"L'Évangile tel
qu'il m'a été révélé" |
aucun accent |
||
Accueil
>> Plan du Site >>
Index
des thématiques Liberté, Libre-arbitre Accès direct aux rubriques |
|||
Dans
"l'Évangile tel qu'il m'a été révélé" Comment
l’homme se libère de l’emprise de la chair (du monde) 2.44 Si
Dieu pourvoyait à tout, Il commettrait un vol envers ses amis. Il les priverait du pouvoir
d'être miséricordieux et d'obéir par conséquent au commandement de l'amour. 2.54 Le
Maître et la
liberté de ses élèves 2.57 L'homme
est un être libre. Je suis venu le libérer
de plus en plus, du péché en ce qui concerne l'esprit et des chaînes d'une
religion déviée. 2.61 Tout
est spontané en Moi et autour de Moi. 2.68 L'homme
possède le libre arbitre, ce
qui signifie que sur la liberté humaine de la pensée et du sentiment Satan ne
peut exercer sa violence. Dieu ne le fait pas non plus. 4.106 L'homme
ne sait pas être parfait et il use mal des dons de Dieu qui a donné à l'homme
la liberté d'agir,
en lui commandant pourtant les choses bonnes, en lui conseillant les
parfaites pour que l'homme ne puisse pas dire : "Je ne savais
pas". 5.71 Les
deux pièces de monnaie données à tous les fils avant leur envoi dans le
monde, ce sont le temps et la libre volonté que
Dieu donne à tout homme pour qu'il en use comme il croit bon après avoir été
instruit et formé par la Loi et les exemples des justes. 6.116 Dieu
est Père, Il nous aime et Il pleure si nous sommes mauvais, mais Il ne nous
force pas à obéir. Pourtant celui qui est mauvais sera châtié un jour par
des supplices horribles... 6.118 En
effet la liberté de se
conduire, laissée par Dieu à
l'homme son enfant, c'est comme un serviteur capable donné par Dieu à
l'homme, son enfant, pour l'aider à rendre fertile la vigne, c'est-à-dire
l'âme. 6.119 Dieu
ne fait que rarement violence
à la liberté humaine. 7.168 L'homme spirituel est le véritable
surhomme parce qu'il n'est pas
esclave des sens, alors que l'homme
matériel est une non-valeur, par rapport à la vraie dignité de l'homme, car
il a trop d'appétits qui lui sont communs avec la brute et il lui est même inférieur tout en la surpassant,
en faisant de l'instinct
naturel à l'animal un vice dégradant
7.214 Satan
aide pour finir d'asservir. Dieu le
laisse faire, car de cette lutte entre le Haut et le Bas, entre le Bien et
le Mal, émerge la valeur de la créature. La valeur et la volonté. Il le
laissera toujours faire, même après que je me serai élevé. Mais alors Satan
aura contre lui un ennemi bien grand et l'homme aura une amie bien puissante.
- Qui ? Qui ? - La Grâce. 7.226 Dieu
a accordé aux créatures le libre
arbitre, pour que par lui la créature se perfectionne
dans les vertus et se rende ainsi plus semblable à Dieu son Père". Et je te dis encore,
ô moqueur et astucieux chercheur de péché dans mes paroles, que du Mal, qui s'est volontairement
formé, Dieu tire encore une bonne fin : celle de servir à rendre les hommes
possesseurs d'une gloire méritée. 7.234 Oh
! en vérité je vous dis que celui qui fera bon usage de son intelligence et
de son libre
arbitre et qui invoquera le Seigneur pour voir la vérité des choses,
ne sera pas ruiné par la tentation, car le Père des Cieux l'aidera à faire le
bien en dépit de toutes les embûches du monde et de Satan. 8.30 Dans les autres ouvrages de Maria
Valtorta Cahiers de 1945 à 1950 Voir le sommaire des "Cahiers" => Catéchèse du
18 février 1947 : Le libre arbitre de
personne, pas même du Christ, n’a été contraint à céder ou non aux
tentations. Tentation repoussée, mérite acquis. C’est pour cette
raison que Dieu a laissé à l’homme sa splendide liberté de volonté, pour
qu’il parvienne, grâce à elle et par son mérite personnel, à une gloire
méritée. Dans les
textes fondamentaux chrétiens Dans la
Bible Indication des
sources à venir. Dans le catéchisme de l'Église catholique Indication des
sources à venir. Dans d'autres sources La fonction propre de l'intelligence exige
une liberté totale, impliquant le droit de tout nier, et aucune domination.
Partout où elle usurpe un commandement, il y a un excès d'individualisme.
Partout où elle est mal à l'aise, il y a une collectivité oppressive, ou
plusieurs. L'Église et l'État doivent la punir, chacun à
sa manière propre, quand elle conseille des actes qu'ils désapprouvent. Quand
elle reste dans le domaine de la spéculation purement, théorique, ils ont
encore le devoir, le cas échéant, de mettre, le public en garde, par tous les
moyens efficaces, contre le danger d'une influence pratique de certaines
spéculations dans la conduite de la vie. Mais quelles que soient ces
spéculations théoriques, L'Église et l'État n'ont le droit ni de chercher à
les étouffer, ni d'infliger à leurs auteurs aucun dommage matériel ou moral.
Notamment on ne doit pas les priver des sacrements s'ils les désirent. Car
quoi qu'ils aient dit, quand même ils auraient publiquement nié l'existence
de Dieu, ils n'ont peut-être commis aucun péché. En pareil cas, l'Église doit
déclarer qu'ils sont dans l'erreur, mais non pas exiger d'eux quoi que ce
soit qui ressemble à un désaveu de ce qu'ils ont dit, ni les priver du Pain
de vie. Une collectivité est gardienne du dogme; et
le dogme est un objet de contemplation pour l'amour, la foi et l'intelligence,
trois facultés strictement individuelles. D'où un malaise de l'individu dans
le christianisme, presque depuis l'origine, et notamment un malaise de
l'intelligence. On ne peut le nier. "L'attente de Dieu" – éditions La
Colombe/Livre de poche – Paris 1963 - p. 56-57 Retour à l'index des
thématiques |
|||