L'œuvre de Maria Valtorta
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Texte original.


TEXTES DE LA MESSE.
Missel de saint Pie X en usage à l’époque[1].

FÊTE DE LA TRÈS SAINTE TRINITÉ.

Introït :
Bénie soit la Trinité sainte et l’indivisible Unité ; nous lui rendons gloire, car elle a exercé envers nous sa miséricorde. Ps/ Seigneur, notre souverain Maître, que votre nom est admirable dans toute la Terre ! Gloire au Père …
Psaume 8, 2. ;Tobie 12, 6.

Collecte : Dieu tout puissant et éternel, qui par la confession de la vraie foi, avez donné à vos serviteurs de reconnaître la gloire de l’éternelle Trinité, et d’adorer l’Unité dans la puissance de votre Majesté ; faites, s’il vous plaît, que, par la fermeté de cette même foi, nous soyons toujours armés contre toute adversité. Par N.S.J.C…

Épître : Romains 11, 33-36.  

Graduel : Vous êtes béni, Seigneur, vous dont le regard scrute les abîmes et qui êtes assis sur les Chérubins. Vous êtes béni, Seigneur, au firmament du ciel, et digne de louange à jamais. Daniel 3, 55-56.

Alléluia : Vous êtes béni, Seigneur, Dieu de nos pères, et digne de louange à jamais.
Daniel 3, 52.

Évangile :
Matthieu 28, 18-20.

Offertoire : Béni soit Dieu le Père, et le Fils unique de Dieu, et aussi le Saint Esprit ; car il a exercé sur nous sa miséricorde. Tobie 12, 6.

Secrète : Nous vous en prions, Seigneur notre Dieu, sanctifiez, par l’invocation de votre saint Nom, cette hostie que nous vous offrons, et par elle, achevez de nous rendre une offrande éternellement digne de vous. Par N.S.J.C…

Communion : Bénissons le Dieu du ciel, et rendons-lui gloire devant tout être qui a vie, car il a exercé envers nous sa miséricorde. Tobie 12, 6.

Postcommunion : Que la réception de ce sacrement profite au salut de notre corps et de notre âme, Seigneur notre Dieu ; et aussi notre profession de foi en la sainte et éternelle Trinité et en son indivisible Unité. Par N.S.J.C…

PREMIER DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE.

Introït :
Psaume 12 (Hébreu 13), 6.1.

Collecte : O Dieu, force de ceux qui espèrent en vous, écoutez favorablement nos prières ; et puisque la faiblesse des mortels ne peut rien sans vous, accordez-nous le secours de votre grâce, afin qu’en obéissant à vos commandements, nos intentions et nos actions vous soient agréables. Par N.S.J.C.

Épître : 1 Jean 4, 8-21.

Graduel :
Psaume 40 (Hébreu 41), 5.2.

Alléluia :
Psaume 5, 2.

Évangile:
Luc 6, 36-42.

Offertoire:
Psaume 5, 3-4.

Secrète : Accueillez avec indulgence, nous vous en supplions, Seigneur, les hosties que nous vous offrons, et par elles, faites descendre sur nous votre perpétuel secours. Par N.S.J.C.

Communion : Psaume 9, 2-3.

Postcommunion : Rassasiés de biens si précieux, faites, s’il vous plaît, Seigneur, que nous profitions de ces dons salutaires, et ne cessions jamais de vous louer. Par N.S.J.C. "

 


















Le dimanche 16 juin 1946.

142> Azarias dit : 

 "J'ai ordre de t'expliquer les deux saintes messes de ce glorieux dimanche. Contemplons-les ensemble.     

Nous avons déjà contemplé et honoré le Père qui resplendit dans les œuvres du Fils rédempteur, qui fut tel parce que Dieu le Père l'a permis par un acte d'infinie bonté. Nous avons déjà contemplé et honoré le Fils au sommet de sa perfection d'Homme-Dieu qui meurt, qui ressuscite et remonte au Père après avoir tout accompli. Nous avons déjà contemplé et honoré l'Esprit Saint depuis le commencement de ses œuvres jusqu'à sa parfaite et complète épiphanie[2] de la Pentecôte.

Aujourd'hui, contemplons et adorons les trois adorables Personnes réunies. Ainsi commencera une préparation à la fructueuse compréhension de la venue du Verbe sur terre et de ses saintes paroles.  

L'année liturgique ne commence pas aujourd'hui. Nous le sa
vons bien. Elle a débuté avec l'Avent. Mais, comme pour préparer la venue du Seigneur il s'est passé des siècles au cours desquels les patriarches et les prophètes furent les maîtres de cette préparation, de même je veux que tu considères les nombreux dimanches entre la Pentecôte et l'Avent comme une préparation de l'année liturgique.

