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Texte original

Accueil >> Plan du site >> Index des "Cahiers" >> Sommaire de janvier 1944

Traduction automatique de cette fiche :
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Catéchèse du dimanche 9 janvier 1944.


Sévère dénonciation, par le Père éternel, des religions parodiées qui rendent un culte satanique. Exemple du nazisme et des cultes similaires.

Exhortation de Jésus à conquérir des âmes disposées à s’offrir en sacrifice pour en sauver d’autres.

 












"Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l'État, ou la forme de l'État, ou les dépositaires, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine (toutes choses qui tiennent dans l'ordre terrestre une place nécessaire et honorable), quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, mêmes religieuses, et les divinise par un culte idolâtre, celui-là renverse et fausse l’ordre de choses créé et ordonné par Dieu : celui-là est loin de la vraie foi en Dieu et d'une conception de la vie répondant à cette foi."
Pie XI, extrait de l’encyclique
Mit Brennender Sorge,
10 mars 1937.


"À sa place (la place de la véritable religion), ils ont fabriqué de toutes pièces un Christianisme à leur image, une nouvelle idole dans laquelle il n'y a point de salut, qui n'est opposée ni aux passions des désirs charnels, ni à l'avidité fascinante de l’or et de l’argent, ni à l'orgueil de la vie[1]; une nouvelle religion sans âme, ou une âme sans religion, un masque du Christianisme mort, privé de l'esprit du Christ.
Et ils ont osé proclamer que le Christianisme a failli à sa mission !".
Pie XII, extrait du message radiodiffusé,
24 décembre 1941.





 Isaïe 44, 9-11.17.18.25.

29> Jésus (en fait, le Père Éternel)[2] dit :     

"Je continue à te parler, à toi, ô homme
[3], et à tous ceux qui, comme toi, sont des adorateurs d’idoles mensongères. 

 Il n’est nul besoin d’avoir un Olympe comme les païens de l’Antiquité pour être idolâtre. Il n’est nul besoin d’avoir des fétiches comme les tribus sauvages pour être idolâtre. Vous l’êtes, vous aussi, et de l’idolâtrie la plus ignominieuse, vous qui adorez ce qui n’est pas vrai, qui rendez un culte qui n’est que le culte de Satan, qui adorez l’Être des ténèbres parce que vous refusez d’incliner votre tête pervertie et votre cœur, qui l’est encore plus, devant celui qui fut l’inspirateur et la lumière surnaturelle de milliards d’hommes
[4] qui, pourtant, ont également fait partie des grands de la Terre, de cette grandeur véritable qui est celle du génie et du cœur. Eux, ils ont trouvé dans cette lumière et dans cet inspirateur le levier de leur élévation, le réconfort de leur vie et la joie de leur éternité; d’ailleurs, en dépit de sa constante évolution, le monde les considère avec admiration et regrette de ne plus posséder cette foi qui a fait de ces hommes des grands sur cette terre et au-delà.

 Quant à vous, l’essence de votre âme n’est nourrie ni de vraie foi, ni de la connaissance de ces vérités éternelles qui font la vie de l’esprit. Vous, vous avez commis envers vous-mêmes le crime de refuser d’accorder, à l’âme créée par Dieu, la connaissance de la Loi et de la doctrine données par Dieu. Vous traitez la religion de superstition et vous qualifiez les formes qu’elle prend d’inutiles. Vous vous estimez supérieurs même à ces grands hommes que, d’après vous, l’on ne peut absoudre de la faute de s’être abaissés au niveau d’une bonne femme ignorante pour avoir respecté l’Église et obéi à la religion, qui n’est rien d’autre que la substance de ma Loi et de l’enseignement de mon Fils: un culte véritable rendu à un vrai Dieu dont les manifestations sont indéniables et certaines. Toutes : du Sinaï au Calvaire, du Sépulcre ouvert par la force divine aux milliers de miracles qui, au cours des siècles, ont inscrit dans le temps les gloires de Dieu et la vérité de son Être comme des paroles de feu — d’un feu qui ne s’éteint pas —, ou d’or fondu — d’or qui ne se ternit pas.          

Or, comme des fous qui jettent à la mer de superbes joyaux pour recueillir précieusement des cailloux ou qui repoussent de saines nourritures pour s’emplir la bouche d’ordures, vous remplacez la religion de Dieu, que vous refusez sous prétexte que vous la trouvez indignes de vous — pseudo-surhommes à l’esprit devenu démoniaque, au cœur corrompu, à l’esprit vendu, vous qui êtes à votre tour des idoles aux pieds d’argile
[5] —, vous remplacez  la  religion que vous  refusez pour accueillir le culte démoniaque de l’Ennemi de Dieu, et vous en devenez ministres ou prosélytes.        

