"L'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
de Maria Valtorta

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Topographie, géographie, archéologie

Les points remarquables


 

Le Père François-Paul Dreyfus (o.p.), de l'École biblique et archéologique française de Jérusalem, avouait : "J’ai été très impressionné de trouver dans l’œuvre de Maria Valtorta le nom d’au moins six ou sept villes qui n’apparaissent ni dans l’Ancien ni dans le nouveau Testaments. Ces noms ne sont connus que par quelques rares spécialistes et grâce à des sources non bibliques" [1]

Nous ne savons pas à quels descriptifs il faisait référence.

Pour notre part, certains connaissances topographiques de Maria Valtorta nous ont surpris. Les voici (recensement en cours) :

Les connaissances remarquables en topographie  
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 Alexandroscène : longtemps introuvable. Localisé cependant grâce aux travaux de Jean-François Lavère, une autre chercheur spécialisé dans l'œuvre de Maria Valtorta.

 Bel Nidrash : en fait le Beth Midrash, une salle d'étude de la Torah et d'enseignement de la loi juive. On en fait remonter l'origine à la destruction du Temple (70 après J.C.). Selon Maria Valtorta cette salle est contemporaine du Christ. Elle en donne même la localisation dans le Temple.

 Carit (Kérith) : lieu où se réfugia le prophète Élie, à l'est du Jourdain. Le lieu décrit par Maria Valtora diffère de la vallée du Yabis. Cet autre lieu, homophone, est à l'ouest, près de Jéricho.

 Dalmanoutha : non localisé par les Évangiles. Ce lieu se situerait entre Magdala et Tibériade si on suit l'itinéraire donné par Maria Valtorta.

 Emmaüs : Maria Valtorta tranche dans le débat de certains exégètes sur une localisation trop éloignée de Jérusalem pour corroborer le récit des Evangiles. Pour elle, il y a deux Emmaüs (et même trois), parfaitement identifiés. Homophonie qui n'est pas une exception en Palestine.

 Emmaüs de Tibériade (Hamat Tibériade) : Maria Valtorta situe justement les sources d'eaux chaudes, connues de sources historiques, mais elle en décrit justement les effets curatifs ("...Paralytiques, arthritiques, ankylosés, atteints de fractures, dont les os ne se ressoudent pas, malades d'anémie, d'affections glandulaires, femmes flétries avant l'âge, enfants prématurément vieillis...") et décrit précisément les termes et la couleur de l'eau qui en jaillit. Ce que les recherches et expertises pourraient confirmer.

 Enon (Aenon) : dont la localisation, dans Maria Valtorta, ne correspond pas à la localisation traditionnelle : en Décapole, près de Bet Shean (Scythopolis), mais en Samarie, dans la région de Sichem.

 Fialé : dont la localisation n'a pu intervenir qu'après des analogies phonétiques et la captation d'un index de l'université de Cambridge.

 Gerasa : Ce n'est pas tant la localisation que le descriptif qui en est fait, qui surprend quand on connaît l'historique de ces fouilles.

 Sichem : Maria Valtorta lui attribue le surnom de Neapolis bien avant celui de Flavius Neapolis donné en référence à Vespasien. C'est de Neapolis que vient le nom de Naples puis de Naplouse que la ville a aujourd'hui.

 Tersa : Éphémère capitale du royaume du nord situé dans la vallée du Nahef Tirza (Faria) qui descend des montagnes de Samarie vers le Jourdain. Sa situation exacte demeure inconnue, mais les archéologues s'accordent à situer Tersa au nord-est de Sichem, sur le site de l'actuel Tell El-Farah. D'autres l'identifie à Ofra, plus au sud ou au site de El-Farah. Selon les indications de Maria Valtorta, ce serait ce dernier site, identifié (ou proche) à Furush Beit Dajan juste en face du gué d'Adam (Adamah) par lequel les hébreux sont entrés en Terre Promise.

Sans compter bien sûr les dizaines de localisations dont beaucoup ne peuvent se référer aux connaissances usuelles, même si elles peuvent être définies à l'aide de recherches Internet.

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Fiche mise à jour le 05/05/2010

 



[1] Lettre au Centro Editoriale Valtortiano (1986)