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Maria Valtorta
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Sommaire du dossier Maria Valtorta.
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cette fiche :
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Réponse à un article.
Maria
Valtorta sur Wikipédia.
Trouvez ici ce qu’on vous cache là-bas(*).
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qualité ».
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(*)
La multiplicité des contributions systématiquement censurées depuis 10 ans
sur l’article
Wikipédia, nous oblige à proposer aux internautes cette version
qu’ils auraient dû lire dans le respect des règles de cette
« Encyclopédie libre ».
L’auteur primitif de l’article à charge sur Wikipédia a été exclu au terme
d’une série impressionnante de conflits de tous genres sur de multiples
sujets, mais l’un des censeurs restants a déclaré sur un forum, être un
opposant déterminé de Maria Valtorta et de l’Église catholique.
Cette position assumée est loin de l’objectivité propre à une encyclopédie
neutre. Elle aboutit à un article tronqué des pièces essentielles. Il
contrevient ainsi à la véracité de l’information sur le sujet même de notre
site.
Il ne nous appartient pas de nous immiscer dans le fonctionnement de
Wikipédia, seulement de rétablir le pour et le contre dans notre réponse
ci-contre en forme de copie corrigée.
Chacun jugera par lui-même.
En effet, cette censure d’un autre temps n’a pas empêché la francophonie
d’être, en 2017, le premier lectorat de cette œuvre prisée des papes et des
saints. Elle est diffusée sans interruption depuis 60 ans à millions
d’exemplaires et en 27 langues.
François-Michel Debroise.
31 janvier 2018.
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Maria Valtorta est une mystique catholique
italienne du tiers ordre des Servites de Marie, née à Caserte, en Campanie,
le 14 mars 1897 et décédée le 12 octobre 1961 à Viareggio en Toscane.
Elle est notamment l'auteur d'un livre en plusieurs volumes, L'Évangile
tel qu'il m'a été révélé, qui évoque des scènes de la vie du Christ
qu'elle dit recevoir par visions.
Selon les trois religieux qui furent reçus en audience par Pie XII le 26
février 1948, la publication
de cette vie de Jésus, qu’il aurait personnellement lue, aurait été
encouragée par le pape en ces termes : « Publiez l’œuvre telle
quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle
soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront, comprendront. »
Cependant, après la mort du Souverain-Pontife, l’ouvrage fut mis à l’Index
par le Saint-Office le 16 décembre 1959 pour défaut d’imprimatur.
En 1992, à l'initiative du cardinal Ratzinger la Conférence des évêques
italiens demande à l'éditeur de Maria Valtorta « qu'à l'occasion d'une
éventuelle réimpression des volumes, il soit clairement dit, dans les
premières pages, que les visions et dictées qu'ils relatent ne peuvent pas
être considérées comme d'origine surnaturelle, mais doivent être considérées
simplement comme les formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour
raconter, à sa manière, la vie de Jésus. »
Selon son secrétaire particulier, Jean-Paul II lisait la vie de Jésus de
Maria Valtorta. Mère Teresa de Calcutta
l’emmenait dans ses voyages.
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Sommaire
1 Biographie
2 L'œuvre de Maria Valtorta
3 Publication et
mise à l'index
4 Le
commentaire de L'Osservatore Romano
5 Depuis la mise à
l'index
5.1 Chronologie des faits
5.2 Selon l'éditeur
5.3 Selon les travaux publiés
6 Bibliographie.
6.1 Œuvres de Maria Valtorta
6.2 Publications
sur Maria Valtorta
6.3 Liens externes
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Sauf indication contraire, les
informations de cette section sont extraites de l'autobiographie de Maria
Valtorta.
Maria Valtorta est née à Caserte,
au nord de Naples, dans un milieu relativement modeste, d'un père
sous-officier de cavalerie pour qui elle avait une grande et profonde
affection, et d'une enseignante de français, qu'elle décrit comme une femme
très autoritaire qui exigeait l'exclusivité de l'attention de sa fille. La
famille se déplace suivant les affectations du père.
Pendant la Première Guerre mondiale elle s'enrôle comme infirmière
à l’hôpital militaire de Florence, ville où
elle réside longuement. Selon Maria Valtorta, par deux fois des prétendants
sont évincés par sa mère possessive. Le 17 mars 1920, elle se promène avec sa
mère quand « un petit délinquant, fils d’un communiste et de notre
modiste » la frappe violemment dans le dos avec une barre métallique en
criant « À bas les riches et les militaires ! ». Elle doit garder le lit durant
trois mois et s’en remet partiellement par un séjour de deux ans à Reggio de Calabre auprès de cousins.
En 1924, elle s’établit définitivement avec ses parents à Viareggio, sur la
côte toscane. C’est là que, le 28 janvier 1925, suivant l’exemple de sainte
Thérèse de l’Enfant-Jésus, elle s’offre comme victime à l’Amour
miséricordieux. Une offrande qu’elle renouvela tous les jours par la suite. Elle s’engage dans sa paroisse
comme déléguée de l’Action catholique féminine, mais ses souffrances
augmentent. Sa santé se détériore progressivement. Le 1er avril 1934,
dimanche de Pâques, elle demeure définitivement clouée sur son lit.
