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105.6 - Jésus dit :
"Vous placerez ici la troisième vision et la quatrième que vous avez eue
le 13 février 1944.
Comme tu le vois, Simon,
moins buté, s'est soumis, sinon complètement, au moins en partie à la justice
avec une sainte promptitude. Et il n'est pas devenu tout de suite mon
disciple et encore moins apôtre, comme tu l'as
nommé par ignorance il y a maintenant un an, mais au
moins spectateur neutre après cette rencontre pour la mort d'Alphée.
Protecteur aussi de sa mère
et de la mienne,
au moment où un homme devait les protéger et les défendre contre les
sarcasmes des gens. Pas assez courageux pour s'imposer à ceux qui me
traitaient de "fou"; encore beaucoup trop homme pour rougir un peu
de Moi, pour s'inquiéter des dangers de toute la famille à cause de mon
apostolat contraire aux sectes, mais il était déjà sur la bonne voie. Après
le Sacrifice, il sut y marcher de plus en plus assuré, jusqu'au point de me
confesser par le martyre. La Grâce
opère tantôt comme un coup de tonnerre, tantôt lentement. Mais elle agit
toujours là où se trouve la volonté d'être juste.
Va en paix. Sois en paix au milieu de tes souffrances. Voici que commence le
temps de préparation à la fête de Pâques et, pour Moi, tu portes la Croix. Je
te bénis, Marie de la Croix de Jésus".
Plus tard il dit :" Pas du tout. Avec une charité sans borne
et une prudence avisée, tu dois accueillir tout le monde. Se renfermer
serait exciter la curiosité. Repousser serait
contraire à la charité. Je te l'ai dit : ‘’Tu seras la ville qu'on
recherche’’. Tous ne viennent-ils pas avec une intention honnête ?
Qu'est-ce que cela fait ? Tu es prudente et cela suffit. Tu crains de
perdre du temps ? Et qui est le Maître du temps ? Moi. Et
alors ? Allons, allons sans peur, sans inquiétude, sans impatience. Tu
vois combien de fois je devais changer mon programme ? Et c'était Moi...
Paix, paix et charité avec tous. Et puis, en troisième lieu : c'était
prudence, et cela suffit".
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