel est
"saint" ? Ils mènent une vie luxurieuse, ils font la
fête, ils sont menteurs, les meilleurs sont orgueilleux, les pires,
délinquants et féroces. Il n’y a rien de mieux chez les vôtres. D’ailleurs,
vous ne pourriez en avoir de meilleurs, car s’ils étaient honnêtes, chastes,
sincères, mortifiés et humbles, ce seraient des "saints ",
autrement dit des fils de Dieu, et Satan ne pourrait les posséder pour les
dévoyer et pour vous dévoyer par leur entremise.
Après avoir passé tant d’années à prétendre être des "instruments"
dans la main de Dieu, ont-ils amélioré leur nature ? Non. Ils restent ce
qu’ils étaient, si encore ils n’empirent pas. Or ne savez-vous pas que le
contact de Dieu est une métamorphose continuelle qui transforme l’homme en
ange ? Quel bon conseil, confirmé ensuite par les faits, vous
ont-ils jamais donné ? Aucun. Sur le même sujet, ils disent à l’un et à
l’autre des choses différentes, car ils sont l’attrape-nigaud de Satan et parce
que moi, la Puissance suprême, je confonds leurs idées de ténèbres par la
splendeur insoutenable de ma lumière qu’ils ne peuvent supporter. C’est pour
mes enfants seulement que cette lumière est joie et guide. Cette lumière au
cœur, ils survolent les temps futurs, non en vertu d’un pouvoir personnel
mais par son pouvoir. Ils voient avec les yeux de l’esprit, ils entendent
avec les oreilles de l’esprit, ce qui est le secret de Dieu, l’avenir de
l’homme; ils disent en mon nom ce que l’Esprit leur met sur les lèvres, des
lèvres purifiées par l’amour et sanctifiées par la souffrance.
Quant aux devins, aux astrologues, aux savants et aux docteurs du satanisme
que mon Fils condamne, je les couvre d’une double et même triple condamnation
: en effet votre religion satanique, qui se camoufle sous des noms pompeux
mais n’est rien d’autre que du satanisme, est péché contre moi, le Seigneur
du ciel et de la terre devant qui il n’y a pas d’autre Dieu; elle est offense
au Fils, Sauveur de l’homme abîmé par Satan; elle est offense à l’Esprit
Saint par votre négation de la Vérité connue. Sachez donc que je tourne en
folie votre science occulte et que je prépare les rigueurs d’un avenir
éternel pour vous, qui n’avez pas voulu le ciel mais l’enfer pour royaume et
qui avez voulu prendre Satan, et non Dieu, pour grand-prêtre, roi et
père".
Je croyais que c’était Jésus qui parlait, mais c’est le Père éternel. Dieu
veuille que sa parole pénètre dans le cœur de qui vous savez.
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32> Puis, Jésus me dit :
"Maria, tu t’es offerte sans réserves, n’est-ce pas ? Tu veux que les âmes soient sauvées par ton
sacrifice, n’est-ce pas ?
Ne penses-tu donc pas que je t’ai dit que
l’on conquiert les âmes avec la même arme que celle par laquelle elles se
perdent ? L’impureté par la pureté, l’orgueil par l’humilité, l’égoïsme
par la charité, l’athéisme et la tiédeur par la foi, et le désespoir, et
le désespoir, et le désespoir, Maria,
par vos angoisses qui pourtant ne désespèrent pas mais appellent Dieu,
regardent Dieu, cherchent Dieu, espèrent en Dieu même quand Satan, le monde, les
hommes et les événements
semblent conspirer contre l’espérance et se liguent pour dire : "Il
n’y a pas de Dieu.".
