L'œuvre
de Maria Valtorta |
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novembre 1943 Traduction automatique de cette fiche : Catéchèse du mardi 2 novembre 1943 [1] Première
impression : sensation de calme dans la prière Deuxième
impression : persuasion de la mauvaise tournure des choses Troisième
impression : soulagement en pensant que le cauchemar d’un bombardement aérien
est passé Quatrième et dernière impression : reconnaissance à
l'égard de son confesseur. |
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429> Je reprends aujourd’hui, le 2 novembre, parce qu’hier, entre
les gens qui sont venus et... une visite peu agréable des anglais
[2], je n’ai pas pu continuer
à écrire. |
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431> Pendant ces jours où vous étiez absent, j’avais toujours le
cœur en suspens dans la crainte de quelque accident qui me frapperait, moi en
particulier, ou d’un accident général. Je sais par expérience qu’il est
difficile d’avoir les médecins et les prêtres dans les moments où leur
présence est le plus nécessaire et désirée. C’est pourquoi je me désolais que
vous fussiez loin, parce qu’il n’y a que vous qui pensiez à moi. |
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[1] Le 2 novembre est le jour des morts.
[2] Le premier bombardement sur Viareggio, survenu le soir du 1er novembre
1943. Les bombardements ne touchaient, jusqu’ici, que le port de la Spezia tout proche. Maria Valtorta en parle dans la
catéchèse du 5 juin 1943.
[3] Elle s’adresse au père Migliorini.
[4] Il s’agit de la lettre reçue de son cousin Giuseppe Belfanti. Voir le texte du 1er novembre.
[5] Durant des exercices militaires qui se déroulaient sur les Alpes Apuanes, un projectile qui devait finir en mer était tombé
sur la Place Mazzini, fauchant cinq personnes.