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Texte original.


TEXTES DELA MESSE.

FÊTE
DU CHRIST-ROI.

Introït: Apocalypse 5,12; 1, 6; Psaume 71 (Hébreu 72), 1.

Collecte: Dieu éternel et tout-puissant, qui avais voulu réunir, toutes choses en ton Fils bien-aimé, roi de l'univers accorde, dans ta bonté, à la grande famille des nations, déchirée par la blessure du péché, de se soumettre à son joug plein de bénédictions. Lui qui étant Dieu, vit et règne avec toi dans l'unité du Saint-Esprit.

Épître:
Colossiens 1, 12-20.

Graduel:
Psaume 71 (Hébreu 72), 8.11.

Alléluia:
Daniel 7, 14.

Évangile:
Jean 18, 33-37.

Offertoire:
Psaume 2, 8.

Secrète: Nous t'offrons, Seigneur, la victime qui rendit la paix aux hommes; fais, nous t'en prions, que celui-là même que nous immolons en ce sacrifice, Jésus Christ ton Fils, notre Seigneur, accorde à tous les peuples l'unité et la paix. Lui qui étant Dieu...

Communion:
Psaume 28 (Hébreu 29), 10.11.

Postcommunion: Nourris du pain qui donne l'immortalité, puissions-nous, Seigneur, fiers d'avoir combattu sous l'étendard du Christ-Roi, régner à jamais au ciel avec lui qui, étant Dieu...

VINGTIÈME DIMANCHE APRES LA PENTECÔTE.

Introït: Daniel 3, 31.29.35; Psaume 118 (Hébreu 119), 1.

Collecte: Prodigue, Seigneur, à tes fidèles, en signe de faveur, le pardon et la paix, afin qu'ils soient purifiés de tout péché et te servent en toute tranquillité d'esprit. Par N.S.J.C.

Épître:
Ephésiens 5, 15-21.

Graduel:
Psaume 144 (Hébreu 145), 15-16.

Alléluia:
Psaume 107 (Hébreu 108), 2.

Évangile:
Jean 4, 46-53.

Offertoire:
Psaume 136 (Hébreu 137), 1.

Secrète: Que ces mystères, Seigneur, nous soient un remède céleste et expulsent les vices de notre cœur. Par N.S.J.C.

Communion:
Psaume 118 (Hébreu 119), 49-50.

Postcommunion: " Pour nous rendre dignes, Seigneur, de tes dons sacrés, fais que nous obéissions toujours à tes commandements. Par N.S.J.C. »

 


















Dimanche 27 octobre 1946.

271> Azarias dit :

«Ce sera un double travail
[1]. Mais le cycle liturgique doit être accompli et la solennité d'aujourd'hui ne doit pas passer inaperçue. Contemplons donc les lumières de la messe du Christ-Roi.  

 Elle commence par une phrase-clé pour comprendre comment l'on devient glorieux. Elle dit: «Il est digne, l'Agneau immolé, de recevoir puissance, richesse, sagesse, force et honneur... À lui... gloire et pouvoir pour les siècles des siècles».  

Qui est l'Agneau ? C'est le Fils de Dieu et de Marie immaculée
[2]. Depuis toute éternité il tient sa vie du Père, au temps juste il a reçu son humanité de sa mère, et il est devenu Jésus Christ. Étant Jésus Christ, a-t-il cessé d'être Dieu ? Non, il n'a pas cessé de l'être, mais il est allé jusqu'à assumer la nature humaine[3], devenant vraiment homme pour pouvoir être le Sauveur[4], c'est-à-dire Yehoshua[5].     

Les savants expliquent que cela signifie Sauveur. Mais, mon âme, cela veut aussi dire quelque chose de bien plus puissant ! Contemple et compare le nom du fils de Marie avec le nom de Dieu tel que le disaient les Hébreux. Ils ont la même racine pour signifier la même origine et la même nature. Jésus veut donc dire Dieu, encore Dieu. Et il veut aussi dire Sauveur par sa seconde partie: Oshua. Toutefois, son ascendance, plus précisément son origine en Dieu le Père, est confirmée par la racine du nom.     

Étant Dieu, celui qui est dit l'Agneau pouvait-il ne pas être digne de recevoir puissance, richesse, sagesse, force et honneur ? Non seulement cela était à sa portée, mais il les possédait par sa nature divine. Est-ce donc une erreur de dire que l'Agneau est digne de les recevoir ? Ce n'est pas une erreur.         

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272>  Depuis le moment où le Verbe s'est fait chair[6] et est devenu l'Agneau de Dieu pour la grande Pâque rédemptrice, il a uni à sa nature d'homme sa propre perfection de Dieu. Et, comme tout homme, il a eu une libre volonté, des passions, des sentiments, des sens.       