En cette heure satanique que vous vivez, une seule arme devrait être utilisée
pour vaincre la guerre que Satan mène contre les créatures de Dieu, et il
suffirait d’invoquer mon Nom avec une foi, une espérance et une charité intrépides, pressantes et enflammées pour voir s’enfuir les armées
de Satan et se briser leurs instruments que je maudis. Or qu’est-ce qui monte
de la terre vers le ciel — et jamais autant que lorsque pèse sur vous
l’horrible fléau des armées homicides, meurtrières, que Satan a enseignées
aux hommes et que l’homme a acceptées en mettant de côté la loi qui dit:
"Aimez-vous comme des frères" pour la remplacer par celle-ci: "Haïssez-vous
comme moi, Satan, je vous hais" ? Un chœur de blasphèmes, de malédictions, de
dérisions de Dieu, de désespoirs. Bien souvent la mort provient en vous
immobilisant avec ces mots sur les lèvres, elle vous les y cloue et vous
porte ainsi devant ma face, marqués par une ultime
faute.
Maria, tu t’étonnes que, après t’avoir tellement aidée, je te laisse
maintenant ressentir tant d’angoisse. Je t’ai aidée à l’heure de la mort de
la personne que tu aimais; je t’ai donné mon cœur pour oreiller ainsi que ma
bouche pour musique et pour linge qui a essuyé tes larmes par son baiser et
adouci ta peine par son chant d’amour. Mais il s’agissait de ta peine
à toi. Tu me l’avais déjà offerte et je l’avais déjà utilisée. Le moment
était venu d’en être récompensée. Le moment était
venu que je te soutienne, parce que tu dois me servir encore, ma petite
"voix" ; je ne veux pas que tu meures avant le moment où ta voix
pourra se taire, après avoir suffisamment donné de ma parole aux hommes, qui
ne le méritent pas.
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33> De nos
jours, beaucoup trop nombreux sont ceux qui se damnent en désespérant et
meurent en m’accusant. Même sur la bouche des enfants qui, aujourd’hui,
savent mieux blasphémer que prier, maudire que sourire; et ils sauront mieux
blasphémer et maudire, comme de pauvres fleurs salies par le monde et par son
roi infernal alors qu’ils ne sont qu’un bouton encore fermé.
Il faut qu’il y ait des victimes qui aiment, souffrent, prient, bénissent et
espèrent pour éviter qu’à vos trop nombreuses malédictions ne doive en
répondre une qui vous extermine sans vous donner le temps de m’invoquer, pour
éviter qu’à vos trop nombreuses accusations contre moi je ne doive tourner
contre vous ma terrible accusation; pour éviter qu’à vos trop nombreux
désespoirs, qui sont les fruits naturels de votre vie de bâtards, ne doive
correspondre finalement ma condamnation éternelle sur vous, mes sauvés qui
m’outragez, moi et le Salut que je vous ai donné. Je le répète: il faut des victimes qui souffrent,
encore et encore, de ce qui fait souffrir leurs frères, des victimes dont
l’amour, la souffrance, la prière, la louange, l’espérance purifient les
lieux dans lesquels on va au-devant de la Mort, non pas celle de la chair
mais celle de l’esprit.
Je te le dis: si le nombre de ceux qui
aiment, croient et espèrent, égalait celui de ceux qui n’aiment pas, ne
croient pas et n’espèrent pas, et si, aux moments tragiques où un massacre
vous menace, les invocations égalaient, en nombre, les imprécations — note
que je ne parle pas d’un nombre supérieur, mais égal —, tous les pièges et
les volontés des démons et des Hommes-démons seraient détruits et tomberaient
sans vous faire plus de mal, comme un vautour dont les ailes sont brisées et
qui ne peut plus attraper de proie.
Courage ! Sois quelqu’un qui sauve !
Sauver ! C’est pour sauver l’humanité que j’ai quitté le ciel. C’est
pour sauver l’humanité que j’ai connu la mort.
Sauver ! C’est la plus grande des charités. Ce fut la charité du Christ.
C’est celle qui fait de vous, âmes salvatrices, celles qui sont le plus à
l’égal du Christ.
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