À partir de 1943 jusqu'en 1950, et dans une moindre mesure jusqu'en 1953,
Maria Valtorta écrit environ quinze mille pages de cahiers. Les deux tiers à
peu près de la production littéraire de Maria Valtorta concernent l’œuvre
monumentale de la vie de Jésus qu'elle affirmait connaître à travers des
visions.
Selon le Père Roschini, dans une lettre du 18 avril 1949, Maria Valtorta
confie à une religieuse avoir complété ses offrandes précédentes à Dieu par
celle de son intelligence et la satisfaction de voir son œuvre approuvée. De
fait, à partir de 1956 se manifesta en elle un dépérissement mental qui se
développa jusqu’à sa mort.
Elle meurt le 12 octobre 1961 après avoir vu, vingt mois avant sa
mort, la publication de l'œuvre qui, selon ce qu'elle disait des directives
de Jésus, devait être anonyme,
mise à l'Index.
Le 2 juillet 1973, ses restes sont transférés de Viareggio à la Basilique de
la Santissima Annunziata de Florence, lieu fondateur de l’Ordre des Servites
de Marie dont elle était tertiaire.
Son épitaphe rappelle ses trois titres de gloire : Membre du Tiers ordre
des Servites de Marie (Tertii ordinis
servorum Sanctae Maria sodalis) – Hostie agréable à Dieu (Hostia
Deo grata) – Écrivaine mystique (Divinarum rerum scriptrix).
Le 15 octobre 2011, à l’invitation des Servites de Marie et de la Fondation
Maria Valtorta CEV, le cinquantième anniversaire de sa mort est célébré au
grand cloître de la Santissima Annunziata où se trouve la tombe de Maria
Valtorta. La cérémonie
est présidée par un nonce apostolique, Mgr Pier Giacomo De Nicolò, archevêque de Martana.
Le site des Servites de Marie compte Maria Valtorta au rang des
« Serviteurs de Dieu » titre réservé aux
personnes pour laquelle une cause de béatification a été introduite en raison
de leur vie de sainteté. Ils avaient en effet introduit
sa cause auprès de Mgr Ennio Antonelli, archevêque de Florence. Celui-ci leur
avait répondu, le 3 octobre 2002, que cela n’était pas opportun « pour
le moment ».
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Selon ce que rapporte son éditeur,
Maria Valtorta a rempli 122 cahiers, soit près de 15 000 pages
manuscrites, sans aucune rature, avec la
description des visions et révélations qu'elle dit avoir reçues de Dieu entre
1943 et 1950 essentiellement. De ces 122 cahiers a d'abord été tirée, en 1956, l'œuvre principale, Le
Poème de L'Homme-Dieu (Il poema dell'Uomo-Dio). La traduction française, en 10
volumes, ne reprend que le sous-titre initial : L'Évangile tel
qu'il m'a été révélé. Ce titre est dû à la volonté expresse du premier
traducteur de l’œuvre en
français. Il fut généralisé ultérieurement par l’éditeur.
Les autres écrits de Maria
Valtorta se présentent comme des enseignements de Jésus.
Ils ont été édités dans l'ordre chronologique de leur rédaction et publiés en
trois volumes : Les cahiers de 1943, les cahiers de
1944 et les cahiers de 1945 à 1950. Son œuvre compte
aussi une Autobiographie rédigée à la demande de son
confesseur ,
des Leçons sur l'épître de saint Paul aux Romains, et le Livre
d'Azarias, commentaires des textes de la messe donnés, selon Maria Valtorta,
par son ange gardien.
Maria Valtorta assure rapporter ce qu'elle voit et entend. Selon l'éditeur,
tout en gardant le lit et malgré ses souffrances,
elle écrivait de sa propre main et d'un seul jet, à n'importe quelle heure du
jour ou de la nuit.
« Les seuls livres qu'elle pouvait consulter étaient la Bible et le
Catéchisme de Pie X ».
Maria Valtorta précise ce qu'elle appelle son « travail » :
« écrire sous la dictée ou décrire ce qui se présente à moi. S'il s'agit
de dictée et qu'elle se rapporte à un passage de la Bible, Jésus commence par
me faire ouvrir le Livre au passage qu'Il veut expliquer. […] Si c'est la
vision qui se présente, comme je l'ai dit, avec une image initiale qui est
généralement le point culminant de la vision, et puis se déroule en suivant
l'ordre […] je décris ce point, puis ce qui précède et ce qui suit ».
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Le pape Pie XII a reçu en audience
spéciale le père Romualdo Migliorini, confesseur de Maria Valtorta, et le père
Corrado Berti, son confrère, accompagnés de leur prieur le père Andrea M.
Cecchin. L'Osservatore
Romano du 27 février 1948 mentionne cette audience, mais n'en révèle pas
la teneur comme d’usage.
Selon L'Osservatore Romano en date du 6 janvier 1960 l’ouvrage aurait
été examiné par le Saint-Office qui en aurait interdit la publication peu
après l’audience. L’article mentionne en effet des souvenirs d’« il y a
environ dix ans, alors que circulaient certains textes dactylographiés
volumineux, qui contenaient de prétendues visions et révélations. On sait
qu’alors l’autorité ecclésiastique compétente avait défendu l’impression de
ces textes dactylographiés et avait ordonné qu’ils soient retirés de la
circulation ».
