Consolation
[…] Le monde ne peut comprendre, mais je trouve mon repos auprès de ceux qui obéissent… Oui, Dieu se repose auprès des obéissants. Dieu n’aurait pas eu à souffrir, à se fatiguer, si la désobéissance n’était pas entrée dans le monde...[1]
Dans “L'Évangile tel qu'il m'a été révélé”
- Consolation, corollaire de la mission : "Vous tous, qui trop peu nombreux pour contrebalancer la foule de ceux qui maintiennent toute vive la rigueur de Dieu, restez cependant dévoués à Dieu en dépit des menaces terribles de l'heure présente suspendues sur les têtes et qui croissent d'un instant à l'autre. Mettez votre angoisse aux pieds de Dieu. Lui saura vous envoyer son ange, comme il a envoyé le Sauveur au monde. Ne craignez pas. Restez unis à la Croix. Elle a toujours triomphé des embûches du démon qui par la férocité des hommes et les tristesses de la vie cherche à incliner au désespoir - c'est-à-dire à la séparation d'avec Dieu - les cœurs qu'il ne peut gagner d'une autre manière".[2]
- Venez à Moi, vous tous qui êtes affligés[3]
- Ne sais-tu pas que la parole, même une seule parole, de quelqu'un qui est pur et de quelqu'un qui m'aime m'enlève toute peine ?[4]
- Jésus consolé par Élise de Bethsur : "Oh ! une mère est bien nécessaire quand la douleur accable les forces de l'homme !"[5]