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Traduction automatique de cette fiche :
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Pardonner.

 

Jésus, à la Belle-Eau, reçoit la confession d'un meurtrier luxurieux
(
Tome 2, chapitre 86)

 Prière sacerdotale pour le pardon d'un pécheur.

"Tu ne me maudis pas ?"      

"Non. Je pleure et je prends sur Moi ton péché !... Comme il est lourd ! Il me brise les membres, mais je le serre étroitement, pour le consumer à ta place... et à toi, je donne le pardon. Oui. Je te remets ton grand péché."

Il étend les mains sur la tête de l'homme qui sanglote et le prie :
      
"Père, pour lui aussi mon sang sera versé. En attendant voici mes larmes et ma prière. Père, pardonne car il s'est repenti. Ton Fils, au jugement duquel tout est remis le veut !..." Il reste encore quelques minutes ainsi, puis il se penche, relève l'homme et lui dit : "La faute est remise, À toi, maintenant d'expier par une vie de pénitence ce qui reste de ton délit."

"Est-ce que Dieu m'a pardonné ? Et ma mère ? et mon frère ?"         

"Ce que Dieu pardonne, tous le pardonnent. Va et ne pèche jamais plus."

Dissimulée dans la foule Aglaé, touchée par les paroles de Jésus regrette sa vie dissolue et suit Jésus
(
Tome 2, chapitre 90)

 Prière sacerdotale[1] pour la rédemption d'une femme à la vie dissolue. 
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Qui pleure ? Personne ? Vous dites: personne ? Et pourtant mon âme va à la rencontre d’une autre âme en pleurs. Pourquoi y va-t-elle ? Pour jeter l’anathème à une prostituée ? Non. Parce que son âme me fait pitié. Tout en Moi est répulsion pour son corps souillé, qui transpire une sueur immonde. Mais, son âme !          

Oh ! Père ! Père ! C’est pour cette âme aussi que j’ai pris chair et que j’ai quitté le Ciel pour être son Rédempteur et celui de tant d’âmes, ses sœurs ! Pourquoi ne devrais-je pas recueillir cette brebis errante, l’amener au bercail, la purifier, l’unir au troupeau, lui donner des pâturages et un amour qui soit parfait comme seul le mien peut l’être ? Si différent de ce à quoi jusqu’ici elle donnait le nom d’amour, alors que ce n’était que haine, un amour si compatissant, si complet, si doux pour qu’elle ne pleure plus le temps passé, ou qu’elle le pleure seulement pour dire : “J'ai perdu trop de jours loin de Toi, Éternelle Beauté. Qui me rendra le temps perdu ? Comment goûter, dans le peu de temps qui me
reste à vivre, ce que j’aurais goûté si j’étais toujours restée pure ?”

Celle d’Aglaé, la femme voilée de la Belle-Eau
(voir ci-dessus).
(
Tome 2, chapitre 99)

 Prière sacerdotale de Jésus pour une âme pécheresse qui se repent.    
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Je vous dis : l'année de grâce est arrivée. Pour vous, ne pleurez pas par la tristesse qu'éprouve le pécheur. Ne pleurez pas, vous qui êtes exilés du Royaume de Dieu. Aux cendres je substitue l'or et l'huile aux larmes. Je vous revêts d'habits de fête pour vous présenter au Seigneur et dire :          

"Voici les brebis que Tu m'as envoyé chercher. Je les ai visitées et rassemblées, je les ai comptées, j'ai cherché celles qui étaient dispersées et je te les ai amenées en les arrachant aux nuages et aux brouillards. Je les ai prises au milieu de tous les peuples, je les ai réunies de toutes les régions pour les conduire à la Terre qui n'est plus la terre et que Tu as préparée pour elles, ô Père Saint, pour les amener sur les cimes paradisiaques de tes fertiles montagnes où tout est lumière et beauté, le long des rivières des célestes béatitudes où se rassasient de Toi les esprits aimés de Toi.    