Cependant, depuis cette époque, on n’a jamais trouvé aucune trace écrite
d’une telle interdiction ni dans les Actes
officiels du Saint-Siège, avant la mise à
l’Index de 1959, ni dans d’autres documents officiels ou officieux du
Vatican. Son contenu, ses motivations et la date exacte demeurent inconnus.
Seule une attestation sous serment du père C. Berti relate une altercation
avec deux commissaires du Saint-Office en 1949, sans préciser le mois. L’un des
commissaires impliqués, Mgr Giovanni Pepe, fut démis de ses fonctions en août
1952 par Pie XII pour avoir, sans son consentement, mis à l’Index des livres
parlant du Padre Pio.
Selon les affirmations du père Berti, ce commissaire aurait tenté, en dehors
de toutes procédures habituelles,
de détruire l’œuvre de Maria Valtorta.
Dans cette même attestation le Père Berti affirme sous serment avoir reçu de
Pie XII, en conclusion de l’audience du 26 février 1948, un encouragement à
publier l’œuvre de Maria Valtorta, dont il avait personnellement pris
connaissance, en ces termes : « Publiez l’œuvre telle quelle, qui
lira comprendra », termes notés par les trois témoins dès leur sortie de
l’audience. Pour Mgr
Édouard Gagnon cet imprimatur devant témoins est parfaitement valide. Pour Mgr René
Laurentin, contemporain de cette période en tant qu’expert au concile Vatican
II, l’encouragement de Pie XII est établi.
Le Poème de Jésus, titre du
premier volume, et Le Poème de l'Homme-Dieu, titre des
trois volumes suivants, sont publiés à partir de 1956 par un imprimeur, Michele Pisani. Cet ensemble de textes sera publié en
français sous le titre de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé.
Le quatrième tome paraît en 1959, au début du pontificat de Jean XXIII.
L'ouvrage est mis à
l'Index le 16 décembre 1959 (avec publication du
décret le mardi 5 janvier 1960) par le Saint-Office. Le décret de mise à l'Index, signé par le notaire Massala
est commenté le lendemain 6 janvier 1960 par L'Osservatore Romano,
l'organe de presse du Vatican.
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Sous le titre « Une Vie de
Jésus mal romancée », L’article
motive la mise à l’Index par le défaut d’imprimatur. Motif
disciplinaire, mais non théologique, qu’il réitère en fin d’article.
Puis le rédacteur conteste la valeur littéraire des quelques 4 000 pages
de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé. Il s'étonne des propos
des éditeurs, qui comparent l’auteur à Dante.
Il justifie « cette espèce d'histoire romancée » par « la longueur
des discours attribués à Jésus et à la très sainte Vierge; et les
interminables dialogues entre de nombreux personnages qui peuplent ces
pages. ». Il oppose les quatre Évangiles qui nous présentent « un
Jésus humble et réservé » à celui de cette œuvre « loquace au
maximum, presque sur un ton publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie
et Fils de Dieu, et à donner des leçons de théologie dans les mêmes termes
que ceux qu'emploierait un professeur de nos jours. »
De même, il oppose « l'humilité et le silence de la Mère de
Jésus », que l'on trouve dans l’Évangile, à l'ouvrage de Maria Valtorta,
où « la Très Sainte Vierge a la faconde d'un
propagandiste d'aujourd'hui » et où elle apparaît omniprésente,
« toujours prête à donner des leçons de théologie mariale qui suivent
les développements les plus récents des spécialistes actuels en la
matière ».
Il note que « les
spécialistes des études bibliques y trouveront certainement beaucoup
d’erreurs historiques, géographiques et autres. » mais il n’en cite
aucun exemple.
« Au milieu d’un si grand étalage de connaissances théologiques »,
il note « quelques perles qui ne brillent certes pas par leur orthodoxie
catholique ». Il en énumère quatre.
- « Ici et là s’exprime, au sujet du péché d’Adam et Ève, une opinion
plutôt extravagante et inexacte », mais il ne précise ni quoi, ni où.
- « Marie peut-être appelée seconde-née du Père ». Selon le
commentateur, les précisions fournies évitent l’hérésie, mais laisse
l’impression qu’on veut fonder « une nouvelle mariologie dépassant les
bornes théologiques ». Il venait de reconnaître pourtant que la
théologie mariale suivait « les développements les plus récents
des spécialistes actuels en la matière ».
- Une affirmation
« hermétique et plus confuse que jamais » sur la Vierge Marie, le
Paradis et la Trinité.
- Une « affirmation étrange et imprécise » : « Pendant le
temps que tu resteras sur la Terre, c'est toi qui seconderas Pierre comme
hiérarchie ecclésiastique. »
Dans les dernières pages du quatrième et
dernier volume, le commentateur remarque : « L'auteur se révèle…
une femme et écrit qu'elle a été témoin de tout le temps messianique, et
qu'elle s'appelle Marie (Valtorta). » Le patronyme est déduit par le
commentateur mais non mentionné dans le texte original.