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30>  Les voilà, ceux qui critiquent mon culte, jugent mon Église, accusent mes ministres et se moquent de mes fidèles ! Ils ne voient dans le culte, dans l’Église, dans les prêtres, dans les fidèles, qu’un objet de dénigrement et un moyen d’avilissement. Et puis, eux qui prétendent que l’homme n’a besoin ni de culte ni de prêtres, ni de cérémonies pour correspondre avec Dieu, les voilà qui se créent un propre culte ténébreux, occulte, chargé de tout un cérémonial secret qui ne soutient même pas la comparaison avec le mien, qui est clair, lumineux. Ils s’en établissent des ministres, des hommes corrompus et dévoyés autant qu'eux sinon plus, en qui ils croient avec une foi aveugle, et ils prennent les bouffonneries de ces possédés de Satan pour des voix ou des manifestations de Dieu. Ils deviennent prosélytes (et bien pratiquants !) de cette obscène parodie de culte, de ce mensonge sacrilège[6]. 

 Les voilà, les voilà ceux qui remplacent le Dieu saint, le Sauveur éternel, par l’Être et les êtres de l’enfer ! Devant eux, ils baissent la tête et courbent le dos jusqu’à terre, eux qui considèrent comme indignes d’un homme de s’incliner devant un véritable autel sur lequel ma gloire triomphe, où la miséricorde de mon Fils resplendit, dont l’amour vivifiant de l’Esprit s’écoule. La vie et la grâce y jaillissent d’un tabernacle et d’un confessionnal, non pas parce qu’un homme, fait tout comme vous de matière mais rendu dépositaire du pouvoir divin du sacerdoce, vous donne une petite hostie de pain sans levain ou prononce une formule faite de mots humains, mais parce que ce petit morceau de pain est mon Fils, vivant et vrai comme il l’est au ciel à ma droite avec son Corps et son Sang, son Âme et sa Divinité; et ces mots font pleuvoir son sang - qui a souffert d’avoir été versé pour tant d’entre vous, qui le méprisez de manière sacrilège -, comme il pleuvait du haut de sa croix sur laquelle mon amour pour vous l’avait cloué.         

Mais ne réfléchissez-vous donc pas à votre incohérence, vous, les pseudo-surhommes, faits de boue putride qu’aucune lumière ne vient élever ? Vous rejetez Dieu et vous adorez les idoles d’un culte obscène et démoniaque. Vous prétendez vénérer le Christ et croire en lui, puis vous fuyez de son Église catholique, apostolique et romaine; vous mettez une croix là où vous appelez l’Ennemi de la croix et du saint Crucifié
[7]. C’est comme si vous crachiez sur cette croix ce que vous régurgitez de l’intérieur.    

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31> D’ailleurs, que voyez-vous de grand chez vos prêtres de farce ? Sur la foule des miens, nombreux sont ceux à qui vous pouvez faire des reproches. Mais qu’en est-il des vôtres ? Lequel est "saint" ? Ils mènent une vie luxurieuse, ils font la fête, ils sont menteurs, les meilleurs sont orgueilleux, les pires, délinquants et féroces. Il n’y a rien de mieux chez les vôtres. D’ailleurs, vous ne pourriez en avoir de meilleurs, car s’ils étaient honnêtes, chastes, sincères, mortifiés et humbles, ce seraient des "saints ", autrement dit des fils de Dieu, et Satan ne pourrait les posséder pour les dévoyer et pour vous dévoyer par leur entremise.         

Après avoir passé tant d’années à prétendre être des "instruments" dans la main de Dieu, ont-ils amélioré leur nature ? Non. Ils restent ce qu’ils étaient, si encore ils n’empirent pas. Or ne savez-vous pas que le contact de Dieu est une métamorphose continuelle qui transforme l’homme en ange ? Quel bon conseil, confirmé ensuite par les faits, vous ont-ils jamais donné ? Aucun. Sur le même sujet, ils disent à l’un et à l’autre des choses différentes, car ils sont l’attrape-nigaud de Satan et parce que moi, la Puissance suprême, je confonds leurs idées de ténèbres par la splendeur insoutenable de ma lumière qu’ils ne peuvent supporter. C’est pour mes enfants seulement que cette lumière est joie et guide. Cette lumière au cœur, ils survolent les temps futurs, non en vertu d’un pouvoir personnel mais par son pouvoir. Ils voient avec les yeux de l’esprit, ils entendent avec les oreilles de l’esprit, ce qui est le secret de Dieu, l’avenir de l’homme; ils disent en mon nom ce que l’Esprit leur met sur les lèvres, des lèvres purifiées par l’amour et sanctifiées par la souffrance.       