Ce sont des dimanches de sagesse. Vraiment, l'Esprit Saint les
pénètre tous et agit comme un Maître pour préparer les hommes à la sainte venue du Messie, de sorte que lorsque sa nativité sera commémorée, elle le soit avec un amour robuste et actif, et non pas seulement avec une affection superficielle, sentimentale et inutile pour le Nouveau-Né.

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143>  
En ce Nouveau-Né est déjà présent le futur Rédempteur qui mourra couvert de plaies sur la croix après s'être fatigué à évangéliser et à subir mortifications et souffrances. En connaissant le Christ pour ce qu'il est réellement, on parvient à comprendre Noël pour ce qu'il est réellement.

Dieu est éternité, c'est pourquoi il est continuité. Il n'y a pas de fracture dans ses œuvres. L'une engendre l'autre, tout comme les trois Personnes divines procèdent l'une de l'autre. La sainte Trinité a imprimé son sceau et sa ressemblance sur ses actions. Par conséquent, elles sont uniformes et multiformes, mais jamais scindées ni interrompues. Elles forment une inextinguible chaîne d'amour, infinie et éternelle, parce que tout ce que fait Dieu est amour, une chaîne qui se déroule au fil des ans et des siècles sans interruption. Il en est de même de l'année liturgique qui est une chaîne dont une partie engendre la suivante, et il n'y a pas de terme parce que chacune de ses parties a pour raison d'être de préparer la suivante.     

Glorifions le Seigneur pour le magnifique déroulement de ses temps qui se reflète dans le petit temps de l'année liturgique. Et progressons dans sa connaissance après le juste hommage rendu à la Trinité parfaite.

 Le saint patriarche s'exclame, et la liturgie fait siennes les paroles du juste : "Bénissez le Dieu du ciel et louez-le devant les vivants, parce qu'il vous a fait miséricorde[3]." La phrase initiale se change, dans la spécification liturgique, en : "Très sainte Trinité et indivisible Unité" et, plus loin, en précisions sur les trois Personnes pour confirmer le dogme sublime jamais suffisamment contemplé, médité, aimé, de l'Unité et de la Trinité de Dieu. Mais l'essence de l'invitation est celle-ci : "Proclamez courageusement jusque face aux ennemis de Dieu ou face à ceux qui, bien qu'ils ne le combattent pas, sont froids ou apathiques envers la divinité, ou encore croient qu'il s'agit d'un mythe venu du besoin de l'homme de croire en quelque chose, proclamez que Dieu est, qu'il est à l'œuvre parce qu'il est, et qu'il est toute miséricorde en ses œuvres."        

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144>
Cette humble et sainte prédication est à la portée de tout croyant. Il n'y a pas d'ignorance, aussi profonde soit-elle, qui interdise à tout croyant de prêcher Dieu et sa miséricorde. Ce ne sont pas seulement les discours savants ni les œuvres éclatantes qui prêchent Dieu. Pour pénétrer profondément même chez celui qui ne connaît pas et ne veut pas connaître Dieu, il y a la foi simple, inébranlable, sereine jusque dans la douleur, sa profession par les œuvres toutes de paix, d'espérance, de charité et de résignation, la foi que Dieu est miséricordieux et que, de lui, il ne peut venir que du bien.

 Combien de créatures qui ne savent rien de la science, ou qui sont isolées par la maladie, pauvres, affligées par la misère physique ou financière, surpassent cependant tous les prédicateurs uniquement par la paix qui émane de leurs œuvres et de leurs paroles. Leur phrase est simple, placée comme une conséquence naturelle de chacune de leurs paroles ou opposée à toute insinuation de ceux qui connaissent mal le Seigneur : "Si Dieu veut que je sois ainsi, c'est certainement juste. Que sa volonté soit faite ! Il veut sûrement mon bien. Je n'en doute pas. C'est en lui que j'ai placé toute mon espérance. Comme il m'a libéré du péché par le sacrifice de Jésus, de même il me donnera toutes les grâces dont j'ai vraiment besoin, et je le loue pour sa providence !"   

Et même si, oppressé par les croix, le croyant gémit en son cœur : "Jusqu'à quand ? M'oublieras-tu pour toujours ? Quand tourneras-tu ta face vers moi ?"[4], ce n'est certes pas avec colère que cette lamentation monte vers Dieu, mais avec l'amoureuse anxiété du fils envers son Père, celle-là même que le Christ a ressentie aux heures les plus douloureuses. Il n'y a pas de reproche dans ce cri, mais de l'espérance. Il n'y a pas de rébellion à cause du retard, mais l'attente sereine dans la certitude que le moment viendra où la douleur cessera et où la foi sera récompensée.     

 Écoutons les deux oraisons. Qu'est-ce qui nous permet d'adorer et d'obtenir? La vraie foi.          