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En 1961, commence à sortir une seconde
édition qui allait comporter 10 volumes. L'Osservatore Romano du 1er
décembre 1961 publie un article étendant à la seconde édition la prohibition
de la première. Le motif
demeure le défaut d’imprimatur. La décision exposée ne se réfère à aucune autorité
de l’Église comme il est pourtant d’usage. Le journal est en effet un organe
autorisé, mais « n’a pas de valeur officielle » intrinsèque
Le 14 juin 1966, l'Index est
aboli : il « n’a plus force de loi ecclésiastique avec les censures
qui y sont attachées ».
Le cardinal Alfredo Ottaviani, désormais Pro-préfet de la Congrégation pour
la doctrine de la foi, précise que si la dissolution de l'Index lève la
prohibition sur tous les ouvrages concernés, ce que confirme le décret d’interprétation
du 15 novembre 1966, l'Index n'en garde pas moins sa
force morale « d’avertissement » à la conscience, et non plus
d’interdiction.
« C’est pourquoi l’Église fait confiance à la conscience mûre des
fidèles » affirme la notification qui délègue aux évêques et à leurs
conférences, le soin d’éclairer les fidèles.
En 1973, Le Père Gabriele M. Roschini
publie La Vierge Marie dans l’œuvre de
Maria Valtorta.
Il déclare en préambule qu’« aucun autre écrit marial, pas même la somme
de tous ceux que j'ai lus et étudiés, n'avait été en mesure de me donner sur
Marie, chef-d'œuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi
complète, aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime,
que les écrits de Maria Valtorta. ». Il fait parvenir un exemplaire de
son ouvrage à Paul VI. Le 14 janvier 1974 la Secrétairerie d’État, la plus
haute instance du Vatican, le remercie au nom du Souverain-Pontife pour
« le précieux travail » en exprimant l'espoir que ses efforts
recueillent des fruits spirituels abondants.
Le 19 mars 1975, l’imprimatur,
qui avait motivé la mise à l’Index de l’œuvre de Maria Valtorta, est réformé.
Désormais les œuvres telles que la sienne échappent à l’obligation
d’imprimatur. L’autorité des évêques et de leurs
conférences est confirmée.
Le 19 septembre 1975, Mgr Ottavio Michelini, un mystique italien, aurait reçu
de Jésus cette affirmation : « J'ai dicté à Maria Valtorta,
âme-victime, une œuvre merveilleuse. De cette œuvre, Je suis l'auteur. »
Le 31 janvier 1985 dans un courrier adressé au cardinal Siri,
archevêque de Gênes, le cardinal Joseph Ratzinger, Préfet de la Congrégation
pour la doctrine de la foi depuis le 25 novembre 1981, estime que leur
diffusion ne serait pas « opportune » en
raison « des dommages qu'une telle publication peut causer aux fidèles
les plus naïfs ». Mais il laisse le cardinal Siri libre de la réponse à apporter.
En mars 1992, sept évêques de l’Inde, dont quatre archevêques et deux Pères
conciliaires de l’Église catholique syro-malabare,
saluent la sortie de l’œuvre de Maria Valtorta en langue locale du sud, le malayalam.
Le 6 mai 1992, Mgr Dionigi
Tettamanzi,
secrétaire général de la Conférence épiscopale italienne, demande à l'éditeur
de l'ouvrage « qu'à l'occasion d'une éventuelle réimpression des
volumes, il soit clairement dit, dans les premières pages, que les visions et
dictées qu'ils relatent ne peuvent pas être considérées comme d'origine
surnaturelle, mais doivent être considérées simplement comme les formes
littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de
Jésus. »
François-Michel
Debroise note que la formule employée n’est pas l’affirmation « ne sont
pas d’origine surnaturelle », mais la directive « ne doivent pas
être considérées comme ». Formule qu’il juge conforme aux usages de
l’Église pour laquelle les révélations privées ne sont crédibles que de
« simple foi humaine et non divine ».
En août 1992, le père Roman Danylak de l'Église grecque-catholique
ukrainienne du Canada, théologien et docteur en droit canonique, publie un
long article dans lequel il réfute les critiques formulées, à l’époque, à
l’encontre de l’œuvre de Maria Valtorta et démontre son point de vue
favorable à l’œuvre.
Le 11 octobre 1992, le Catéchisme de
l’Église catholique confirme que les
révélations privées n’appartiennent pas au dépôt de la foi et renouvèle sa
confiance dans le jugement des fidèles. Le rôle de ces révélations privées
« n’est pas d’améliorer ou de compléter la Révélation définitive du
Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de
l’histoire. Guidé par le Magistère de l’Église, le sens des fidèles sait
discerner et accueillir ce qui dans ces révélations constitue un appel
authentique du Christ ou de ses saints à l’Église. »
Le 11 mai 1993, Mgr Raymond Boland, évêque de
Birmingham en Alabama,
répond à une question de Terry Colafrancesco,
fondateur d’un groupe de prière nommé Caritas,
en se référant à une lettre qu’il a reçu du cardinal Ratzinger.
Il en reprend les termes concernant l’œuvre de Maria Valtorta :
« qu’il soit clairement indiqué à partir de la première page que les
visions et les dictées auxquelles on se réfère ne sont que les formes
littéraires utilisées par l'auteur pour narrer à sa façon la vie de Jésus.
