L'œuvre de Maria Valtorta |
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Index des "Cahiers" >> Sommaire de mai 1947. Traduction automatique de cette fiche : Catéchèse
du lundi 5 et du jeudi 8 mai 1947. Une
pluie de roses sur le monde Chaque Ave du Rosaire est une grâce pour le monde
Marie distribue, dans le Rosaire, les mérites du Rédempteur
La joie d’accomplir la volonté de Dieu en multiplie le
mérite par cent La
façon dont Marie récite le Rosaire Marie à
Lourdes et à Fatima |
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Le 5 mai 1947. 386> Notre-Dame de Fatima. Le 8 mai 1947. En
m’apparaissant comme elle le fait, Notre-Dame de Fatima me dit : |
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388> Celle de Lourdes regarde le ciel... on dirait
qu’elle désire y retourner, se perdre en Dieu: elle est l’Immaculée
Conception, la Femme du ciel. Celle de Fatima nous regarde, nous, elle
regarde la pauvre terre où elle était femme comme toute autre créature et
dont elle connaît les tristesses et les besoins, cette pauvre terre qui a un
tel besoin d’elle, et elle est toute pitié pour nous: elle est notre Mère,
c’est le cœur de Marie qui nous aime et nous surveille... La première est
tournée vers le Seigneur et vers les anges. Mais celle de Fatima est tournée
vers nous, les pécheurs. Elle prie pour nous... Elle est vraiment la
"Maman" toute pure et très compatissante... |
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[1] Dans un entretien du 26 décembre 1957, sœur Lucie de Fatima confie
au père Fuentès : "La très sainte Vierge,
en ces derniers temps que nous vivons, a donné une efficacité nouvelle à la
récitation du Rosaire ; de telle façon qu’il n’y a aucun problème, si difficile
soit-il, temporel ou surtout spirituel, se référant à la vie personnelle de
chacun de nous, de nos familles, des familles du monde ou des communautés
religieuses, ou bien à la vie des peuples et des nations ; il n’y a aucun
problème si difficile soit-il, que nous ne puissions résoudre par la prière du
saint Rosaire. Avec le saint Rosaire nous nous sauverons, nous nous
sanctifierons, nous consolerons Notre-Seigneur et obtiendrons le salut de
beaucoup d’âmes."
[2]
Saint Alphonse de Liguori, docteur de l’Église
(1696-1787), reprenant la tradition antérieure, résume ainsi le rôle de Marie
"pleine de grâces" : Marie n’en est pas la source, mais le canal
de ces grâces. (Les gloires de Marie, chapitre V : Marie, notre médiatrice, § 1
: Que l'intercession de Marie nous est nécessaire pour nous sauver.).