Pitié, indulgence, compassion

    De Wiki Maria Valtorta

    Logo template other.png Voir aussi : Pardon, pardonner.


    Jésus dit à Jude en parlant de Judas : "(...) j'aime cette âme informe. C'est celle qui me fait pitié plus que toute autre... parce que justement elle est informe".[1]

    Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"

    • Jésus reprend Jude qui critique Judas : Crois-tu avoir le droit de censurer toutes ses actions ? Te sens-tu assez parfait pour pouvoir le faire ? Je te rappelle que Moi, ton Maître, je ne le fais pas, parce que j'aime cette âme informe. C'est celle qui me fait pitié plus que toute autre... parce que justement elle est informe.[2]
    • Meilleur on est, et plus on a de pitié pour les coupables (commentaires de la femme adultère).[3]
    • La compassion de Marie : Son Déchirement de l’enfantement spirituel : Elle dit : "Mais, crois-moi, ma fille, qu'il n'y a jamais eu et qu'il n'y aura jamais tourment d'enfantement semblable à mon enfantement de Martyre d'une Maternité spirituelle accomplie sur le plus dur des lits : celui de ma croix, au pied du gibet de mon Fils qui mourait.

      Quelle est la mère qui est contrainte à générer de telle façon, et à mêler le tourment de ses entrailles qui se déchiraient en entendant le râle de sa Créature agonisante au déchirement intérieur pour avoir à surmonter l'horreur de devoir dire: "Je vous aime. Venez à moi qui suis votre Mère" aux assassins de son Fils (...)."[4]
    • Grâce à sa pitié et son Amour : Toute souffrance s’apaise sur le sein de Marie : Élisabeth lui dit : "Laisse-moi mettre les mains sur ton sein". "Oh ! si dans votre souffrance vous me demandiez toujours cela !" (...) "Et toute douleur se calme et toute espérance fleurit et toute grâce coule pour qui vient à moi et pose sa tête sur mon sein."[5]        
    • Notre Mère du Ciel ne cesse de prier pour nous, en communion avec la pitié du Ciel : "Je prie pour vous. Rappelez-le. La béatitude d'être au Ciel, vivant dans le rayonnement de Dieu, ne me fait pas oublier mes fils qui souffrent sur la terre. Et je prie. Le Ciel entier prie, car le Ciel aime. Le Ciel c'est la charité vivante. Et la Charité a pitié de vous.
      Mais, s'il n'y avait que moi, ce serait déjà une prière suffisante pour les besoins de qui espère en Dieu, puisque je ne cesse de prier pour vous tous : saints et dépravés, pour donner aux saints la joie, pour donner aux méchants le repentir qui sauve."
      "Venez, venez, ô fils de ma douleur. Je vous attends au pied de la Croix pour vous faire grâce."[6]      

    Dans d'autres sources

    • "Traité des indulgences"[7] selon l'Église catholique (Enchiridion indulgentiarum).

    Notes et références