Elles ne peuvent être considérées comme d'origine surnaturelle. » Il
mentionne les fondements de cette conclusion invoqués par le Saint-Siège ,
c’est-à-dire les notes publiées par l’Osservatore
romano et la demande transmise à l’éditeur par la conférence épiscopale
italienne. Il s’agit donc de la confirmation d’éléments connus.
Le 23
avril 1996, le père Giandomenico Mucci, répond au nom du directeur de La Civiltà Cattolica
à un lecteur s’interrogeant sur la mise à l’Index de Maria
Valtorta : L’Index n’a plus de valeur juridique dans l’Église. Il
signale une orientation mais c’est à la conscience de décider. Dans le cas du
lecteur, il juge évident que la lecture de Maria Valtorta ne constitue pas un
danger pour sa foi, mais au contraire, la fortifie.
La Civiltà Cattolica est considérée comme une revue
semi-officielle du Saint-Siège.
En 1999,
le Père Yannik Bonnet, alors en formation à Rome, affirme dans un entretien
donné ultérieurement à Radio Notre-Dame, que le cardinal Stanislas Dziwiz, secrétaire de Jean-Paul II lui avait certifié
avoir vu plusieurs fois les œuvres de Maria Valtorta sur la table de chevet
du Souverain Pontife.
Le 24 juin 2001, Mgr Roman
Danylak, devenu entretemps administrateur apostolique de l’Église
grecque-catholique ukrainienne pour l’est canadien, atteste de la parfaite conformité
de l'œuvre avec « les Évangiles canoniques, la Tradition et le Magistère
de l’Église catholique ».
Le 13 février 2002, il encourage officiellement la consultation d’un site
d’un moine catholique qui publie l’œuvre de Maria Valtorta et réaffirme la
conformité de celle-ci à la foi catholique. À cette occasion, il mentionne
que le cardinal Ratzinger « en lettres privées, a reconnu que ce travail
est exempt d'erreurs de doctrine ou de morale », mais il ne précise pas
ces sources privées.
Le 27 avril 2007, les évêques chinois, en préparation d’un synode sur La Parole de Dieu dans la vie et la
mission de l’Église, formulent le vœu que les œuvres de
Maria Valtorta puissent continuer à être traduites dans leur langue pour
aider le peuple de Dieu à apprécier le message évangélique.
Le 21 avril 2012 à N.D. de Guadalupe à Mexico, le cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation pour les causes des
Saints, représentant le pape Benoît XVI, béatifie Mère María Inés Teresa
Arias Espinosa qui se disait
« friande » de l’œuvre de Maria Valtorta.
Le 19 juillet 2001, une religieuse de sa congrégation, sœur Maria Uranga, confirme à l’éditeur que leur fondatrice avait
fait distribuer l’œuvre de Maria Valtorta dans chacune des 35 maisons qu’elle
avait fondé, « parce qu’elle l’aimait beaucoup ». Elle l’avait
aussi distribué à des prêtres et à des évêques.
Le 29
septembre 2012 à Acireale en Sicile, le cardinal Angelo Amato, toujours au nom du pape Benoît XVI,
béatifie le Père Gabriele Allegra, traducteur de la Bible en chinois. Il
avait écrit dans son journal à la date du 26 août 1968 : « Dons de
la nature et dons mystiques harmonieusement conjugués expliquent ce chef
d’œuvre de la littérature religieuse italienne et, devrait-on dire, de la
littérature chrétienne mondiale. »
Le 3 janvier 2015, Mgr Leo
Maasburg, directeur national des Œuvres Pontificales Missionnaires en
Autriche et confesseur de Mère Teresa pendant 4 ans publie une attestation
selon laquelle Mère Teresa de Calcutta emmenait l’œuvre de Maria Valtorta
dans ses déplacements. À la question du Père Maasburg, elle avait
répondu : « lisez la ».
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En 1985, Emilio Pisani,
fils de Michele Pisani, premier éditeur de Maria
Valtorta, crée une société privée ad hoc, le Centro
Editoriale Valtortiano (CEV). Les statuts du CEV indiquent que la
société a pour « vocation spécifique et prioritaire de développer,
documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de
ses écrits, de ses idéaux, au moyen de l'impression et de la vente de ses
œuvres littéraires ».
Depuis
cette époque, la société éditrice de sept salariés ne vit que d’un seul
auteur et des publications s’y rapportant. Mais en 2010, l’activité a été
scindée en société éditrice marchande d’une part, et d’autre part en une fondation
de droit italien exclusivement consacrée au développement du patrimoine
intellectuel issu de Maria Valtorta.
Dans ce cadre, le CEV, puis la Fondazione ont réuni les déclarations, textes,
articles, lettres provenant de différentes sources, en faveur ou en défaveur
de l’œuvre de Maria Valtorta et les ont publiés principalement dans Pro e contro
Maria Valtorta, déjà cité.
Il y font état du soutien de plusieurs ecclésiastiques de haut
rang à l’œuvre de Maria Valtorta, avant et après sa mise à l'Index.