Le Père n'exerça aucun pouvoir de coercition sur le Fils incarné, il le traita de la même manière que tout autre homme afin que sa sainteté d'homme soit réelle et parfaite, égale à sa sainteté de Dieu. Si le Père avait bridé ou atténué la liberté, les sens et les sentiments du Fils; si, comme il pouvait le faire, il avait interdit au démon, au monde et à la chair de s'exprimer auprès du Fils incarné, alors l'humanité du Fils et sa sainteté d'homme n'auraient été qu'un faux-semblant. Mais le Père voulut la pleine et parfaite sainteté du Fils qui s'était fait chair, pour que la victime soit réellement l'Agneau sans tache, l'hostie immaculée et immolée pour tous.  

Le Fils de Dieu ne fut pas tenté une seule fois, mais des milliers de fois dans son humanité, parce que c'est uniquement e elle qu'il pouvait l'être, par son humanité même, par le monde et par le démon. Mais il est resté saint et fidèle par sa libre volonté d'adhésion à la Loi, à la justice et donc aussi à sa mission Par conséquent il fut fidèle au sacrifice pour accomplir ce po quoi il avait pris chair.   

Voilà pourquoi celui qui, étant Dieu, se fit homme, victime agneau, est digne de recevoir, même comme homme, ce qu'il possédait déjà comme Dieu : la gloire et la puissance pour les siècles des siècles
[7]. 

S'il ne s'était pas sacrifié - voici la clé - il n'aurait rien eu. C'est par son amour du sacrifice, qui est la forme la plus élevé de l'amour, que le sceptre du Roi des rois et Seigneur des seigneurs été donné à l'Agneau.           

Celui qui veut obtenir la vraie gloire doit aimer le sacrifice en imitant l'Agneau. Alors il partagera la gloire béatifique de l'Agneau.      

 L'oraison chante : «Dieu éternel et tout-puissant, tu as voulu restaurer toutes choses en ton Fils bien-aimé, le Roi de l'univers». Voyez-vous, ô âmes, le désir de Dieu et sa générosité d'amour ? Seul un Dieu pouvait apaiser Dieu et rétablir dans sa perfection première l'ordre perturbé à l'Eden
[8]. Cet ordre était que ceux qui ont été créés à l'image et ressemblance de Dieu puissent jouir de Dieu et être des dieux au paradis.       

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273> Il ne convenait pas que l'esprit de l'homme, accordé par Dieu, émanation de Dieu, germe de Dieu, se perde après la mort de la chair. Il ne convenait pas non plus qu'un perpétuel exil retienne les esprits des justes loin de la demeure du Père, dans les limbes éternels. La première chose ne convenait pas en raison de la dignité de tout ce qui vient de Dieu, la seconde en raison de la justice de Dieu. Les justes devaient avoir une récompense. Laquelle, sinon le paradis ? Mais il ne pouvait entrer au paradis des âmes blessées par la faute originelle qu'aucun purgatoire ne peut effacer. Il s'ensuit qu'il était nécessaire d'effacer cette faute. Il fallait donc qu'un Dieu rétablisse l'ordre et le rende même encore plus beau afin que, désormais, la purification de la faute ne vienne plus seulement d'un héritage tel qu'aurait été relui des hommes issus d'un Adam et d'une Ève fidèles, mais du sacrifice d'un Dieu-Homme, de ses mérites infinis et de son enseignement qui, s'il est accueilli par des âmes de bonne volonté, leur communique la capacité d'imiter le Fils de Dieu dans ses œuvres et dans ses vertus.        

 Le sacrifice, l'amour héroïque, l'imitation du Martyr divin, la participation des pauvres créatures à la passion d'un Dieu
[9], avec fruits et mérites égaux (en tenant toujours compte de la différence qu'il y a entre Dieu et l'homme), n'auraient pu exister si la faute de deux personnes n'avait pas provoqué la nécessité de l'incarnation et de la rédemption. Que n'aurait-t-il pas manqué aux hommes pour rendre les anges envieux, si la bonté de Dieu le Père et la générosité de Dieu le Fils, nées et soutenues par l'Amour infini, ne leur avaient pas envoyé le Sauveur, le Maître parfait, en qui tout homme qui veut devenir "dieu" doit se refléter pour l'imiter, afin de partager la gloire de Jésus au ciel !      

Vos couronnes ne sont plus ces simples et faciles couronnes que les fils de l'homme auraient obtenues dans l'Eden. Ce sont les couronnes d'épines, précieuses et royales des frères du Christ, couronné roi de douleur, roi de gloire. C'est la couronne du martyre, faite de dures branches épineuses et perlées de sang, et la couronne de la gloire
[10], perlées de vos sacrifices; elles vous attendent au ciel.  

