Dans
"l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
Noces
de Cana : L’eau
changée en vin. Au mariage
de Suzanne, parente de la famille 2.14
"Ce devait être un grand vin celui-là !" souvenirs
des noces de Cana évoqués à Béthanie, le soir de l'onction 8.47
Parabole du
roi
qui fait les noces à son fils , à Béthanie (Matthieu 22,01-14 – Luc 14,16-24) :
richesses et ripailles empêchent d’entrer dans le Royaume des Cieux 3.68.
Dans
les autres ouvrages de Maria Valtorta
Indication
des sources à venir.
Dans
les textes fondamentaux chrétiens
Dans
la Bible : Chant
pour les noces d'un roi (Psaume
45(44)
Dans
le catéchisme de l'Église catholique : Pas
d'indication sur les noces comme rite de fête, mais commentaires bien
sûr sur le mariage. (1613)
Dans
d'autres sources
Noces
de Cana : Extraits de "Jésus en son temps" Daniel-Rops - éd.
Arthème Fayard - 1944 - p. 195 "Les noces en pays juif, étaient
marquées de cérémonies et réjouissances en grand nombre : elles
duraient de trois à huit jours suivant la fortune des époux. Celles
auxquelles venait assister Jésus devaient être de gens bien établis, si
l'on en juge aux quantités d'eau prévues pour les ablutions rituelles et
à la présence d'un "maître du festin", c'est-à-dire d'un
majordome. Commencées le mercredi, jour ordinaire du mariage des vierges,
elles devaient certainement durer au moins jusqu'au prochain sabbat. La
mariée une fois amenée en chaise à porteurs au lieu de son nouveau
domicile, le vase rituel brisé sous le dais, les serments échangés à
l'ombre du voile nuptial, les plaisirs de la table avaient commencé.
Sobres, à l'ordinaire, les Juifs, en de telles occasions, aimaient le
faste et presque l'excès. Les plats lourds, coulant de graisse, viandes
et gibiers, poissons farcis, se succédaient longuement. Dans presque tous
se retrouvait l'oignon, base de la cuisine d'Israël, depuis le séjour en
Égypte, au temps de Joseph. On buvait beaucoup. En hébreu, banquet et
beuverie s'emploient comme synonymes, sans nulle nuance péjorative. Les
crus de Palestine sont excellents, hauts en degrés d'alcool, et la vigne
est une plante si aimée, si usuelle, que Jésus lui empruntera maints de
ses symboles.
Or,
quelque temps de la fête écoulé, le vin manqua; Le maître avait mal
pris ses dispositions. Jésus, qui participait
au festin, parmi les convives étendus sur les lits de la salle, vit venir
à lui Sa mère. "Ils n'ont plus de vin". …Dans l'entrée de
la maison il y avait six urnes de pierre destinées aux ablutions
rituelles : chacune contenaient deux ou trois mesures. La
"mesure", bath chez
les juifs, correspondant à environ quarante litres, les six vases
devaient faire ensemble six ou septe cent litres !"
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