Je suis allé aussi à la recherche de celles qui étaient blessées, j'ai guéri les fractures, j’ai refait les forces des faibles, je n'ai pas laissé de côté une seule brebis. Et celle que les loups avides des sens avaient le plus mise à mal, je me la suis mise, comme un joug d'amour sur les épaules et je la dépose à tes pieds, Père Bienveillant et Saint, parce qu'elle ne peut plus marcher, qu'elle ne connaît pas tes paroles et que c'est une pauvre âme que poursuivent les remords et les hommes, un esprit qui regrette et tremble, une eau poussée et repoussée par le flot sur le rivage. Elle vient pleine de désirs retenue par la connaissance d'elle-même...     

Ouvre-lui ton sein, Père qui es Tout Amour, pour qu'en Toi elle trouve la paix cette créature perdue. Dis-lui : [Viens]. Dis-lui : [Tu es à Moi].         

Elle a appartenu à tout un monde, mais elle en a la nausée et la peur. Elle dit : [Chaque patron est un sicaire dégoûtant]. Fais qu'elle puise dire : [Ce Roi à moi m'a donné la joie d'être prise !]. Elle ne sait pas ce que c'est que l'amour. Mais, si Tu l'accueilles, elle saura ce qu'est cet amour céleste, amour nuptial entre Dieu et l'esprit humain. Et comme un oiseau délivré des cages des hommes cruels, elle s'élèvera, s'élèvera toujours plus haut, jusqu'à Toi, au Ciel, dans la joie, dans la gloire, en chantant : [J'ai trouvé Celui que je cherchais Mon cœur n'a pas d'autre désir, En Toi, je me repose et je jubile, Seigneur Éternel, je suis bienheureuse, dans les siècles des siècles] "

Sur Aglaé, pécheresse en repentir. Nazareth.
(
Tome 3, chapitre 28)

 Bénédiction de Marie sur une âme en repentir.   
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O Esprit Éternel, un peu de Toi est toujours en ta Marie !      

Permets qu'elle te répande, Esprit Sanctificateur, sur la créature qui pleure et espère. Au nom de notre Fils, ô Dieu d'amour, sauve celle qui attend de Dieu le salut.           

Que la Grâce, dont l'Ange m'a dit que Dieu m'a comblée, se pose miraculeusement sur celle-ci et la soutienne, jusqu'à ce que l'absolve Jésus, le Sauveur Béni, le Prêtre Suprême au nom du Père, du Fils et de L'Esprit…

Le grand-père de Margziam espère dans son retour dans le sein d’Abraham. Jésus le rassure et l’absous.
(
Tome 6, chapitre 135)

 Jésus donne l’extrême-onction.  
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Jésus se redresse, imposant, pour dire :      

"Moi, par mon pouvoir de Juge et de Sauveur, je t'absous de ce que, dans ta vie, tu peux avoir commis de fautes ou d'omissions, et des sentiments de l'âme contre la charité et envers qui t'a haï. Je te pardonne tout, ô fils, va en paix !"    

Jésus a étendu les mains en les levant sur le lit, comme s'il était à un autel, Lui prêtre, pour consacrer la victime.

Jésus enseigne à Jean l'attitude à avoir face à la faiblesse humaine.
(
Tome 7, chapitre 236)

 Prière quand on retombe dans la faute.  
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"N'engage pas l'avenir, Jean. Ta volonté est prête, mais elle pourrait encore être vaincue par la chair, et tu en aurais un profond et inutile avilissement si ensuite tu te souvenais de cette promesse que tu te serais faite à toi-même, sans l'avoir gardée ensuite par fragilité de la chair. Écoute. Moi je te dis ce que tu dois dire pour être en paix, quoi qu'il t'arrive. Dis avec Moi : "Moi, avec l'aide de Dieu, je me propose, autant qu'il me sera possible, de ne plus céder aux lourdeurs de la chair". Et sois ferme dans cette volonté. Si ensuite un jour, même sans le vouloir, la chair lasse et affligée arrive à vaincre ta volonté, eh bien, alors, comme maintenant tu diras : "Je reconnais que je suis un pauvre homme comme tous mes frères, et que cela me serve pour rabaisser mon orgueil".

