"L'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
de Maria Valtorta

© Fondation héritière de Maria Valtorta.

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 4.288 - Discorso ai cittadini di Gerasa e lode di una donna alla Madre di Gesù.

 3.287 - Preaching at Gerasa.

 3.288- Palabras a los habitantes de Gerasa y alabanza de una mujer a la Madre de Jesús.

 5.331 - Die Predigt in Gerasa.

 Évangile :          
-
Matthieu 12,29-30.        
- Luc 11,21-23.        
Luc 11,27-28.


Vendredi 20 octobre 28
(13 Marheshwân ou Boul 3789)
Gérasa.


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 Les âmes telles qu’elles furent crées.        

 Les damnés.      

 L'homme fort.   

 Comment se fonde le Royaume de Dieu. 

 Décalogue.         

 Prier en prononçant le Nom de Dieu.     

 La vie droite.     

 Celui qui n'est pas avec Moi, est contre Moi.


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Ancienne édition : Tome 4, chapitre 152.
Nouvelle édition : Tome 4, chapitre 288.

288
Le discours aux habitants de Gérasa, et l’éloge d’une femme à la Mère de Jésus.

Le jeudi 27 septembre 1945.

472>  288.1 - Il croyait être inconnu ! Quand la matinée du lendemain il pose le pied hors du magasin d'Alexandre, il trouve déjà des personnes qui l'attendent. Jésus est avec les seuls apôtres, les femmes et les disciples sont restés à la maison à se reposer. Les gens le saluent et l'entourent en Lui disant qu'ils le connaissent parce qu'ils ont entendu parler un homme guéri de la possession diabolique [1]. Ce dernier est maintenant absent parce qu'il est parti avec deux disciples passés par là quelques jours auparavant.  

Jésus écoute avec bienveillance ces discours tout en marchant à travers la ville qui présente souvent des zones où l'on entend un furieux fracas de chantiers. Maçons, terrassiers, tailleurs de pierres, forgerons, menuisiers, travaillent à construire, à aplanir ou à combler des terrains de niveaux différents, à dégrossir des pierres pour les murs, à travailler le fer pour différents usages, à scier, à raboter, à façonner des pieux avec des troncs robustes.    

Jésus passe et regarde, il franchit un pont jeté sur un petit torrent bavard qui passe juste au milieu du pays, et les maisons se sont alignées sur les deux rives avec la prétention de former un quai. Il monte ensuite vers la partie haute de la ville qui est un peu en dénivellation, de sorte que le côté sud-ouest est plus élevé que le côté nord-est, mais les deux côtés sont plus hauts que le centre de la ville coupée en deux par le petit cours d'eau.        

La vue est belle au point où s'est arrêté Jésus. On voit toute la ville passablement grande et en arrière, à l'orient, au midi et à l'occident, se trouve un fer à cheval de collines en pente douce toutes vertes, alors qu'au nord la vue s'étend sur une plaine découverte et vaste qui présente à l'horizon un relief léger qu'on peut difficilement appeler collines, tout blondi par le soleil matinal qui dore les pampres jaunâtres des vignes qui couvrent cette vague de terrain comme s'il voulait adoucir la mélancolie des feuilles mortes par le faste d'une couche de dorure.

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473>  288.2 - Jésus observe et les gens de Gerasa restent à le regarder. Jésus les conquiert en leur disant :          

"Cette ville est très belle. Rendez-la belle aussi de justice et de sainteté. Les collines, le ruisseau, la verte plaine, c'est Dieu qui vous les a donnés. Rome vous aide maintenant à vous faire des maisons et de beaux édifices, mais il revient à vous seuls de donner à votre ville le nom de ville sainte et juste.        