La foi, pour être vraie, doit être courageuse, et même héroïquement courageuse contre tout ce qui est créé pour la tourner en dérision, lui faire obstacle et l'abattre. Le monde, la chair, en plus de Satan, constituent les ennemis de la foi contre lesquels il faut être héroïquement courageux.          

La bonté de Dieu est telle qu'elle accorde la gloire du martyre, non seulement aux véritables martyrs qui ont péri dans leur sang pour la foi, mais aussi à ceux qui, contre tout et tous, savent rester fidèles, intégralement fidèles au Seigneur.        

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145>
Combien de batailles sont menées contre la foi ! Combien d'astucieuses manœuvres Satan emploie-t-il pour la diminuer, la couvrir de ridicule ou montrer qu'il est impossible de la suivre ! Mais c'est là que l'on voit la justice des trois vertus théologales : la foi, soutenue par l'espérance et surtout par la charité, ne croule pour aucune raison, elle est victorieuse de tout. La foi est une connaissance qui vient de l'amour. Plus fort est l'amour, plus forte est la foi, parce que l'amour porte à la connaissance de Dieu.

Ces mots de l'oraison de la sainte messe en l'honneur de la très sainte Trinité sont bien vrais : "O Dieu qui, par la profession de la vraie foi, nous fais proclamer la gloire de l'éternelle Trinité et adorer sa triomphante et souveraine unité..."     

 L'Unité et Trinité de Dieu est un mystère. Personne, aussi saint soit-il, ne peut le comprendre. Même ceux auxquels ce mystère fut partiellement révélé - car tout ne peut être dit à ceux qui sont encore mortels - ne peuvent dire l'avoir connu. C'est un mystère si éblouissant que l'homme ne peut fixer son regard sur lui pour le connaître intégralement. Il est plus grand que tout autre mystère. Il est l'incompréhensible mystère parce qu'il est le mystère très sublime. C'est pourquoi seule une foi héroïque soutenue par un puissant amour peut porter, sinon dedans, du moins au seuil de ce mystère, et permettre de sentir, pour ainsi dire, le divin murmure de l'Unité trine, cachée au-delà du mur aveuglant de son feu. Plus fort est l'amour, plus la connaissance est forte, et la distance réduite. Je te rappelle en effet qu'au degré d'amour atteint par la créature correspond un degré d'amour de Dieu qui lui est relatif, et même multiplié par sa puissance, parce que Dieu aime se donner à qui le cherche sans mesure, lui qui se donne par sa miséricorde et sa providence même à ses enfants qui ne le cherchent pas. Cette distance est réduite parce que l'âme est davantage unie au Dieu qui descend - car elle ne peut monter jusqu'à l'abîme de hauteur où brûle la Trinité -, au Dieu qui se concède pour être connu le plus possible, brûlant d'être complètement connu, complètement possédé par son enfant lorsque la récompense du paradis sera donnée à sa foi, à son amour, à son héroïsme.       

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146>  
Ce que je te dis est un juste prologue de l'autre oraison de ce premier dimanche après Pâques. "Sans toi, la faiblesse de notre nature, vouée à la mort, ne peut rien." Mais l'homme qui vit avec Dieu en lui peut-il encore être faible ? Avec sa Trinité dans le cœur? Avec sa connaissance de Dieu, avec son amour pour Dieu et avec l'amour de Dieu pour lui, qui est créature, pour le rendre fort, capable de faire la volonté de Dieu, d'être calme grâce à l'espérance, et assuré dans la foi ? Non, il ne le peut. Car l'union limite la faiblesse, et la fusion l'annule. Ce n'est plus alors la créature, mais Dieu qui vit et agit en l'homme [5].

Tu sais comment l'on maintient cette union. Que rien ne fasse fléchir l'étreinte de ton amour pour Dieu. Rien, ni les joies ni les peines, pas même ces peines que ta connaissance de Dieu te révèle comme non voulues par lui, non approuvées par celui qui est amour et bonté.

Mon âme, comme une colombe fatiguée et blessée, tu restes dans ta cachette, qui est pour toi un nid. Demeure en Dieu. Ne parle pas, ne t'agite pas. Contente-toi d'observer. Tu ne peux faire autrement, oppressée que tu es par la douleur qui te vient des hommes, assommée par leur contre-charité, et absorbée par le Dieu qui se montre pour te consoler et te dire : "Je suis ton Tout." Les mots ne te sont pas nécessaires pour être comprise par celui qui t'aime. C'est ton amour qui parle par son fidèle frémissement. C'est suffisant.        

Oublie le monde, isole-toi dans ton silence d'amour. Tais-toi, parce que toute parole est inutile, stérile, pernicieuse. Reste dans ta justice. Reste dans ton obéissance. Personne n'est plus grand que Dieu. Suis donc ses commandements et rien de plus.     

