L'œuvre
de Maria Valtorta |
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1943 Traduction automatique de cette fiche : Catéchèse du jeudi 18 novembre 1943 Quand mon heure
viendra, je ne serai pas seul à régner Bien avant cette
heure-là, ô vous, les justes, vous posséderez le Ciel Vous serez semblables au Père Vous verrez le miracle d’amour d’une Terre baignant
dans la paix Des légions de
justes laboureront la Terre pour la préparer à la Parole Là où est le Maître sont ses disciples Cette heure-là, mes enfants, sera un triomphe dans
votre triomphe. |
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Isaïe 11. |
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Cette heure-là, mes enfants, sera un triomphe dans votre
triomphe. Et puisque je vous aime, je vous dis que vous ne devez pas mesurer
votre volonté active de conquérir la sainteté, car cette heure sera telle
pour vous que mille vies immolées pour elle et les trésors de la terre
laissés pour ce trésor-là ne suffiraient pas à en égaler la gloire et la
béatitude de la possession éternelle de Dieu. |
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[1] Cf. Jean 14, 3.
[2] Cf. Matthieu 5, 5.
[3] C’est peut-être là, la confirmation de la fin de vie de Maria
Valtorta. Elle vécut une prostration finale, le corps sur terre, mais l’esprit
déjà au Ciel après avoir tout offert à Dieu, jusqu’à sa propre intelligence.
[4] Sur une copie dactylographiée, l’auteur note : Ici commence à
parler Dieu le Père au lieu du Fils.
[5] Marquant ce point d’une croix, l’auteur note ceci sur un
demi-feuillet, qu’elle coud ensuite à la page du cahier : Rien d’autre, dit-il,
n’est nécessaire qu’une ressemblance humaine, car, en ressemblant à Dieu le
Père, on aura aussi la ressemblance au Fils comme Dieu. Par conséquent, celui
qui est à la ressemblance de Dieu, Esprit créateur, n’a qu’à prendre la
ressemblance physique au Dieu incarné et à sa Mère qui fut créée à la parfaite
image et ressemblance de Dieu (explication donnée par Notre-Seigneur dans la
dictée du 18 novembre).