À la veille de vivre sa Passion, Jésus prie, de façon poignante, le Notre Père.
(
Tome 9, chapitre 16)

 Prière sacerdotale de Jésus à la veille de sa Passion.    
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"Notre Père qui es dans les Cieux, que soit sanctifié ton Nom. Que vienne ton Règne. Que soit faite ta Volonté sur la Terre comme elle est faite dans le Ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien. Remets-nous nos dettes comme nous les remettons à nos débiteurs. Ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal. Ainsi soit-il".       

"Que soit sanctifié ton Nom". Père, je l'ai sanctifié. Pitié pour ton Germe.      

"Que vienne ton Règne". C'est pour le fonder que je meurs. Pitié pour Moi.   

"Que soit faite ta Volonté". Secours ma faiblesse, Toi qui as créé la chair de l'homme et en as revêtu ton Verbe pour qu'ici-bas je t'obéisse comme toujours je t'ai obéi dans le Ciel. Pitié pour le Fils de l'homme.       

"Donne-nous le Pain... Un pain pour l'âme, un pain qui n'est pas de cette Terre. Ce n'est pas pour Moi que je te le demande. Je n'ai plus besoin que de ton spirituel réconfort. Mais c'est pour eux que Moi, Mendiant, je tends la main. D'ici peu elle va être transpercée et attachée et ne pourra plus faire un geste d'amour. Mais maintenant, elle le peut encore. Père, accorde-moi de leur donner le Pain qui chaque jour fortifie la faiblesse des pauvres fils d'Adam. Ils sont faibles, ô Père, ils sont inférieurs, parce qu'ils n'ont pas le Pain qui est force, le Pain angélique qui spiritualise l'homme et l'amène à devenir divinisé en Nous.      

"Remets-nous nos dettes".   

Jésus, qui a parlé debout et a prié les bras ouverts, s'agenouille maintenant et il lève ses bras et son visage vers le Ciel. C'est un visage qu'a blanchi la force de sa supplication et que blanchit le baiser de la lune, un visage sillonné de pleurs muets.

"Pardonne à ton Fils, Ô Père, s'il t'a manqué en quelque chose. Devant ta Perfection, je puis encore paraître imparfait, Moi, ton Christ, que la chair alourdit. Devant les hommes... non. Mon intelligence consciente me donne l'assurance que j'ai tout fait pour eux. Mais Toi, pardonne à ton Jésus... Moi aussi, je pardonne. Je pardonne pour que Tu me pardonnes. Combien je dois pardonner ! Combien !... Et pourtant je pardonne. À ceux qui sont présents, aux disciples absents, à ceux qui ont le cœur sourd, aux ennemis, aux moqueurs, aux traîtres, aux assassins, aux déicides... Voilà, j'ai pardonné à toute l'Humanité. Pour ce qui me concerne, ô Père, considère comme annulée toute dette de l'homme à l'Homme. C'est pour donner à tous ton Royaume que je meurs et je ne veux pas que soit compté pour la condamnation le péché envers l'Amour incarné. Non ? Tu dis non ? C'est ma douleur. Ce "non" verse dans mon cœur la première gorgée du calice atroce. Mais, Père à qui j'ai toujours obéi, je te dis ! "Qu'il soit fait comme Tu veux".        

"Ne nous induis pas en tentation". Oh ! Si Tu veux, Tu peux éloigner de nous le démon ! C'est lui la tentation qui excite la chair, l'esprit, le cœur. C'est lui le Séducteur. Éloigne-le, Père ! Ton Archange en notre faveur ! Pour mettre en fuite celui qui, de la naissance à la mort, nous menace ! Oh ! Père Saint, aie pitié de tes fils !          

"Libère-nous, libère-nous du mal !" Tu le peux. Nous ici pleurons... Il est si beau le Ciel, et nous craignons de le perdre. Tu dis ! "Mon Saint ne peut le perdre". Mais je veux qu'en Moi tu voies l'Homme, le Premier-né des hommes. Je suis leur frère. Je prie pour eux et avec eux. Père, pitié ! Oh ! Pitié!..."

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fiche mise à jour le
15/02/2015

 



[1] Une prière sacerdotale est une prière adressée à Dieu par un prêtre pour l’assemblée, à fortiori par le Christ.