Quant aux devins, aux astrologues, aux savants et aux docteurs du satanisme que mon Fils condamne, je les couvre d’une double et même triple condamnation : en effet votre religion satanique, qui se camoufle sous des noms pompeux mais n’est rien d’autre que du satanisme, est péché contre moi, le Seigneur du ciel et de la terre devant qui il n’y a pas d’autre Dieu; elle est offense au Fils, Sauveur de l’homme abîmé par Satan; elle est offense à l’Esprit Saint par votre négation de la Vérité connue. Sachez donc que je tourne en folie votre science occulte et que je prépare les rigueurs d’un avenir éternel pour vous, qui n’avez pas voulu le ciel mais l’enfer pour royaume et qui avez voulu prendre Satan, et non Dieu, pour grand-prêtre, roi et père".          

Je croyais que c’était Jésus qui parlait, mais c’est le Père éternel. Dieu veuille que sa parole pénètre dans le cœur de qui vous savez
[8].  

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32> Puis, Jésus me dit :

"Maria, tu t’es offerte sans réserves, n’est-ce pas
[9] ? Tu veux que les âmes soient sauvées par ton sacrifice, n’est-ce pas ?        

 Ne penses-tu donc pas que je t’ai dit
[10] que l’on conquiert les âmes avec la même arme que celle par laquelle elles se perdent ? L’impureté par la pureté, l’orgueil par l’humilité, l’égoïsme par la charité, l’athéisme et la tiédeur par la foi, et le désespoir, et le désespoir, et le désespoir, Maria, par vos angoisses qui pourtant ne désespèrent pas mais appellent Dieu, regardent Dieu, cherchent Dieu, espèrent en Dieu même quand Satan, le monde, les hommes et les événements semblent conspirer contre l’espérance et se liguent pour dire : "Il n’y a pas de Dieu[11].".      

 En cette heure satanique
[12] que vous vivez, une seule arme devrait être utilisée pour vaincre la guerre que Satan mène contre les créatures de Dieu, et il suffirait d’invoquer mon Nom[13] avec une foi, une espérance et une charité intrépides[14], pressantes et enflammées pour voir s’enfuir les armées de Satan et se briser leurs instruments que je maudis. Or qu’est-ce qui monte de la terre vers le ciel — et jamais autant que lorsque pèse sur vous l’horrible fléau des armées homicides, meurtrières, que Satan a enseignées aux hommes et que l’homme a acceptées en mettant de côté la loi qui dit: "Aimez-vous comme des frères[15]" pour la remplacer par celle-ci: "Haïssez-vous comme moi, Satan, je vous hais[16]" ? Un chœur de blasphèmes, de malédictions, de dérisions de Dieu, de désespoirs. Bien souvent la mort provient en vous immobilisant avec ces mots sur les lèvres, elle vous les y cloue et vous porte ainsi devant ma face, marqués par une ultime faute.        

Maria, tu t’étonnes que, après t’avoir tellement aidée, je te laisse maintenant ressentir tant d’angoisse. Je t’ai aidée à l’heure de la mort de la personne que tu aimais
[17]; je t’ai donné mon cœur pour oreiller ainsi que ma bouche pour musique et pour linge qui a essuyé tes larmes par son baiser et adouci ta peine par son chant d’amour. Mais il s’agissait de ta peine à toi. Tu me l’avais déjà offerte et je l’avais déjà utilisée. Le moment était venu d’en être récompensée. Le moment était venu que je te soutienne, parce que tu dois me servir encore, ma petite "voix" ; je ne veux pas que tu meures avant le moment où ta voix pourra se taire, après avoir suffisamment donné de ma parole aux hommes, qui ne le méritent pas.        

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33>  De nos jours, beaucoup trop nombreux sont ceux qui se damnent en désespérant et meurent en m’accusant. Même sur la bouche des enfants qui, aujourd’hui, savent mieux blasphémer que prier, maudire que sourire; et ils sauront mieux blasphémer et maudire, comme de pauvres fleurs salies par le monde et par son roi infernal alors qu’ils ne sont qu’un bouton encore fermé.  

Il faut qu’il y ait des victimes qui aiment, souffrent, prient, bénissent et espèrent pour éviter qu’à vos trop nombreuses malédictions ne doive en répondre une qui vous extermine sans vous donner le temps de m’invoquer, pour éviter qu’à vos trop nombreuses accusations contre moi je ne doive tourner contre vous ma terrible accusation; pour éviter qu’à vos trop nombreux désespoirs, qui sont les fruits naturels de votre vie de bâtards, ne doive correspondre finalement ma condamnation éternelle sur vous, mes sauvés qui m’outragez, moi et le Salut que je vous ai donné
[18]. Je le répète: il faut des victimes qui souffrent, encore et encore, de ce qui fait souffrir leurs frères, des victimes dont l’amour, la souffrance, la prière, la louange, l’espérance purifient les lieux dans lesquels on va au-devant de la Mort, non pas celle de la chair mais celle de l’esprit.     