Les soutiens antérieurs à la mise à l’Index, sont attestés par l’Osservatore romano du 6 janvier
1960. Dans l’article commentant cette condamnation, il mentionne qu’elle a eu
lieu « malgré les personnalités illustres (dont l'incontestable bonne
foi a été surprise) qui ont apporté leur appui à la publication ». Parmi
ces personnalités qui, le 29 janvier 1952, joignirent leur soutien écrit à
une supplique à Pie XII, on trouve
notamment :
- Mgr Alfonso Carinci, secrétaire de
la Congrégation pour les Rites sacrés en charge notamment de la cause des
saints. Il est le signataire de la supplique. Dans l’attestation qu’il joint,
il déclare, après avoir longuement étayé son jugement, vouloir remercier le
Seigneur « de nous avoir donné par l'intermédiaire de cette femme qui a
tant souffert, qui est clouée au lit, une œuvre littérairement sublime,
doctrinalement et spirituellement si élevée ». Il
entretint par la suite une correspondance suivie avec Maria Valtorta de 1949
à 1955.
- Le Père Augustin Bea, alors directeur de l'Institut Biblique Pontifical et
confesseur de Pie XII. Dans son attestation, il déclare
avoir lu plusieurs fascicules de l'ouvrage écrit par Maria Valtorta. Il
qualifie cette lecture « d’édifiante ». Il s’est attaché
« plus particulièrement aux domaines exégétique, historique,
archéologique et topographique. Pour ce qui est de son exégèse, je n'ai pas
trouvé d'erreurs importantes dans les fascicules que j'ai examinés. En outre,
j'ai été très impressionné par le fait que ses descriptions archéologiques et
topographiques sont faites avec une exactitude remarquable. ». À
l’époque de la mise à l’Index, c’était un cardinal particulièrement impliqué
dans la préparation du concile.
- Maître Camillo Corsanego, diplômé de droit canon et Doyen des
conseillers consistoriaux, chargés de l’instruction des causes de
béatification et de canonisation. Il est le seul laïc à avoir assisté, à ce
titre, aux séances inaugurales du concile Vatican II. Dans son attestation de
janvier 1952, il assure avoir lu beaucoup d’ouvrages « apologétiques,
hagiographiques, théologiques et d’exégèse biblique ; mais je n'ai jamais
trouvé un ensemble de science, d'art, de piété et d'adhésion aux enseignements
traditionnels de l'Église comme dans l’Œuvre de Maria Valtorta traitant des
Évangiles ». Le 8 avril 1957, dans un mot accompagnant l’envoi des œuvres de
Maria Valtorta à un ami, il les qualifie de « destinées à laisser leur
marque dans l’histoire du christianisme »
- Mgr Maurizio Raffa (1906-1957), directeur du Centre romain de comparaison et de synthèse qu’il avait fondé en
1940. Le 30 janvier 1948, il est nommé membre de ce qui devient l’année
suivante le Conseil pontifical pour les
communications sociales. Dans son
attestation du 25 janvier 1952, il note que « pour écrire une seule partie de
l'œuvre (de Maria Valtorta), il faudrait être un auteur - qui n’existe pas
aujourd’hui - tout à la fois grand poète, bibliste talentueux, théologien
confirmé, expert en archéologie et en topographie, et profond connaisseur de
la psychologie humaine ». Par lettre du 22 juin 2009, le Mémorial de Yad Vashem a informé sa nièce
qu’il était retenu au titre de « juste parmi les nations ».
La supplique ne parvint jamais à Pie XII et fut interceptée par le
Saint-Office, ce qui explique que l’article de l’Osservatore romano, commentant la mise à l’Index, puisse s’y
référer.
Le 6 juin 1986, Mgr George Hamilton Pearce, archevêque
métropolitain des Fidji et Père conciliaire, écrit à l’éditeur que l’auteur
de l’œuvre de Maria Valtorta « ne peut être autre que l’Esprit Saint de
Dieu ».
Le 23 mars 2017, à l’occasion de la sortie de la nouvelle traduction
française de l’évangile tel qu’il m’a
été révélé, l’éditeur a fait le point sur la diffusion de l’œuvre, 60 ans
après la première publication. Selon lui, 4 millions de volumes auraient été
écoulés dans le monde. L’œuvre serait traduite en 27 langues.
Le père G.M. Roschini, fondateur
de l’université pontificale mariale Marianum, conclut ainsi son étude des
écrits de Maria Valtorta : « qui veut connaître la Sainte Vierge
(une Vierge en parfaite harmonie avec le magistère ecclésiastique, en
particulier avec le concile Vatican II, les Saintes Écritures et la Tradition
de l’Église) se doit de puiser à la mariologie valtortienne ! »
Mgr René Laurentin, prélat de Benoît XVI, conclut son étude comparative sur La vie de la Vierge Marie d’après les
révélations des mystiques : « Maria Valtorta émerge et se
recommande à bien des titres […] Sa vie de longue souffrance, vécue dans un
abandon total à Dieu, témoigne de sa sainteté. Elle ne s'éloigne en rien de
l'Evangile, ne le contredit nulle part, n'y ajoute pas des enseignements
étrangers et reste conforme à l'esprit de l'Évangile. […] Elle a recueilli
les plus larges ralliements au sommet dont celui de Pie XII qui l'a protégé
discrètement du Saint-Office »
Pour Jean Aulagnier, polytechnicien, la chronologie des 1.200 jours environ
de la vie publique de Jésus « au jour le jour », qu’il reconstitue
méthodiquement au terme de cinq ans d’études, à partir des écrits de Maria
Valtorta, ne peut humainement s’expliquer. L’abondance des données comprises
dans ses visions exclut de même un simple hasard.