Entends donc comment Paul te parle, âme blessée par l'humanité qui t'entoure. Paul, la grande "voix", t'assure que les voies et jugements impénétrables de Dieu, incompréhensibles aux hommes, sont justes et bons, riches de sagesse et de science divines. Ce n'est pas lui qui se trompe, mais ceux qui se croient plus grands que Dieu et montrent, par leurs œuvres sinon par leurs paroles, qu'ils se considèrent dignes de conseiller Dieu. Ils parlent tandis que l'œil de Dieu les mesure, ils ne pensent pas que tout est épreuve et ne craignent pas d'être punis pour leur échec. Ils ne tremblent pas de montrer qu'ils manquent à l'amour, de montrer qu'ils s'aiment mais qu'ils n'aiment pas. Ni Dieu ni la créature. Car l'amour est obéissance, et ici il n'y a pas
d'obéissance ; car l'amour est action, et ici il n'y a pas d'action. Il n'y a pas de charité.

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147>  
La charité est active [6]. Elle est active pour faire resplendir les gloires et les miséricordes de Dieu, pour défendre les innocents, pour surpasser la crainte des hommes. Comment ? Ils craignent les hommes et ne craignent pas Dieu ? Comment craignent-ils de manquer de l'aide de Dieu s'ils suivent sa volonté ? Pourquoi le craignent-ils sinon parce qu'ils n'ont pas la charité ? 

Ne se souviennent-ils pas de Jean ? "Si quelqu'un dit : `J'aime Dieu' mais n'aime pas son frère, c'est un menteur.
[7]" Car celui qui n'aime pas ceux qu'il voit et connaît, et dont il connaît l'innocence et les actions, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne connaît pas ? Ont-ils oublié le commandement ? Celui qui aime Dieu, qu'il aime aussi son frère, est-il dit. Où est leur amour ?     

Je te répète l'ordre du quatrième dimanche après Pâques. S'ils ne se plient pas aux paroles du Seigneur, peuvent-ils donc se plier aux tiennes ? C'est pour cette raison que tu dois te taire. Enferme-toi en Dieu. Lui, il guérira ton âme blessée. Dans le silence il parlera. Isole-toi. Vis en Dieu et de Dieu. Laisse venir le châtiment et ne juge pas. Ne juge pas. Dieu les juge déjà. Imite le Maître
[8] pour lui être semblable, comme le dit l'Évangile. Imite son amour et son humilité.  

 Viens, viens, pauvre âme que Satan a trouvé moyen de blesser par l'œuvre de celui qui te devait protection plus que tout autre[9]. Viens, le Seigneur est ta force et ta protection, et il veille sur toi avec sa Puissance trinitaire. Viens, exulte en lui seul parce que, en vérité, les ennemis de tes frères sont les serviteurs de Satan, qui est douleur tandis que Dieu est joie, et il ne faut pas se confier à qui cause la douleur. 

Exulte donc en Dieu ton Maître et ton Sauveur, d'une exultation toute spirituelle, et pour cela toute sainte. Si tes détracteurs insistent, dis-leur seulement : "Puisque vous avez appelé 'poids du Seigneur' ce qui était un don, je me retire comme cela m'a été dit. Mais souvenez-vous que, comme il est dit en Jérémie
[10], c'est vous le fardeau qui écrase les serviteurs de Dieu et rend difficile leur action, c'est pourquoi celui que l'on ne peut écraser vous jettera dehors. Souvenez-vous que ce sont vos paroles qui sont un 'poids', et non pas celles de Dieu, vos paroles avec lesquelles vous changez le sens des paroles et des décrets du Dieu vivant.       

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148>
Et souvenez-vous encore que pour moi la paix est déjà présente, car déjà j'entends le bruit des pas du messager de la Bonne Nouvelle, de celui qui annonce la paix et la donne sans tarder [11]."  

Entre dans sa paix, toujours plus. Ne crains pas. Ne tremble pas. Le silence n'est pas pour toi. Le silence n'est pas désaffection ni punition pour toi. Pour toi, victime qui te consumes, c'est de la pitié, et pour eux une punition.



Mon âme, le Seigneur est avec toi et la Mère te couvre de son manteau tout comme moi de mes ailes."        

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Fiche mise à jour le 11/06/2022.

 




[1] Textes repris du MISSEL GRÉGORIEN 1933.   

[2] Du grec Epiphania : manifestation.       

[3] Tobie 12, 6.         

[4] Psaume 12 (Hébreu 13), 2.        

[5] Galates 2, 20 - Colossiens 3, 3. 

[6] 1 Corinthiens 13.

[7] 1 Jean 4, 20.       

[8] Matthieu 11, 29 - Philippiens 2, 5-8.    

[9] Peut-être une allusion au Père Migliorini qui diffuse des extraits de la vie de Jésus contrairement aux instructions de Jésus et de Maria Valtorta.         

[10] Jérémie 23, 33-40.        

[11] Nahum 2, 1.