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L'œuvre de Maria Valtorta
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Texte original


À la lumière fulgurante de son retour, les pécheurs contempleront les blessures du Christ.

 












235> Jésus dit :   

 "Lorsque je fais dire par la bouche du Bien-aimé que ‘même ceux qui me transpercèrent
[1]’ me verront, je ne fais pas allusion à ceux qui me transpercèrent il y a vingt siècles.      

Quand je viendrai
[2], sera venu le temps du triomphe de mon royaume. Je t’ai expliqué [3] ce que seront ce royaume et ses sujets. Ce sera le temps du témoignage de l’esprit, partie divine enfermée en vous qui vous rend semblables à Dieu et à son image. Par conséquent, ce sont les parties spirituelles qui seront en cause lors du jugement qui séparera les maudits des bénis [4]. Et parmi les maudits, il y aura ceux qui, avec leur esprit sacrilège qui a recherché la Bête, adoré la Bête et s’est prostitué avec la Bête, ont transpercé, dans les siècles, l’esprit divin du Fils de Dieu après avoir, à travers les souches de la chaîne maudite [5], transpercé les chairs du Fils de l’Homme.  

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236> Fils de l’Homme. As-tu jamais réfléchi au fait que dans ces mots se trouve la vérité expliquée hier ? Je suis, par ma lignée humaine, le Fils (premier-né) d’Adam.    

 Les légions de ceux qui m’ont transpercé sont nombreuses comme les grains de sable sur les plages de la mer. Ils ne se comptent pas. 

Tous les crimes, tous les péchés commis contre moi, qui suis désormais imperméable à la souffrance humaine, mais encore susceptible d’être blessé par les offenses à mon Esprit, sont consignés dans les livres qui rappellent les œuvres des humains.          

 Toutes les trahisons après mes bienfaits, toutes les abjurations, tous les dénis de la Vérité et les fautes contre elle, cette vérité que j’ai apportée, tous les péchés contre l’Esprit Saint qui a parlé par ma bouche et qui, par mon mérite, est venu éclairer la parole du Verbe, toutes ces blessures que m’a faites au cours des siècles la race que j’ai voulu sauver, tout en la sachant si rétive au bien, seront présents à l’intérieur des esprits rassemblés : dans la lumière resplendissante de mes éclairs, ils reconnaîtront ce qu’ils firent avec leur volonté obstinée à contester ce qui fut dit et fait par celui qui ne peut mentir, ni faire des œuvres sans utilité selon la loi de l’amour. 

Les négateurs de l’amour sont ceux qui m’ont transpercé et, avec moi, ont frappé Celui qui m’a engendré et Celui qui procède de notre amour de Père et de Fils. Tout jugement est remis au Fils, mais le Fils jugera aussi les fautes commises contre le Père et l’Esprit.  

 Le porteur de Vie, le Vivant éternel et l’éternel Immolé dont le monde voulut la mort, la mise à mort comme dans le cas d’un délinquant qui nuit — alors que j’étais le Saint qui pardonnait, le Bon qui faisait du bien, le Puissant qui guérissait, le Savant qui instruisait — est celui qui ouvrira les portes à la vraie mort et y introduira les corps et les âmes de ceux qui l’ont transpercé. Le porteur de la Vie que l’on vit au Ciel fermera les portes de l’Enfer sur le nombre intangible des maudits, lesquels ont préféré la Mort à la Vie.



Je le ferai parce que moi, Jésus Christ, Fils de Dieu, votre Seigneur et Sauveur, Juge éternel, j’ai les clés de la Mort et de l’Enfer."       

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Fiche mise à jour le 08/02/2019.

 



[1] Cf. Jean 19, 37 et Zacharie 12,10.

[2] À la fin des temps, pour le jugement dernier, mais Jésus l’inscrit dans la continuité de son royaume spirituel sur terre comme expliqué précédemment.

[3] Dans la catéchèse précédente du 16 août 1943.

[4] Cf. Matthieu 25, 31-46.

[5] Phrase sibylline. Phrase originale : nei capostipiti della serie maledetta.