Les auteurs du Dictionnaire des
personnages de l’Évangile selon Maria Valtorta, s’interrogent :
« D'où lui viennent ces connaissances ? À la différence des autres voyantes
que nous avons examinées, le récit de Maria Valtorta semble confirmer qu'elle
avait une réelle vision de la vie du Christ il y a deux mille ans. Ces
convergences entre ses récits – apparemment les plus gratuits – et la réalité
historique, géographique, sociologique, zoologique, botanique, chronologique,
posent la question : Comment Maria Valtorta, sans culture, diplômes,
érudition, retrouve-t-elle les données les plus cachées d'il y a deux
millénaires ? Cela ne parait pas explicable par le hasard. »
Pour Jean-Marcel Gaudreault, « Quant à l’authenticité de l’œuvre (de
Maria Valtorta), les points qui militent en sa faveur sont si nombreux que
même les plus sceptiques auraient de la difficulté à monter un arsenal le
moindrement crédible pour les contrer d’une manière raisonnable. »
Jean-François Lavère, ingénieur, présentant le deuxième tome de L’Énigme Valtorta, souligne :
« Ayant mené personnellement cette étude quotidiennement depuis près de
vingt années, elle m'a bien souvent conduit à examiner les différentes
théories échafaudées au cours des siècles par les générations successives
d'érudits. […] Ma surprise fut immense, en constatant qu'en de multiples
occasions, le texte transmis par Maria Valtorta éclairait de façon
harmonieuse et fort logique un grand nombre de ces
sujets d'interrogations ou de controverses. […] Dans le premier tome de
l'Énigme Valtorta, je me suis efforcé de montrer que loin d'être une simple
fiction romanesque comme ont été tentés de le faire croire certains, l'œuvre
de Maria Valtorta comporte au contraire de très nombreuses informations
vérifiables et véridiques qui la rendent globalement à la fois cohérente et
crédible. Mon propos est maintenant d'examiner dans quelle mesure cette œuvre
s'insère harmonieusement dans les Écritures et la Tradition. »
Pour François-Michel Debroise, « Ces publications sont le début d’une
longue liste de travaux à venir, fondateurs d’une nouvelle exégèse
scientifique, tant les premières découvertes sont prometteuses. La
convergence des recherches qui se font de par le monde amplifiera les
résultats. Maria Valtorta n’avait aucuns moyens d’acquérir la vaste érudition
dont elle fait preuve. »
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Ne sont indiqués
que les œuvres disponibles en français. D’autres écrits demeurent inédits ou disponibles en italien.
* L'Évangile tel qu'il m'a été révélé
- 10 tomes – 4.856 pages – traduction française de 1979 – Éditions Centro
Editoriale Valtortiano – de ISBN 88-7987-051-3 à
ISBN 88-7987-060-2.
* L'Évangile tel qu'il m'a été révélé
- 10 tomes – 5.374 pages – traduction française de 2017 – Éditions Centro
Editoriale Valtortiano – de ISBN 88-7987-263-8 à
ISBN 88-7987-272-0 - Édition entièrement retraduite et augmentée de 500
pages.
* Autobiographie – 505 pages - 1993
- - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-011-4.
Autobiographie écrite à la demande de son confesseur, de février à avril
1943. Elle ne fut publiée qu’après sa mort.
* Leçons sur l'Epître de saint Paul aux
Romains – 2001 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN
88-7987-069-6. Commentaires de Jésus qu'aurait reçus Maria Valtorta : la
Création, la Grâce, la venue du Royaume de Dieu, la justice et de la
miséricorde de Dieu.
* Le livre d'Azarias – 2002 -
Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-094-7. Ce livre aurait
été dicté en 1946 et 1947 à Maria Valtorta par Azarias, son ange gardien. Il
comporte un commentaire théologique et spirituel des messes festives du
missel romain.
* Les Cahiers de 1943 – 2002 –
Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-091-2. Dictées
qu'aurait reçues Maria Valtorta sur divers sujets d'ascèse, d'exégèse, de
doctrine, incluant des descriptions des scènes évangéliques et du martyre des
premiers chrétiens.
* Les Cahiers de 1944 - 2003 -
Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-099-8. Suite du
précédent.
* Les Cahiers de 1945 à 1950 – 2004
- Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-128-5. Suite et fin
des précédents avec, au final, un commentaire de l’Apocalypse.
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Thèses
universitaires
* (it) L'Assunta alla luce della protologia e dell'escatologia nelle opere di Maria Valtorta - Alfredo Sturli
– 1988 - Université pontificale de théologie, Marianum, Rome.
* (it) La mistica femminile in étà contemporanea. La vicenda e gli scritti di Maria Valtorta - Gianna
Galzignato – 1993 - Faculté de lettres et de
philosophie, Padoue.
* (it) Valenza
formativa del dolore in Maria Valtorta - Tiziana Ferrari – 2005 -
Faculté de lettres et de philosophie de Cassino, Frosinone.
* (es) La immolacion
como la clave de comprension
y el nexo de union entre teologie
y vida mistica en las obras
de Maria Valtorta - Rubén Pineda
Esteban – 2010 - Faculté de théologie, Burgos.
