L'œuvre de Maria Valtorta |
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1945 Traduction automatique de cette fiche : Catéchèse du mardi 2 janvier 1945. |
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7> Je n’ai
pas de vision particulière. Mais à l’aube, alors que je récite le rosaire —
les mystères douloureux puisque nous sommes mardi [1]—, Jésus
me représente de nouveau ses souffrances des quatre premiers mystères. Toute
la torture de Gethsémani, de la flagellation, toujours atroce -- je dirais
même que, plus on la regarde, plus elle paraît atroce --, du couronnement
d’épines [2] défile
devant mes yeux, et cela me fait souffrir des souffrances de Jésus [3]. |
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[1] Selon un usage courant, la récitation
du Rosaire peut être étalée sur la semaine : Lundi et jeudi, mystères
joyeux – Mardi et vendredi, mystères douloureux – Mercredi, samedi et dimanche,
mystères glorieux. Le Pape Jean-Paul II, en introduisant les mystères lumineux,
en a recommandé la méditation le jeudi en décalant les mystères joyeux au
samedi (Rosarium Virginis
Mariae, § 38).
[2] La vision de l’agonie du
Gethsémani ne sera décrite que dans la nouvelle vision du 16 mars 1945 (EMV 602). Celle de la flagellation et du
couronnement d’épines le seront au 22 et 25 mars (EMV 604).
[3] Cette participation à la
Passion, marque de la corédemption, fut plusieurs fois le lot de Maria Valtorta
comme de nombreux mystiques. Elle reçut les stigmates invisibles le 30 mars
1934, jour du Vendredi saint, comme elle le rapporte dans son autobiographie à
la page 380.