Honnête(té), Malhonnête(té)

    De Wiki Maria Valtorta
    La parabole du pharisien et du publicain - James Tissot, (1886-94), musée de Brooklyn.[1]

    L'honnêteté signifie exprimer la vérité dans ses paroles et ne pas chercher, par la dissimulation, le mensonge ou la tromperie, à tirer avantage de son prochain.

    Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"[modifier | modifier le wikicode]

    • Je n'ai voulu que pardonner, souffrir, être honnête car les anges ont dit : "Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté"[2]
    • Ayez un œil paisible, honnête, modéré, pur, et vous aurez des désirs paisibles, honnêtes, modérés et purs.[3]
    • Il ne t'est pas permis d'offenser l'amour de ta femme. Sois juste et honnête. Dieu te donnera une récompense qui dépassera tes mérites.[4]
    • Tout travail, quand il est honnête, mérite bénédiction du Seigneur Éternel. Mais, je l'ai dit : la première condition pour avoir la bénédiction de Dieu, c'est d'être honnête en toutes ses actions. Maintenant, regardons ensemble quand, et à quelles conditions les actions sont honnêtes. Elles le sont, quand on les accomplit en ayant présent à l'esprit le Dieu Éternel. Peut-il jamais pécher celui qui dit : "Dieu me regarde. Dieu a les yeux sur moi, et de mes actions aucun détail ne Lui échappe" ?[5]
    • Avec Moi, il ne peut y avoir que ceux qui aiment l'humilité, la douceur, la continence, l'honnêteté et l'amour, par-dessus tout l'amour, parce que celui qui aime Dieu et le prochain possède par suite toutes les vertus et gagne le Ciel.[6]
    • L’honnêteté du travail fait partie de l’amour du prochain : "Vous savez que notre Loi commande l’amour du prochain. L’honnêteté du travail fait partie de l’amour du prochain. Celui qui est honnête dans son travail ne vole pas dans le commerce, ne frustre pas l’ouvrier de son salaire, ne le frustre pas malhonnêtement. Il se rappelle que le serviteur et l’ouvrier ont une chair et une âme semblable à la sienne. Il ne les traite pas comme des pierres inertes que l’on peut briser et frapper avec le pied ou le fer. Celui qui n’agit pas ainsi n’aime pas son prochain et pèche donc aux yeux de Dieu. Son gain est maudit, même s’il en tire une obole pour le Temple.
      Oh ! quelle offrande menteuse ! Et comment peut-on oser la mettre au pied de l’autel, quand elle ruisselle des larmes et du sang de l’inférieur frustré, ou qu’elle s’appelle “larcin”, c’est à dire trahison à l’égard du prochain, car le voleur est un traître pour son prochain ?"[7]

    Notes et références[modifier | modifier le wikicode]