Une ville est ce que la font ses habitants, parce qu'une ville est une partie de la société qui s'enferme dans des murs, mais ce qui fait la ville, ce sont les habitants. La ville en elle-même ne pèche pas. Ils ne peuvent pécher le ruisseau, le pont, les maisons, les tours. Ce sont des matières, non des âmes. Mais peuvent pécher ceux qui sont enfermés dans les murailles de la ville, dans les maisons, dans les boutiques, ceux qui passent sur le pont et ceux qui se baignent dans le ruisseau, On dit d'une ville factieuse et cruelle : "C'est une ville très mauvaise". Mais c'est mal dit. Ce n'est pas la ville qui est mauvaise, ce sont les habitants qui sont mauvais.          

Ces individus qui deviennent, en s'unissant, une seule chose complexe, et pourtant encore une seule chose c'est cela qui mérite le nom de ville. Maintenant écoutez. Si dans une ville dix mille habitants sont bons et que mille seulement ne le sont pas, pourrait-on dire que cette ville est mauvaise ? Non, on ne pourrait le dire. De même, si dans une ville de dix mille habitants il y a beaucoup de partis et que chacun tend à faire valoir le sien, peut encore dire que cette ville est unie ? Non, on ne peut le dire. Et pensez-vous que cette ville sera prospère ? Non, elle ne le sera pas.          

Vous, habitants de Gerasa, vous êtes maintenant tous unis dans la pensée de faire de votre ville une grande chose. Et vous y réussirez parce que tous vous voulez la même chose et vous rivalisez entre vous pour atteindre ce but. Mais si parmi vous s'élevaient des partis différents et que l'un vienne à dire : "Non, il vaut mieux s'étendre vers l'occident", et un autre : "Pas du tout. Nous irons vers le nord du côté de la plaine", et un troisième : "Ni ici, ni là. Nous voulons nous grouper au centre près du ruisseau", qu'arriverait-il ? Il arriverait que les travaux commencés s'arrêteraient, que ceux qui prêtent des capitaux les retireraient et que ceux qui ont l'intention de s'établir ici s'en iraient dans une autre ville plus unie, et ce qui est déjà fait tomberait en ruines parce que cela serait exposé aux intempéries sans être terminé à cause des divisions des habitants. 

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474> C'est ainsi ou non ? Vous dites que c'est ainsi, et vous dites bien. Il faut donc l'entente entre les habitants pour faire le bien de la ville et, par conséquent des habitants, parce que dans une société son bien propre fait le bien-être de ceux qui la composent.    

 288.3 - Mais il n'y a pas seulement la société à laquelle vous pensez, la société de ceux qui appartiennent à la même ville, ou au même pays, ou la petite et chère société de la famille. Il est une société plus vaste, infinie : celle des esprits.      

Nous tous qui sommes vivants, nous avons une âme. Cette âme ne meurt pas avec le corps mais lui survit éternellement.
 La pensée du Créateur Dieu, qui a donné l'âme à l'homme, était que toutes les âmes humaines se rassemblent en un même lieu : le Ciel, qui constitue le Royaume des Cieux dont le monarque est Dieu et dont les sujets bienheureux auraient été les hommes après une vie sainte et une tranquille dormition. Satan est venu diviser et bouleverser, pour détruire et affliger Dieu et les esprits. Il a apporté le péché dans les cœurs et avec lui la mort pour les corps au terme de l'existence, espérant donner la mort même aux esprits.  Leur mort c'est la damnation qui est encore existence, oui, mais une existence dépourvue de ce qui est la Vie vraie et la joie éternelle, c'est-à-dire de la vision béatifique de Dieu et de son éternelle possession dans la lumière éternelle. Et l'Humanité se divisa dans ses volontés comme une société se divise en partis contraires. Et en agissant ainsi, elle alla à sa ruine.          

Je l'ai dit ailleurs à ceux qui m'accusaient de chasser les démons avec l'aide de Belzébuth : "Tout royaume divisé en lui-même ira à sa ruine"
[2]. En effet si Satan se chassait lui-même, lui et son royaume ténébreux iraient à leur ruine.        

