L'œuvre
de Maria Valtorta |
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septembre 1943. Traduction automatique de
cette fiche : Catéchèse du vendredi 3 septembre 1943. |
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271> Jésus dit : |
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Car, je le répète, l’amitié avec Marie est
une source de perfection parce qu’elle inspire et transmet à l’âme les vertus
de l’Amie élue, que Dieu n’a pas dédaignées et qu’il vous a accordées comme
couronnement de l’œuvre rédemptrice de son Fils. Moi, le Christ, je vous ai
sauvés par la douleur et le sang; Marie, elle, par la douleur et les pleurs [4],
et elle voudrait vous sauver par son amour et son sourire." |
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[2] Pour la compréhension de ce
rapport entre la Vierge Marie et la sainte Trinité, voir la fiche Trinité.
[3] Pour la compréhension de cette
affirmation, se reporter à :
- Saint Alphonse de Liguori, docteur de l’Église
(1696-1787) : "De Marie nous avons reçu Jésus-Christ, la source de
tout bien […] À partir de la naissance de Jésus-Christ, et cela en vertu d'un
décret divin, toutes les grâces provenant de ses mérites furent distribuées aux
hommes, le sont actuellement, et le seront jusqu'à la fin du monde, par les
mains et moyennant l'intercession de Marie". (Les gloires de Marie,
chapitre V : Marie, notre médiatrice, § 1 : Que l'intercession de Marie nous
est nécessaire pour nous sauver.)
- Saint Maximilien Kolbe (1894-1941) attribuant à Marie l’ordre de la
Miséricorde : . "Mère très aimante à qui
Dieu à qui Dieu voulut confier tout
l'ordre de la Miséricorde" (cf. sa consécration à Marie).
- Père Eugène-Marie de l’Enfant-Jésus (1894-1967), fondateur Institut
Notre-Dame de Vie dont la béatification est à l’étude affirme : "Dieu
a confié à Marie la distribution de la
Miséricorde" (La joie de la Miséricorde, page 111, Nouvelle cité).
- Maria Valtorta : "Déjà sur les ténèbres qui, toujours plus denses
et maudites, recouvrent la Terre, se dessine une lueur qui ne pourrait être
plus douce. C’est le temps de Marie qui surgit. Marie est l’extrême miséricorde que notre Amour ait conçue pour
vous" (Leçons sur l’épître aux romains, Leçon n° 3).
[4] Marie, présente au calvaire
(Jean 19, 25-35.), souffrait des douleurs analogues, de même origine : le
Christ répandait douloureusement le sang du corps, elle répandait le sang du
cœur disait Arnauld de Chartres (Arnauld, abbé de Bonneval (+1156) : De septem verbis Domini in croce, 3ème partie).