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274> « Frères, s'exclame l'Apôtre, rendez grâces au Père, qui vous a permis d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière. Il nous a arrachés au pouvoir des ténèbres et nous a transférés dans le royaume du Fils de son amour, en qui, par son sang, nous avons la délivrance, le pardon des péchés.

 Devant tant d'amour, un hymne de grâces perpétuel devrait jaillir du cœur des hommes ! Non pas un hymne de vaines, paroles, mais d'élans d'amour et de saintes actions accomplies par imitation du Christ. Un hymne de reconnaissance et de louange pour vous avoir fait participer avec le Christ à la rédemption de vos frères, pour avoir fait de vous les frères de son Verbe, de Jésus, le Fils de Dieu et de Marie, du Dieu parfait, de l'Homme parfait, du Roi éternel qui a apporté aux hommes « l'image du Dieu invisible », du véritable Premier-Né, «car en lui tout a été créé, dans les cieux et sur la terre», et «tout est créé par lui (qui est la "Parole" et pour lui», c'est-à-dire pour que le Bien-aimé du Père puisse devenir Roi des rois après avoir assumé toutes les royautés
[11] : l'humanité, la sagesse, la douleur, la tiare de grand-prêtre, le pouvoir sur la mort. 

 Vous êtes les frères de tant de perfection grâce au très précieux sang qu'il plut au Père que le Fils prenne et verse, humiliant ainsi la plénitude de sa divinité unie à la chair immaculée, sur l'échafaud de la croix, pour réconcilier «les choses de la terre avec celles du ciel». En frère parfait, il vous tend la main et vous présente le sceptre pour que, comme on le lit dans l'histoire d'Esther
[12], vous l'embrassiez et n'ayez plus à craindre le grand et terrible roi qui pour vous, ô vous qui l'aimez et l'imitez, est le frère dont vous ne devez pas avoir peur.  

Le Père ne cesse de dire à Jésus : «Demande, et je te donnerai les peuples en héritage...» Et lui, ce roi sublime, vous appelle, vous qui aimez, vous les bien-aimés. Mais il réclame aussi les pécheurs, et c'est pourquoi il se tourne vers vous pour que vous unissiez votre supplication à la sienne, votre souffrance actuelle à sa souffrance de jadis, pour que, unis à lui, vous travailliez à la propagation de son Royaume jusqu'aux ultimes confins de la terre. Soyez fiers de cette élection, et luttez héroïquement sous, l'étendard du Christ-Roi pour ensuite régner avec lui dans la gloire céleste.         

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275>  Lutter héroïquement revient à agir selon le code que Paul a fixé pour ses chrétiens. La vie du chrétien est un perpétuel combat, un combat héroïque, parce qu'il se bat continuellement contre cela même que Jésus Christ combattait pendant ses trente-trois années de vie terrestre afin de rester l'Agneau sans tache.      

La liturgie de ce temps qui précède l'Avent prépare déjà les âmes au temps de Noël, et rappelle, par les épîtres, dans quelles conditions le chrétien doit se maintenir pour tirer profit du grand don de l'incarnation du Verbe.    

 Que la prudence soit la compagne de vos actions, sans perdre le temps qu'ensuite vous ne retrouverez peut-être pas. Gardez toujours à l'esprit que même les meilleurs auront à rendre compte de nombreuses heures, des moments de tiédeur, de vains bavardages, de somnolences paresseuses, et de péché. Mettez donc à profit chaque minute pour réparer le mal que vous avez fait ou le bien que vous n'avez pas fait. On n'est jamais sûr d'avoir un lendemain. Utilisez donc le présent, qui est toujours un don de Dieu, pour vous donner le moyen d'acquérir des mérites à ses yeux.

Être prudent signifie réfléchir avant de faire des choses vers lesquelles une stimulation intérieure vous pousse et qui peuvent même paraître bonnes. Il arrive que le démon suscite une impulsion, bonne en apparence, mais qui suscite une évolution future vers l'erreur. Le démon se sert parfois d'inspirations ou de dons venant vraiment de Dieu, pour suggérer le mal en les méprisant, ou en les exagérant, ou encore en continuant de dire qu'ils existent alors qu'ils sont déjà passés. C'est la raison de la chute de nombreuses âmes que Dieu avait choisies, et qui n'ont pas su être prudentes et être d'autant plus vigilantes que ces dons et ces inspirations étaient plus sublimes. Prudence donc dans la pensée, dans l'action, dans l'utilisation du don, et encore dans l'exécution d'une inspiration, afin qu'il ne s'en dégage pas la fumée de l'orgueil ou quelque agitation exagérée qui gâcheraient tout.        