Moi, à cause de l'amour que Dieu a pour l'humanité créée par Lui, je suis venu rappeler qu'un seul Royaume est saint : celui des Cieux. Je suis venu le prêcher pour que les meilleurs accourent vers lui.
 Oh ! Je voudrais que tous, même les plus mauvais, y viennent en se convertissant, en se délivrant du démon qui, ouvertement dans les possessions corporelles en plus que spirituelles, ou secrètement dans celles qui ne sont que spirituelles, les tiennent esclaves.        

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475> C'est pour cela que je vais guérissant les malades, chassant les démons des corps possédés, convertissant les pécheurs, pardonnant au nom du Seigneur, instruisant en vue du Royaume, accomplissant des miracles pour vous persuader de mon pouvoir et que Dieu est avec Moi. Car on ne peut faire des miracles si on n'a pas pour ami Dieu, parce que si je chasse les démons par le doigt de Dieu, que je guéris les malades, que je purifie les lépreux, que je convertis les pécheurs, que j'annonce le Royaume, que je donne l'enseignement pour y parvenir, et que j'y appelle au nom de Dieu, et que Dieu est condescendant à mon égard d'une manière claire et indiscutable, et que seuls les ennemis déloyaux peuvent dire le contraire, tout cela est le signe que le Royaume est arrivé parmi vous et doit être construit car c'est l'heure de sa fondation. 

 288.4 - Comment se fonde le Royaume de Dieu dans le monde et dans les cœurs ? Par le retour à la Loi mosaïque et par la connaissance exacte si on l'ignore, et surtout par l'application totale de la Loi à soi-même, dans tout événement et à tout moment de la vie. De quelle nature est cette Loi ? Une chose tellement sévère qu'elle est impraticable ? Non. C'est un ensemble de dix préceptes saints et faciles que l'homme moralement bon, vraiment bon, a conscience qu'il faut observer même s'il est enseveli sous l'inextricable toit végétal des forêts les plus impénétrables de l'Afrique mystérieuse. Elle dit :        

 "Je suis le Seigneur ton Dieu et il n'y a pas d'autre Dieu que Moi. Ne nommez pas le Nom du Seigneur inutilement. 

Respectez le sabbat selon le commandement de Dieu et le besoin de la créature.        

Honorez vos pères et vos mères afin de vivre longuement et d'obtenir le bien sur la terre et dans le Ciel.         

Ne tuez pas.          

Ne dérobez pas.    

Ne commettez pas l'adultère.   

Ne dites pas de faux témoignages contre le prochain.         

Ne désirez pas la femme d'autrui.       

N'enviez pas ce que possède autrui".  

Quel est l'homme qui, ayant une âme bonne même si c'est un sauvage, qui en tournant son regard sur ce qui l'entoure, n'arrive à se dire : "Tout cela n'a pu se faire tout seul. 

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476> Il y a donc Quelqu'un, plus puissant que la nature et que l'homme lui-même, qui a fait cela" ? Et il adore ce Puissant dont il connaît ou ne connaît pas le Nom très Saint mais dont il sent l'existence.  Et il en a un tel respect en prononçant le nom qu'il Lui a donné ou qu'on lui a appris à dire pour le nommer, qu'il tremble de respect et a conscience de le prier rien qu'à le nommer avec respect. En fait, c'est une prière de prononcer le Nom de Dieu dans l'intention de l'adorer ou de le faire connaître aux gens qui l'ignorent.        

De même aussi par simple prudence morale, tout homme sent qu'il doit donner du repos à ses membres pour qu'ils résistent tant que dure la vie. Avec plus de raison ce repos animal, l'homme qui n'ignore pas le Dieu d'Israël, le Créateur et Seigneur de l'univers, a conscience qu'il doit le consacrer au Seigneur pour ne pas être semblable à la bête de somme qui fatiguée se repose sur sa litière en mâchant de l'avoine entre ses dents robustes.     

