L'œuvre de Maria Valtorta |
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Index des "Cahiers" >> Sommaire de janvier 1944 Traduction
automatique de cette fiche : Catéchèse
du vendredi 14 janvier 1944. Ce que Dieu a
rendu pur. L’Esprit
de Dieu ne connaît pas de limites. L’Esprit baptise avant Moi les païens d’aujourd’hui.
L’épigraphe
inspirée d’une âme-victime. |
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Actes
10, 15 : Ce que Dieu a déclaré pur, toi, ne va pas le déclarer immonde
" 60> Jésus dit : |
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Après que je vous ai
remis le feuillet et que vous êtes parti en l’emportant, Jésus m’a dit :
"Veille à avertir le Père (Migliorini) que tu as oublié de mettre un
accent sur le "e"[7] qui
précède "béatitude", car cela change le sens de la phrase et la
rend moins riche de sens. Souviens-toi de le lui dire et de faire ajouter cet
accent." |
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[1] Dans la catéchèse du 12 janvier 1944.
[2] Cf. Le Credo : Il a parlé par les prophètes"
[3] Cf. CEC
§ 243 : "Avant sa Pâque, Jésus annonce
l’envoi d’un "autre Paraclet" (Défenseur), l’Esprit Saint. À l’œuvre
depuis la création (cf. Genèse 1, 2), ayant jadis "parlé par les
prophètes" (Symbole de Nicée-Constantinople), il sera maintenant auprès des
disciples et en eux (cf. Jean 14, 17), pour les enseigner (cf. Jean 14, 26) et
les conduire "vers la vérité tout entière" (Jean 16, 13). L’Esprit
Saint est ainsi révélé comme une autre personne divine par rapport à Jésus et
au Père".
[4] Il s’agit de son confesseur, le Père Migliorini.
[5] Épigraphe : citation qui résume le sentiment qu’inspire la
personne ou l’œuvre.
[6] Il s’agit d’Antonia Dal Bo Terruzzi,
née à Côme en 1907 et décédée à Viareggio le 4 janvier 1944. Pendant les neuf
derniers mois de sa vie, elle fut gravement malade et s’offrit à Dieu pour le
salut de l’Italie. Son agonie, durant les trois jours qui précédèrent sa mort,
connut des manifestations qui troublèrent ses parents. Par l’intermédiaire du
P. Migliorini, ceux-ci reçurent le réconfort de l’épigraphe écrite par Maria
Valtorta qu’ils firent imprimer sur les images-souvenirs : "Après que
la charité l’eut prise, elle s’offrit elle-même comme une fleur sur l’autel, en
hostie pour les malheurs de la nation. Elle connut la nuit du Christ à Gethsémani
et l’amertume de la neuvième heure sur la croix. Mais, avant même la
résurrection en Jésus qui est la Vie, il lui fut dévoilé ce qu’est la béatitude
des élus et c’est en possession de l’Amour qu’elle rendit l’esprit, son esprit
sanctifié par son héroïsme, les yeux tournés vers Marie, l’Étoile de son matin
éternel". Voir aussi la catéchèse du 4
janvier 1944, note 3.
[7] La lettre "e" avec un accent signifie "est"
alors que, si on l’omet, cela signifie "et".