Autres
travaux
Ne sont indiqués
que les œuvres disponibles en français.
* La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria
Valtorta – P. Gabriel M. Roschini O.S.M. – 1973 - Éditions Centro
Editoriale Valtortiano - ISBN
2-920285-01-7. Analyse par un mariologue reconnu,
fondateur de la faculté pontificale de théologie "Marianum" de
Rome.
* Maria Valtorta, qui es-tu ? -
Jean Aulagnier - 1992 - Éditions Résiac – ISBN
2-85268-219-2. Les raisons qui poussent l'auteur à croire dans l'œuvre de
Maria Valtorta. Annexes sur Marie d'Ágreda et Anne-Catherine Emmerich.
* Avec Jésus au jour le jour – Jean
Aulagnier – 1994 – Éditions Résiac – ISBN
2-85268-253-2. Reconstitution pas-à-pas, à la lueur des données de
calendrier, de l'agenda de Jésus dans l'œuvre de Maria Valtorta.
* Padre Pio et Maria Valtorta - Emilio
Pisani – 2000 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-073-4.
Courte biographie de Padre Pio en liaison avec la vie de Maria Valtorta et
tout ce qui les réunit.
* Valtorta et Ferri – recueil de
447 illustrations couleurs ou bichromie - 2006 - Éditions Centro Editoriale
Valtortiano – ISBN 88-7987-134-X - Lorenzo Ferri (1902-1975), peintre et
sculpteur était un spécialiste de l'art sacré et du Saint Suaire. Il a
travaillé avec Maria Valtorta sur ces illustrations, mais toutes n'ont pas pu
être validées par elle.
* La vie de la Vierge Marie d'après les
révélations des mystiques, que faut-il en penser ? - René Laurentin
/ François-Michel Debroise – 2011 – Editions Plon / Presses de la renaissance
– ISBN 978-2-7509-0653-5. Étude comparative des révélations de huit mystiques
dont Marie d’Ágreda, A.C. Emmerich et Maria Valtorta.
* L´énigme Valtorta - Jean-François
Lavère - 2012 - Éditions Rassemblement à Son Image – ISBN 978-2-36463-025-3 -
Bilan de dix ans de recherches, cette étude révèle l’immense érudition
contenue dans l’évangile tel qu’il m’a été révélé de Maria Valtorta.
* Dictionnaire des personnages de
l'Évangile selon Maria Valtorta - René Laurentin / François-Michel
Debroise / Jean-François Lavère - 2012 - Éditions Salvator – ISBN
978-2-7067-0961-6 - Ce dictionnaire confronte les descriptifs des 750
personnages des écrits de la mystique Maria Valtorta aux données de
l'Évangile et aux connaissances historiques les concernant.
* Les lois de l’univers divin –
Jean-Marcel Gaudreault – 2013 - Éditions Lumières nouvelles – ISBN
978-2-9813500-0-8. La théorie évolutionniste passée à la critique des données
scientifiques et des écrits spirituels dont ceux de Maria Valtorta.
* Saint Martial, apôtre des Gaules et de l’Aquitaine – David Gasseling – 2013 - Éditions Rassemblement à Son Image –
ISBN|978-2-36463-107-6. La vie de saint Martial d’après les visions de Maria
Valtorta et les traditions limousines.
* L´énigme Valtorta vol 2 -
Jean-François Lavère - 2014 - Éditions Rassemblement à Son Image –
ISBN|978-2-36463-186-1. L’auteur démontre que les fondements exégétiques des
visions de Maria Valtorta restaurent scientifiquement "la simplicité
évangélique" de l'Évangile.
* La Vierge des derniers temps -
René Laurentin / François-Michel Debroise - 2014 - Éditions Salvator – ISBN
978 2 7067 11510 - La Vierge des derniers temps prophétisée par Grignion de
Montfort (1673-1716), annonce le siècle de Marie. Ce sera le prélude, selon
lui, à un déluge du pur amour. Cette nouvelle pentecôte assurera le règne du
Christ dans le cœur de tous les croyants et verra se lever les apôtres des
derniers temps. Maria Valtorta actualise ces prédictions.
* Maria Valtorta et l'Eglise -
François-Michel Debroise - 2015 - Éditions Rassemblement à Son Image – ISBN 978-2-36463-071-0.
Quelle attitude avoir envers les visions et dictées de Maria Valtorta ?
* Maria Valtorta, visionnaire et
mystique pour notre temps - François-Michel Debroise - 2016 - Éditions
Maria Valtorta – ISBN 978-2-36463-459-6. Historique de l’œuvre de Maria
Valtorta, sa valeur théologique, exégétique, mystique et prophétique. Les
mérites de Maria Valtorta.
* Dictionnaire géographique de
l'Évangile d'après Maria Valtorta - Jean-François Lavère - 2017 -
Éditions Maria Valtorta – ISBN 978-2-36463-511-1. Notices de 220 villages, 50 édifices antiques et de
110 sites géographiques décrits dans l’œuvre de Maria Valtorta comparés aux
données historiques, géographiques, archéologiques et topographiques.
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Fondazione Maria Valtorta CEV [archive]
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Fiche mise à
jour le 14/02/2018.
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