Le sang lui-même crie amour pour ceux dont il est venu et nous le constatons dans ce petit âne qui court en ce moment en brayant à la rencontre de sa mère qui revient du marché. Il jouait dans le troupeau et l'ayant vue, il se souvient d'avoir été allaité par elle et léché affectueusement, défendu, réchauffé par sa mère et vous voyez ? Avec son tendre naseau il lui frotte le cou et saute de joie en frottant sa jeune croupe contre le flanc qui l'a porté. Aimer les parents, c'est un devoir et un plaisir.
 Et il n'y a pas d'animal qui n'aime celui qui l'a engendré. Et quoi ? L'homme sera au-dessous du ver qui vit dans la boue ?        

L'homme moralement bon ne tue pas. La violence lui inspire du dégoût. Il a conscience qu'il n'est pas permis d'enlever la vie à quiconque, que seulement Dieu qui l'a donnée a le droit de l'enlever. Et il se refuse à l'homicide.    

De même celui qui est moralement sain ne s'empare pas des choses d'autrui. Il préfère le pain mangé avec une conscience tranquille auprès de la fontaine argentine, à un succulent rôti qui est le produit d'un vol. Il préfère dormir sur le sol avec la tête sur une pierre et les étoiles amies au-dessus de la tête qui pleuvent la paix et le réconfort sur une conscience honnête, au sommeil troublé sur un lit volé.      

Et s'il est moralement sain il ne désire pas d'autres femmes que les siennes, il n'entre pas avec lâcheté dans le lit d'autrui pour le souiller. Mais dans la femme de l'ami il voit une sœur et n'a pas pour elle les regards et le désir que l'on n'a pas pour une sœur.         

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477> L'homme dont l'âme est droite, même seulement naturellement, sans autre connaissance du Bien que celle que lui donne sa conscience pleine de droiture, ne se permet jamais de donner un témoignage qui lèse la vérité car cela lui paraît semblable à l'homicide et au vol et il en est ainsi. Mais ses lèvres sont honnêtes comme son cœur et il n'a pas de regards pour désirer la femme d'autrui. Il n'en a même pas le désir, parce qu'il sait que le désir est ce qui pousse au péché. Et il n'a pas d'envie parce qu'il est bon. Celui qui est bon n'envie jamais. Il est content de son sort.      

 288.5 - Cette loi avec ses exigences vous paraît-elle impraticable ? Ne vous faites pas tort ! Je suis certain que vous ne le ferez pas, et si vous ne le faites pas vous fonderez le Royaume de Dieu en vous et dans votre ville. Et vous vous retrouverez un jour heureux avec ceux que vous avez aimés et qui, comme vous, ont conquis le Royaume éternel dans les joies sans fin du Ciel.      

Mais dans notre intérieur même se trouvent les passions comme des habitants renfermés dans les murs d'une ville. Il faut que toutes les passions de l'homme veuillent la même chose : à savoir la sainteté. Autrement c'est inutilement qu'une partie tendra au Ciel si ensuite une autre laisse sans les garder les portes et y laisse pénétrer le séducteur ou neutralise par des discussions et des paresses l'action d'une partie des habitants spirituels en faisant périr l'intérieur de la ville et en l'abandonnant aux orties, aux herbes empoisonnées, au chiendent, aux serpents, aux scorpions, rats et chacals, aux hiboux, c'est-à-dire aux mauvaises passions et aux anges de Satan. Il faut veiller sans jamais y manquer, comme des sentinelles que l'on met aux murs pour empêcher le Malin d'entrer là où nous voulons construire le Royaume de Dieu.         

 En vérité je vous dis que tant que l'homme fort garde en armes l'entrée de sa maison, tout ce qui s'y trouve est en sécurité. Mais s'il vient un autre plus fort que lui, ou s'il laisse sa porte sans la garder, alors le plus fort en vient à bout, le désarme et lui, privé des armes auxquelles il se confiait, il s'humilie et se rend, et le fort le fait prisonnier en prenant les dépouilles de celui qu'il a vaincu [3]. Mais si l'homme vit en Dieu, moyennant la fidélité à la Loi et à la justice saintement pratiquée, Dieu est avec Lui, Moi je suis avec lui, et rien de mal ne peut lui arriver.   