 Je te le dis: si le nombre de ceux qui aiment, croient et espèrent, égalait celui de ceux qui n’aiment pas, ne croient pas et n’espèrent pas, et si, aux moments tragiques où un massacre vous menace, les invocations égalaient, en nombre, les imprécations — note que je ne parle pas d’un nombre supérieur, mais égal —, tous les pièges et les volontés des démons et des Hommes-démons seraient détruits et tomberaient sans vous faire plus de mal, comme un vautour dont les ailes sont brisées et qui ne peut plus attraper de proie.

Courage ! Sois quelqu’un qui sauve !

Sauver ! C’est pour sauver l’humanité que j’ai quitté le ciel. C’est pour sauver l’humanité que j’ai connu la mort.   

Sauver ! C’est la plus grande des charités. Ce fut la charité du Christ. C’est celle qui fait de vous, âmes salvatrices, celles qui sont le plus à l’égal du Christ.

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Je vous bénis, vous toutes qui, en sauvant, m’êtes des sœurs. Je te bénis. Je te bénis, toi à qui, pour te rendre heureuse d’un bonheur insondable et éternel, j'ai donné d’être quelqu’un qui sauve.       

Va en paix. Reste en paix. Je suis avec toi, toujours".        

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Fiche mise à jour le 23/11/2019.

 



[1] La triple concupiscence de la chair, de l’argent et de l’orgueil.

[2] En réalité, il s’agit du Père Éternel, comme cela est précisé à la fin de la catéchèse.

[3] Comme dans la catéchèse du 7 janvier 1944.

[4] Pie XII, dans la première encyclique de son pontificat (Summi Pontificatus

, 20 octobre 1939) dénonçait le rejet des lois divines : "Parmi les multiples erreurs qui jaillissent de la source empoisonnée de l’agnosticisme religieux et moral, écrit le Saint-Père, il en est deux, sur lesquelles Nous voulons attirer votre attention […] La première de ces pernicieuses erreurs, aujourd’hui largement répandue, est l’oubli de cette loi de solidarité humaine et de charité […] l’autre est l’erreur contenue dans les conceptions qui n’hésitent pas à délier l’autorité civile de toute espèce de dépendance à l’égard de l’Être suprême".

[5] Cf. le colosse aux pieds d’argile de Daniel 2, 31-36.

[6] Certains éléments évoqués ci-après, de même que d’autres catéchèses, notamment celle du 17 janvier 1944, page 75, laissent penser que Dieu dénonce ici le cérémonial nazi qui s’érigeait en contre-religion.

[7] Sans doute une allusion à la croix gammée.

[8] À qui pense-t-elle ? Le régime fasciste italien était en décomposition à cette époque, mais il défigurait plus qu’il ne parodiait le christianisme. Il s’agit sans doute d’Hitler dont on apprend un peu plus tard, qu’il avait prononcé un discours promettant d’instaurer un nouveau culte après sa victoire.

[9] Voir son Acte d'offrande en victime à la Justice divine et à l'Amour prononcé le vendredi 12 juin 1931, fête du Sacré-Cœur de Jésus. Elle raconte elle-même sa démarche dans son Autobiographie et au cours d’une catéchèse du 10 février 1946, page 182. C’est à cette époque que Jésus se révèle à Sœur Faustine et lui demande de généraliser la dévotion à la Miséricorde divine (22 février 1931).

[10] Dans la catéchèse du 18 juillet 1943.

[11] Psaume 13 (hébreu 14), 1 - Psaume 52 (hébreu 53), 2.

[12] La seconde guerre mondiale. La "solution finale" a été mise en route depuis deux ans et la bataille de Stalingrad se termine à peine. En Italie, à cette époque, la bataille du Monte-Cassino vient de commencer et le comte Ciano, gendre de Mussolini va bientôt être fusillé pour haute-trahison.

[13] Le Saint Nom de Jésus est fêté début janvier, huit jours après Noël.

[14] Les trois vertus théologales, appelées ainsi car elles ont Dieu pour objet. Quatre autres vertus sont dites cardinales (= principales).

[15] Cf. 1 Jean 3, 11-22 et 1 Jean 4, 11-16.

[16] C’est l’époque où l’antisémitisme culmine dans la Shoah et où le stalinisme s’apprête à soumettre la moitié de l’Europe (accords de Yalta, février 1945).

[17] Peut-être s’agit-il de la mère de l’écrivain, Iside Fioravanzi, décédée le 4 octobre 1943. Voir les écrits et les dictées de ces jours dans "Les cahiers de 1943".

[18]   Cf. Hébreux 10, 29.