L'œuvre de Maria Valtorta |
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des "Cahiers" >> Sommaire de juillet
1943. Traduction automatique de cette fiche : Catéchèse
du vendredi 2 juillet 1943. Le sommet de la douleur atteinte par Marie Les secrets de Marie La nécessité de la souffrance de Marie Marie
est Co-Rédemptrice Origine de l'infirmité de la
femme courbée de l’Évangile Auteur et but spirituel des infirmités Remède contre l'infirmité Les
infirmités de l’esprit Liberté et force que ressent
Maria Valtorta dans son infirmité. |
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[1] Maria Valtorta venait sans doute de recevoir la communion
(Eucharistie).
[2] Cf. la prophétie du vieillard Syméon en Luc 2,34-35 et en EMV 32.5.
[4] Saint Louis-Marie Grignon de Montfort a eu la grâce de recevoir la
révélation sur un des secrets de la Sainte Vierge Marie qu'il a dévoilé dans
son œuvre Le
Secret de Marie.
L’introduction de l’œuvre explique
en quoi il consiste.
[5] Saint-Paul apôtre aussi a parlé de ses souffrances dans les mêmes
termes dans sa Lettre aux Colossiens. Cf. Colossiens 1, 24
[6] Lire également à ce sujet dans la dictée du 15 septembre
[8] Le père Migliorini.
[9] Cf. Luc 13, 11 et EMV 337.
[10] Maria Valtorta souffrait de multiples maladies et est
restée infirme jusqu'à la fin de sa vie. Voir le résumé
de son Autobiographie
Elle y écrit entre autres (page 295) :
«Pour une âme généreuse (aimante), le sacrifice n'est plus un effort et la
souffrance n'est plus un tourment… Et même une seule chose préoccupe une âme
généreuse : elle a peur de ne point souffrir. C'est là que réside le
renversement des valeurs. … Une âme généreuse est tout à fait incapable de
souffrir de la façon amère dont souffrent ceux qui ne sont pas généreux.
La souffrance demeure, parce que cela est inévitable, mais elle ne se présente
plus comme un ennemi : elle est une amie qui nous aide à monter de plus en plus
haut. La seule pensée que cette souffrance nous rend semblables au Christ et
fait de nous des continuateurs de son œuvre, nous donne une soif insatiable de
souffrances toujours nouvelles et plus profondes… Cela fait des années que je
vis de la sorte et que j'ai trouvé la paix de l'âme».
Elle écrit par ailleurs (page 382) :
«Bénie soit la souffrance qui me rend semblable à toi ! Bénie soit la croix qui
m'élève jusqu'au ciel ! Béni soit l'amour qui donne des ailes à ma souffrance !
Béni soit le jour où ton regard m'a accrochée ! Et plus bienheureux encore soit
le moment où à toi je me suis consacrée !»