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478> L'union avec Dieu est l'arme qu'aucun fort ne peut vaincre. L'union avec Moi est certitude de victoire et d'un butin de vertus éternelles pour lesquelles éternellement lui sera donnée une place dans le Royaume de Dieu. Mais celui qui se sépare de Moi ou se fait mon ennemi, repousse en conséquence les armes et la sécurité de ma Parole. Celui qui repousse le Verbe repousse Dieu. Celui qui repousse Dieu appelle Satan. Celui qui appelle Satan détruit ce qu'il avait pour conquérir le Royaume.       

 Par conséquent celui qui n'est pas avec Moi, est contre Moi. Et celui qui ne cultive pas ce que j'ai semé, récolte ce qu'a semé l'Ennemi. Celui qui ne récolte pas avec Moi dissipe et il viendra, pauvre et nu, vers le Juge Suprême qui l'enverra au maître auquel il s'est vendu, en préférant Belzébuth au Christ.        

Habitants de Gerasa construisez en vous et dans votre ville le Royaume de Dieu."        

 288.6 - La voix perçante d'une femme s'élève limpide comme un chant de louange au-dessus du bruit de la foule pleine d'admiration, chantant la nouvelle béatitude, c'est-à-dire la gloire de Marie :  

"Bienheureux le sein qui t'a portée et les mamelles que tu as sucées."
[4]  

Jésus se tourne vers la femme qui exalte la Mère par admiration pour le Fils. Il sourit parce que douce Lui est la louange donnée à la Mère. Mais il dit ensuite :    

"Bienheureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et la mettent en pratique, Fais cela, ô femme."  

Ensuite Jésus bénit et se dirige vers la campagne, suivi des apôtres qui Lui demandent :         

"Pourquoi as-tu dit cela ?"        

"Parce qu'en vérité je vous dis qu'au Ciel on ne mesure pas avec les mesures de la terre. Et ma Mère elle-même sera heureuse non pas tant pour son âme immaculée que pour avoir écouté la Parole de Dieu et l'avoir mise en pratique par l'obéissance.
 Le "que l'âme de Marie soit faite sans faute" c'est un prodige du Créateur. C'est à Lui donc qu'en va la louange. Mais le "qu'il soit fait de moi selon ta parole" c'est un prodige de ma Mère. C'est donc pour cela qu'est grand son mérite.

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479> Si grand que pour cette capacité d'écouter Dieu, parlant par la bouche de Gabriel, et pour sa volonté de mettre en pratique la parole de Dieu sans rester à soupeser les difficultés et les douleurs immédiates et futures qui viendraient de son adhésion, est venu le Sauveur du monde. Vous voyez donc qu'elle est ma bienheureuse Mère non seulement parce qu'elle m'a engendré et allaité, mais parce qu'elle a écouté la Parole de Dieu et l'a mise en pratique par l'obéissance.         

 288.7 - Mais maintenant rentrons à la maison. Ma mère savait que j'étais dehors pour peu de temps et pourrait craindre en voyant que je tarde. Nous sommes dans un pays à demi païen. Mais, en vérité, il est meilleur que les autres.



Aussi partons, et tournons par derrière les murs pour échapper à la foule qui me retiendrait encore. Allons vite par derrière ces bosquets touffus..."   

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Fiche mise à jour le 14/10/2023.

 



[1] Marc de Giosia, le possédé délivré du démon "légion" à qui Jésus a demandé d’évangéliser la région (Cf. EMV 186.5)      

[2] Cf. L’altercation de Capharnaüm en EMV 269.6, au mois d’août dernier.     

[3] Luc 11,21-23 – Cette réplique, qualifiée "d'antimariale" par le P. G.M. Roschini, fait l'objet d'un commentaire dans les "Cahiers de 1943" – Catéchèse du 7 décembre, page 533/534.

[4] Luc 11,27-28.