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276>  Il faut savoir se taire, et écouter en silence les réactions de la conscience aux voix qu'elle entend. Souvenez-vous que ce qui vient d'en haut communique toujours la paix et la force contre les voix des sens et des séductions, alors que ce qui vient de l'Adversaire jaloux procure le trouble et favorise la chute du "moi" vers ce qui séduit les parties basses de la sensualité, ou l'intelligence par l'orgueil et le mensonge. Il faut apprendre à lire la volonté de Dieu. On y arrive par une vie recueillie, et non par une vie distraite.   

Paul dit : «Ne vous enivrez pas de vin, il mène à la perdition, mais soyez remplis de l'Esprit». Oh ! Il n'y a pas que le vin tiré de la vigne qui est à craindre, il y a aussi - et plus encore - le vin de l'orgueil, plus enivrant que le fruit de la vigne. L'orgueil ne transforme pas l'homme en surhomme, mais en pygmée, en animal, un animal uniquement doué de raison - une pauvre raison obscurcie par l'orgueil -, un animal et non plus un, dieu, et ceci par l'absence de l'Esprit Saint qui fuit les orgueilleux et les impurs. D'ailleurs, l'orgueil est l'impureté de l'esprit. La présence de l'Esprit de Dieu divinise l'homme, l'orgueil le prive de cet Esprit et le ruine.          

 Faites preuve également de prudence dans les mots. Combien de péchés se font par la parole ! Paroles licencieuses, cancans, paroles de colère, vaines paroles... Sachez veiller sur votre langue, pour en faire un organe de louange à Dieu et d'édification de vos frères, et non un instrument pour blesser ou faire d vacarme.  

Prudence encore pour ne pas se dire à soi-même et aux autres : «Je suis le plus important et c'est moi qui commande». Que ceux qui sont réellement plus importants que les autres soient humbles dans leur supériorité, qu'ils soient de grands frères et non des petits despotes. Que les petits soient humbles et aident les plus grands, par une humilité obéissante, à accompli leur mission. Que tout soit fait dans l'amour de Jésus
[13] qui était humble comme personne, en vue de la gloire de Dieu.        

 Dans leur douleur privée de la fraternité du Christ, les anciens Hébreux pouvaient s'asseoir sur les rives des fleuves d Babylone et pleurer
[14], se souvenant du Seigneur dont ils avaient mérité le courroux. Mais les chrétiens, même s'ils ont péché doivent avancer, se relever après la chute, se purifier dans le sang de l'Agneau, se restaurer du Pain des forts, et progresser avec confiance. Ils savent que, pour plaider leur cause et apaiser le Père, il y a l'Hostie pure et immaculée qui s'appelle Jésus[15].  

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277> Dieu l'a promis par la bouche de son Verbe[16] : celui qui espère en lui ne sera pas déçu. Que cette parole confirme les bons, réconforte les faibles, pousse les coupables à un humble repentir et que chaque chrétien trouve en elle une lumière de joie amoureuse pour avancer vers le Royaume de Dieu.

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Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit ».       

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Fiche mise à jour le 25/11/2020.

 



[1] Il y a une double commémoration liturgique.

[2] Galates 4, 4-5.

[3] Jean 1, 14.

[4] Matthieu 1, 21.

[5] Le nom Jésus signifie en effet : Yahvé sauve.

[6] Jean 1, 14.

[7] Apocalypse 19, 16.

[8] Genèse 3. Le Christ n’a pas souffert pour Lui-même, car comme Dieu, Il était radicalement exempt de tout péché. Mais Il a voulu réparer les souffrances des autres hommes, seuls pécheurs, par l’extrême souffrance humaine qu’il assuma pour eux. Cela ne pouvait pas se faire au niveau divin, car Dieu est le bonheur parfait que rien ne peut ternir. Le Fils de Dieu de toute éternité, s’est fait homme, créature, seul moyen de subir la Passion et ses douleurs, sans que son éternité bienheureuse soit en rien altérée : ce qui eut d’ailleurs été impossible. L’Homme affaibli par le péché ne pouvait, par lui-même, retrouver la grâce initiale, c’est pourquoi Dieu vient à son secours en prenant sa place (méditation inédite de Mgr Laurentin).

[9] Colossiens 1, 24.

[10] 2 Timothée 4, 8.

[11] Hébreux 5, 5-10 - 1 Corinthiens 15, 54-57.

[12] Esther 15, 4-19.

[13] Philippiens 2, 5-8.

[14] Psaume 136 (Hébreu 137).

[15] Hébreux 9, 14.

[16] Isaïe 28, 16.